Témoignage d’un médecin belge sur les effets secondaires des “vaccins” anti-COVID

[Note de l’administrateur de ce blog : la médecine de terrain face aux analystes de bureau et leurs relais médiatiques, ou l’éternel retour du concret.

Ce témoignage est-il contradictoire avec l’article “rassurant” que je viens de traduire ? Absolument pas, et il est important de le reconnaître pour comprendre les manipulations en cours.]


(Source : facebook, dimanche 22 août)

Données israéliennes : comment l’efficacité du vaccin
contre les formes graves peut-elle être élevée quand
60 % des hospitalisés sont vaccinés ?

Je l’avais déjà évoqué sur ce blog parce que Didier Raoult l’avait fait dans une de ses vidéos, le paradoxe de Simpson est un piège statistique qui peut survenir lorsque des données présentent une distribution particulière telle que celle représentée schématiquement à gauche. Généralement, toute recherche de causalité entre deux phénomènes est précédée d’une recherche de corrélation car, si une corrélation n’implique pas un lien de causalité, en revanche une absence de corrélation implique l’absence de relation de cause à effet.

Pour ce faire, un des moyens les plus simples consiste à représenter sur un graphe une variable en fonction de l’autre et de constater si le nuage de points formé révèle une corrélation (s’il est allongé suivant une diagonale ascendante ou descendante) ou non. Le cas le plus flagrant étant bien sûr lorsque les points s’alignent parfaitement suivant une courbe (qui peut être une droite). Mais il arrive que le nuage de points présente deux tendances, parfois même opposées, suivant qu’on le considère globalement ou en le décomposant en deux sous-ensembles (illustration de gauche).

Parce que nombre d’arguments sommaires contre les “vaccins” anti-COVID tombent dans ce piège, il est important de l’expliquer – ce qui ne signifie pas qu’il est nécessaire et “scientifique” de se prononcer en faveur de cette vaccination, ni même d’admettre une bonne fois pour toutes son efficacité ou son rapport bénéfice / risque favorable. Comme l’a montré Robert Malone (c’est lui qui a attiré mon attention sur l’article dont je vous propose la traduction ci-dessous), il est tout à fait possible – et même parfaitement logique – de dénoncer avec force les méthodes d’apprenti-sorcier imposées pour (prétendument) lutter contre une pandémie tout en dénonçant parallèlement des arguments faibles voire faux utilisés par certaines critiques.

Voici donc la traduction d’un article de Jeffrey Morris qui, s’il n’aborde qu’un aspect du problème – ce qui est nettement insuffisant pour justifier une vaccination massive de la population – le fait correctement et de façon pédagogique. Avis à ceux qui penseraient que cet article est une invitation à baisser les armes contre une campagne de vaccination “non obligatoire” mais imposée de façon particulièrement vicieuse : ils n’ont rien compris, il s’agit au contraire de laisser tomber les pistolets à bouchon et de préférer l’artillerie lourde. Qui se trouve ailleurs que dans cet article1, certes, mais chaque chose en son temps.

Remarque : la traduction française de SARS-CoV-2 (severe acute respiratory syndrome coronavirus 2) est parfois SRAS-CoV-2 (syndrome respiratoire aigu sévère, coronavirus 2). Mais elle est bancale, une traduction “complète” devant être CoV-2-SRAS (coronavirus 2 d’un syndrome respiratoire aigu sévère), c’est pourquoi j’ai jusqu’à présent gardé le terme anglais dans les articles, et continuerai à le faire.

——— Début de la traduction ———

Une recrudescence du variant Delta, plus contagieux, dans des pays fortement vaccinés, a donné lieu à de nombreuses critiques selon lesquelles les vaccins ne sont pas efficaces contre le variant Delta ou que l’efficacité du vaccin diminue après 4 à 6 mois. Cette situation a alimenté un sentiment anti-vaccin, suggérant que les vaccins ne fonctionnent pas, et a provoqué un grand stress chez les personnes vaccinées qui ne sont pas aussi protégées qu’elles le pensaient.

Dans ce billet, je me concentrerai sur l’efficacité des vaccins2 par rapport à la maladie grave ou l’hospitalisation, qui est le facteur clé pour la santé publique. Je ne traiterai pas ici de l’efficacité des vaccins par rapport à la maladie symptomatique ou asymptomatique [NdT : une maladie sans symptôme est-elle encore une maladie ?] – cela nécessite des nuances que je garderai pour un prochain billet.

Un résultat inquiétant qui a été repris à plusieurs endroits est qu’une forte proportion des patients hospitalisés pour la COVID-19 sont vaccinés. Par exemple, nous pouvons voir à partir des données du gouvernement israélien que près de 60 % de tous les patients actuellement hospitalisés pour la COVID-19 (au 15 août 2021) sont vaccinés (les données téléchargées et les détails se trouvent au bas de cet article). Sur les 515 patients actuellement hospitalisés pour des cas graves en Israël, 301 (58,4 %) d’entre eux étaient entièrement vaccinés, c’est-à-dire qu’ils avaient reçu deux doses du vaccin Pfizer.

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Vaccin et variant Delta (IHU Méditerranée-Infection)

[Note de l’administrateur de ce blog : le professeur Raoult est têtu, autant que les chiffres. Sur l’efficacité de la vaccination à lutter contre les formes graves de la COVID-19, on peut en donner deux en provenance d’Israël :

proportion des hospitalisés avec une forme grave de COVID-19 (au 11 août 2021) qui sont entièrement vaccinés contre la COVID-19 : 64 % ;

proportion de la population entièrement vaccinée contre la COVID-19 au 11 août 2021 : 62,5 %.]


Paroles d’experts : vaccins Covid et grossesse

Nous avons déjà vu dans cet article qu’il était possible d’induire en erreur sans mentir frontalement : le cœur de métier des publicitaires a bien sûr été amplement mis à contribution par les laboratoires pharmaceutiques pour exagérer l’utilité des vaccins anti-COVID, que ce soit en entretenant la confusion entre les notions d’efficacité absolue et d’efficacité relative (définies ici), ou en passant sous silence – voire en niant, ce qui constitue là un bon gros mensonge – l’existence de traitements efficaces et sûrs contre cette maladie, obtenus en réutilisant des médicaments anciens, peu chers et aux effets secondaires bien connus, y compris à long terme.

Cependant, le but d’un laboratoire pharmaceutique étant de faire du profit et pas de soigner, il faudrait être naïf pour s’étonner et s’offusquer de telles pratiques, que tout le monde considère comme normales quand il s’agit de vendre de la purée ou des aspirateurs, et qui n’ont évidemment aucune raison de disparaître lorsque la marchandise vendue est bien plus profitable encore – et qu’on peut l’écouler par un système de vente forcée. Il vaut mieux concentrer son indignation sur ceux dont le métier devrait être de protéger la population d’une recherche de profit sans limite confinant à la prédation pure et simple : les représentants élus, dont l’incorruptibilité reste à établir, mais aussi les scientifiques auréolés de leur objectivité, dont chacun utilise les travaux comme s’ils ne pouvaient jamais être mis en doute.

Cette infaillibilité scientifique est un mythe qu’il faut abattre : d’une part, les scientifiques de profession ne sont pas des êtres purs consacrant toute leur vie et leur énergie à la recherche de la Vérité, mais des être sociaux soumis à des contraintes hiérarchiques, budgétaires et psychiques les rendant corruptibles comme les autres ; et d’autre part, même dans le cadre d’une recherche sincère de vérité il arrive qu’ils se trompent, et parfois dans les grandes largeurs, par le simple fait que leur hyper-spécialisation les rend parfois aveugles à des évidences criantes. La science ne fait pas que combattre l’obscurantisme, elle en produit aussi de nouveaux.

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Covid. Narbonne : Mon fils de 18 ans a failli mourir d’une myocardite après sa 1ère dose de vaccin
(France 3 Occitanie)

[Note de l’administrateur de ce blog : un témoignage ne fait pas une tendance statistique, mais si je diffuse celui-ci, c’est qu’il est hélas représentatif d’une tendance forte, et très anormale pour des vaccins.

Et quand ce sont les fabricants de ces vaccins eux-mêmes qui préviennent les autorités, celles-ci ont encore moins d’excuses.]


Arrêtez le massacre !
(Dr Alain Bellaïche, gynécologue-obstétricien)

[Note de l’administrateur de ce blog : il faut le dire tout à fait clairement, la vaccination forcée d’enfants et de femmes enceintes avec des produits de thérapie génique en phase expérimentale, et dont on ignore tout des effets à long terme mais dont on connaît déjà (et commence à comprendre) certains effets graves ou létaux à court terme, est un génocide tel que défini à l’article 211-1 du Code pénal :

“Constitue un génocide le fait, en exécution d’un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d’un groupe national, ethnique, racial ou religieux, ou d’un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire, de commettre ou de faire commettre, à l’encontre de membres de ce groupe, l’un des actes suivants :

– atteinte volontaire à la vie ;

– atteinte grave à l’intégrité physique ou psychique ;

– soumission à des conditions d’existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe ;

– mesures visant à entraver les naissances ;

– transfert forcé d’enfants.”

 
Le génocide est puni de la réclusion criminelle à perpétuité.]


Scoop : Olivier Véran pense que l’ivermectine
peut avoir un effet (Dr Gérard Maudrux)

[Note de l’administrateur de ce blog : c’est aujourd’hui la journée mondiale de l’ivermectine, et peut-être le début d’une révolution…

On peut mentir à une personne tout le temps, à tout le monde occasionnellement, mais pas à tout le monde indéfiniment.

La “plandémie” est de plus en plus visible, d’où la panique qui s’empare de certains. Rien ne les sauvera.]


Olivier Véran pense que l’ivermectine a une présomption d’efficacité, mais il ne peut le dire. En tous cas, il ne veut pas dire le contraire.

En mai 2021, 1500 médecins ont fait un recours gracieux auprès du ministre de la Santé, conformément à l’article L.5322-2 du Code de la Santé Publique, pour faire réétudier la décision de l’ANSM, concernant le refus d’une RTU pour l’ivermectine.

Dans ce recours, une question simple et directe était posée au ministre, mais aussi au médecin, interpellé par ses confrères :

« En votre âme et conscience, pensez-vous honnêtement et sincèrement qu’il n’y a aucune présomption d’efficacité comme le prétend l’ANSM ?  Nous souhaitons une réponse claire à cette question. »

Le Ministre a « botté en touche », ce qui est clairement un aveu : il a refusé d’écrire au-dessus de sa signature qu’il n’y avait pas de présomption d’efficacité de l’ivermectine. S’il le pensait, il lui aurait été très facile de nous envoyer promener, s’appuyant sur les conclusions de ses services, ce qu’il n’a pas fait. Face à l’évidence des faits, il ne pouvait le faire. En ne reprenant pas à son compte ce refus, ses motifs, c’est aussi quelque part clairement un désaveu de la position de l’ANSM, que nous critiquons et qu’il n’a pas repris.

En effet, Monsieur le ministre a fui la question, demandant au Pr Salomon, non destinataire du recours, de répondre à sa place. Olivier Véran ne répond même pas sur le fond, mais sort une énormité : « pas de lien hiérarchique entre le Ministre des Solidarités et de la Santé, et l’ANSM » !!! Cet organisme ne dépendrait donc d’aucun ministère ? Et pourtant, le contrôle de la gestion de l’ANSM relève bien (et en toute logique) de ce ministère, comme on peut le lire ici, page 6 second paragraphe, signé du prédécesseur de Monsieur Véran : « Placée sous tutelle du ministre en charge de la Santé, l’ANSM est financée par une subvention pour charge de service public… ». Messieurs Véran et Salomon ne seraient pas au courant ?

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La vérité si je mens !

Je le faisais remarquer très récemment, ce n’est pas parce qu’on vous ment en permanence qu’il faut croire systématiquement le contraire de tout ce qu’on vous dit. C’est bien sûr humain et compréhensible ; il y a même un proverbe pour cela : “chat échaudé craint l’eau froide”. Mais même les menteurs les plus compulsifs arrivent à dire des vérités… et surtout, les plus malins arrivent à tromper sans mentir au sens strict, généralement par omission, car ils sont suffisamment intelligents pour se préserver par tous les moyens des poursuites pénales que certains pourraient leur intenter s’ils mentaient de façon trop directe (il existe quand même des lois pour cela).

Le cas de l’efficacité des “vaccins” anti-COVID – dont je rappelais la définition dans cet article – est assez instructif sur cette façon de mentir tout en disant la vérité. Certains contestent en bloc qu’ils aient une quelconque efficacité, ou prétendent que les chiffres avancés par leurs fabricants sont grossièrement enjolivés ; certes, il est naïf de croire sur parole un dépliant publicitaire quel qu’il soit, et il est parfaitement légitime de se méfier de publications scientifiques sur un produit pharmaceutique qui sont financées par le fabricant même de ce produit.

Mais il faut aussi garder à l’esprit que ces grandes entreprises pharmaceutiques, si elles ont les moyens de corruption gigantesques qu’on leur connaît, ont aussi les moyens d’avoir des services juridiques de haut niveau capables d’orienter finement la communication de l’entreprise afin que les inévitables pertes pour l’entreprise que représentent les procès perdus restent à un niveau minimum – même si ce niveau paraît astronomique pour le commun des mortels, alors qu’il est juste à la mesure des profits bien plus astronomiques encaissés.

Il est donc assez vain de contester toute valeur aux chiffres d’efficacité annoncés, comme s’il s’agissait d’une simple et brutale fraude scientifique intéressée (ça existe, mais ce n’est pas systématique) ; il est plus intelligent, soit de privilégier les chiffres “de la vraie vie” par rapport à ceux des études (on l’a fait, et on le refera, à partir des données anglaises), soit de se poser la question de la signification réelle de chiffres qui, en eux-mêmes, peuvent être justes, tout en induisant totalement en erreur le public visé.

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7 questions à Olivier Véran, ministre des Solidarités
et de la Santé (Kombini News)

[Note de l’administrateur de ce blog : internet a de la mémoire, même si c’est ici à relativement court terme, cette vidéo ayant été diffusée le jeudi 3 juin 2021 à 19h37.]


Extension du passe sanitaire : les 10 points d’alerte de la Défenseure des droits

[Note de l’administrateur de ce blog : dans sa fuite en avant totalitaire, tout pouvoir abusif finit par se prendre les pieds dans le tapis et par entrer en conflit avec sa propre administration (ici les services de Claire Hédon).

Il ne s’agit évidemment pas de relâcher la garde et de crier victoire, mais on peut tout de même penser que tout cela finira en vaste pantalonnade. Le gouvernement jupitérien est-il au courant des articles 225-1 à 225-4 du Code Pénal ? ]


L’évolution rapide de l’épidémie de Covid-19, portée par le variant Delta, a conduit le gouvernement à présenter hier soir en Conseil des ministres un projet de loi relatif à « la gestion de la crise sanitaire ». Ce texte proposant des transformations profondes pour l’exercice de droits et libertés qui sont au fondement de notre pacte social et républicain, la Défenseure des droits, malgré des délais extrêmement contraints pour l’examiner, a souhaité rendre public un avis au Parlement ce jour.

Tout en reconnaissant l’importance de la vaccination dans la lutte contre la pandémie, la Défenseure des droits s’interroge tant sur la méthode que sur la proportionnalité de la plupart des dispositions et restrictions présentes dans le texte.

  1. La nécessité d’un débat démocratique

Par un avis n° 20-10 du 3 décembre 2020 rendu dans le cadre de la prorogation de l’état d’urgence sanitaire, la Défenseure des droits a appelé de ses vœux l’organisation d’un débat démocratique public de fond. Elle ne peut aujourd’hui que renouveler cette demande et regretter vivement le choix d’une procédure accélérée compte-tenu de l’ampleur des atteintes aux droits et libertés fondamentales prévues par ce projet de loi ainsi que du caractère inédit de certaines dispositions qu’il comporte.

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