« Pendant 53 jours, j’étais un hors-la-loi », un médecin
suspendu pour avoir refusé la vaccination Covid se rebiffe (Le Quotidien du médecin)

Thromboses déclarées dans le VAERS par million de doses de vaccin, effets indésirables en bleu et décès en rouge.

Thromboses déclarées dans le VAERS par million de doses de vaccin, effets indésirables en bleu et décès en rouge.
Comparaison entre des vaccins traditionnels
et les “vaccins” anti-Covid.
Source : vaersanalysis.info.

[Note de l’administrateur de ce blog : où l’on apprend, derrière les précautions de langage de la doxa covidiste, que ce médecin ayant finalement cédé à la pression vaccinale a failli perdre la vie à cause d’une thrombose fémorale profonde.

Il n’y aura jamais d’oubli pour les promoteurs de cette expérience médicale forcée, et la justice populaire devra être rendue.]


Pendant plus de 7 semaines, le Dr Jean Panel a été mis au ban de la médecine. Pour des raisons médicales, le généraliste (médecine du sport) installé à Élancourt (Yvelines) a refusé dans un premier temps la vaccination contre le Covid-19. Il a été suspendu le 22 novembre 2021, conformément à la loi du 5 août 2021 imposant l’obligation vaccinale aux soignants.

Depuis, le Dr Panel est passé par la case vaccination. Convaincu par ses proches, et « sous la pression institutionnelle », il s’est fait injecter une première dose du vaccin de Pfizer le 17 décembre 2021, avant de reprendre son activité quelques semaines plus tard, sa suspension ayant été levée le 13 janvier 2022.

Mais le médecin a mal vécu cette mise à l’écart forcée, comme il l’a raconté au « Parisien ». « J’ai été traité comme un délinquant, un hors-la-loi, confie le Dr Panel au «Quotidien». Quand on travaille jusqu’à 12 heures par jour, qu’on est au service de la société pendant 45 ans, qu’on a fait 12 ans d’études, c’est révoltant ! » Le médecin se plaint d’avoir reçu des courriers « d’une agressivité incroyable » de la part de l’ARS, lui imposant un délai de vaccination et le menaçant de poursuites pénales.

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Témoignage d’un médecin belge sur les effets secondaires des “vaccins” anti-COVID

[Note de l’administrateur de ce blog : la médecine de terrain face aux analystes de bureau et leurs relais médiatiques, ou l’éternel retour du concret.

Ce témoignage est-il contradictoire avec l’article “rassurant” que je viens de traduire ? Absolument pas, et il est important de le reconnaître pour comprendre les manipulations en cours.]


(Source : facebook, dimanche 22 août)

Dr. Charles Hoffe : 62 % des patients vaccinés contre le COVID ont des dommages cardiaques permanents (cv19.fr)

Vue d’artiste du virus SARS-CoV2

[Note de l’administrateur de ce blog : le propre de la démarche scientifique est de proposer des théories décrivant au mieux les données disponibles, et surtout de proposer des moyens de tester les théories en question en faisant appel à d’autres données non prises en compte initialement, soit parce qu’elles étaient disponibles mais considérées comme étrangères au domaine étudié (cas de l’unification de l’électricité et du magnétisme par Maxwell et d’autres au XIXe siècle), soit parce qu’elles n’étaient pas disponibles faute de moyens techniques suffisants (la relativité générale, ou l’existence d’antimatière, ont été “inventées” intellectuellement avant que des données suggèrent leur validité) ou simplement faute de curiosité.

C’est la condition pour que toute nouvelle théorie proposée soit réfutable, donc digne de considération scientifique ; sinon, on reste dans le domaine de la pure spéculation.

En proposant un test sanguin simple (le dosage des D-dimères), le Dr Charles Hoffe agit non seulement en bon médecin soucieux de la santé de ses patients, mais en bon scientifique donnant les armes intellectuelles nécessaires à ses éventuels adversaires pour démontrer qu’il a tort.

À eux de jouer, ils n’ont plus d’excuse !

Remarque importante : contrairement à certains “complotistes” bas du front, c’est-à-dire des personnes qui, au prétexte que nos autorités nous prennent ouvertement pour des débiles (ce qui est vrai), sont prêtes à croire n’importe quoi qui est contraire à leur discours (ce qui est très imprudent), le Dr Charles Hoffe ne dit pas que le virus SARS-CoV2 n’existe pas ou qu’il est absolument sans danger : bien au contraire, il dit que les mécanismes à l’œuvre dans les formes graves de COVID-19 sont les mêmes que ceux responsables des effets indésirables graves des vaccins censés protéger de la maladie. Ce qui rejoint les avertissements d’un des pionniers, sinon le pionnier, de la vaccination à ARN, le Dr Robert Malone, et en particulier ce qu’il dit – preuves scientifiques à l’appui – sur la toxicité du péplomère (généralement appelé “protéine spike”) du virus.

Mais Charles Hoffe donne aussi la possibilité de tester son hypothèse y compris en l’absence de symptôme apparent, bien avant que des troubles de la coagulation soient visibles par des symptômes ou des examens à l’échelle macroscopique, ce qui fait tout l’intérêt de sa démarche, aussi bien sur le plan médical (pour prévenir les complications) que scientifique.]


Vous avez peut-être entendu parler de tolérance réduite à l’effort après une vaccination Covid, de thromboses, de myocardites, d’arrêts cardiaques…
Tous ces symptômes pourraient être liés au même mécanisme d’action du vaccin (ici Moderna), entrainant des dommages irréversible et une réduction de l’espérance de vie à quelques années maximum.

Après avoir administré environ 900 doses du vaccin expérimental COVID-19 à ARNm de Moderna, le Dr Charles Hoffe, un médecin courageux qui pratique la médecine depuis 28 ans dans la petite ville rurale de Lytton, en Colombie-Britannique (Canada), a tiré la sonnette d’alarme sur les réactions graves qu’il observait chez ses patients qui avaient choisi de se faire vacciner (il avait choisi de ne PAS le faire lui-même), y compris la mort.

Après avoir tiré la sonnette d’alarme, les autorités médicales de sa communauté lui ont imposé le silence (gag order). Il a bravé ce silence et a été interviewé par Laura-Lynn Tyler Thompson dans son émission où il a tiré la sonnette d’alarme.

Voici un extrait de 8 minutes de l’interview originale (VOSTFR) :

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Variations sur le VAERS

“Parfois, même si je me tiens au milieu de la pièce,
personne ne me remarque.”

Le VAERS, c’est le Vaccine Adverse Events Reporting System, l’organisme de pharmacovigilance consacré aux vaccins aux États-Unis. Sa base de données, modestement intitulée Wonder1, est consultable en ligne de façon relativement aisée, contrairement à celle de son homologue européen, Eudravigilance2 – pour les courageux, France Soir a détaillé en janvier 2021 le mode d’emploi de cette usine à gaz.

On vous l’a dit et répété, les vaccins anti-COVID, ayant battu tous les records de rapidité pour leur mise au point, et autorisés exceptionnellement en raison de l’urgence de la situation et de l’absence de traitements pour la COVID-19, sont sûrs et efficaces. Mais il est bien de confronter les annonces avec la réalité, or la campagne de vaccination massive débutée aux États-Unis fin 2020, qui aujourd’hui aboutit à 45 % de la population totalement vaccinée et 53 % ayant reçu au moins une dose, nous fournit des renseignements précieux du monde réel qu’aucune étude randomisée en double aveugle – a fortiori si elle est financée par les fabricants de vaccins – ne pourra jamais fournir.

Le VAERS ne nous apprend rien sur les effets positifs des vaccins, mais nous donne des indications sur leurs effets négatifs, légers ou graves, mort comprise. Certes, un effet indésirable signalé à la suite d’une vaccination ne signifie pas qu’il est dû à cette vaccination – corrélation temporelle n’est pas causalité – mais inversement, on sait par expérience que ces effets indésirables réellement imputables à une vaccination sont largement sous-déclarés, un problème que le VAERS lui-même signale. Par définition difficile à évaluer, cette sous-déclaration a par exemple été étudiée pour les chocs anaphylactiques et les syndromes de Guillain-Barré (donc des effets indésirables graves) suite à certains vaccins, et les auteurs de l’étude ont conclu qu’entre 13 et 76 % des anaphylaxies étaient déclarées, et entre 12 et 64 % des syndromes de Guillain-Barré, suivant les vaccins.

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Combien de morts causées par les vaccins expérimentaux ? (Xavier Bazin)

[Note de l’administrateur de ce blog : Xavier Bazin est l’auteur du livre Big Pharma démasqué ! De la chloroquine aux vaccins, la face noire de notre système de santé, sorti le 21 avril dernier et actuellement meilleure vente dans la catégorie médecine sur amazon.

Ce qu’il décrit ici, comme ce que décrit le Dr Gérard Delépine dans un article mettant en lumière la corrélation entre vaccination anti-COVID et contamination ou décès de cette même maladie, est parfaitement objectif et vérifiable par tout un chacun, sur des ressources en ligne publiques (souvent en anglais).

En 1945 et 1946, beaucoup d’accusés au procès de Nuremberg se défendirent en prétendant qu’ils ne savaient pas et ne faisaient qu’obéir aux ordres. Bien qu’il n’existât pas d’internet à l’époque, cette défense fut bien souvent insuffisante.

Remarque : la date de parution indiquée sur l’article de Xavier Bazin (23 février) est manifestement fausse, preuve qu’il ne faut pas croire aveuglément tout ce qui est écrit et garder son esprit critique en éveil.]


Cher(e) ami(e) de la Santé,

Le 18 mars dernier, un jeune Français de 24 ans est mort à cause du vaccin AstraZeneca.

Il s’appelait Anthony, il était étudiant en médecine… et était en parfaite santé.

Quelques jours après s’être fait vacciner, il a développé une thrombose à l’estomac, et est décédé d’une grave hémorragie.

L’autopsie a confirmé que c’est bien le vaccin qui a causé sa mort 1.

C’est tragique, car il n’avait strictement aucun risque de mourir du coronavirus.

Et il n’est pas le seul dans ce cas.

Le 29 mars, une assistante sociale toulousaine de 38 ans est morte d’une thrombose, quelques jours après avoir été vaccinée par AstraZeneca.

Sa famille a porté plainte pour « homicide involontaire ». Le Pôle de santé du parquet de Paris a été saisi 2.

Combien y a-t-il de cas comme ceux-là ?

On ne sait pas.

Mais ces deux cas ne sont que la partie émergée de l’iceberg.

Car il ne faut pas croire que le vaccin AstraZeneca est le seul vaccin en cause.

On a toutes les raisons de penser que Pfizer et Moderna causent autant de morts, car ce sont des vaccins basés sur la protéine S, comme AstraZeneca – et cette protéine cause des dégâts sanguins et cardiaques à elle-seule 3 4.

Ainsi, une étude a trouvé autant de thromboses suite à AstraZeneca que suite aux vaccins Pfizer/Moderna 5.

Récemment, les Israéliens ont détecté un lien entre le vaccin Pfizer et les myocardites, l’inflammation du cœur, chez les moins de 30 ans 6.

Donc, ces vaccins peuvent causer des morts, liées à des dégâts cardiaques.

Le problème est que les autorités font TOUT pour ne pas les détecter.

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