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La vérité si je mens !

Je le faisais remarquer très récemment, ce n’est pas parce qu’on vous ment en permanence qu’il faut croire systématiquement le contraire de tout ce qu’on vous dit. C’est bien sûr humain et compréhensible ; il y a même un proverbe pour cela : “chat échaudé craint l’eau froide”. Mais même les menteurs les plus compulsifs arrivent à dire des vérités… et surtout, les plus malins arrivent à tromper sans mentir au sens strict, généralement par omission, car ils sont suffisamment intelligents pour se préserver par tous les moyens des poursuites pénales que certains pourraient leur intenter s’ils mentaient de façon trop directe (il existe quand même des lois pour cela).

Le cas de l’efficacité des “vaccins” anti-COVID – dont je rappelais la définition dans cet article – est assez instructif sur cette façon de mentir tout en disant la vérité. Certains contestent en bloc qu’ils aient une quelconque efficacité, ou prétendent que les chiffres avancés par leurs fabricants sont grossièrement enjolivés ; certes, il est naïf de croire sur parole un dépliant publicitaire quel qu’il soit, et il est parfaitement légitime de se méfier de publications scientifiques sur un produit pharmaceutique qui sont financées par le fabricant même de ce produit.

Mais il faut aussi garder à l’esprit que ces grandes entreprises pharmaceutiques, si elles ont les moyens de corruption gigantesques qu’on leur connaît, ont aussi les moyens d’avoir des services juridiques de haut niveau capables d’orienter finement la communication de l’entreprise afin que les inévitables pertes pour l’entreprise que représentent les procès perdus restent à un niveau minimum – même si ce niveau paraît astronomique pour le commun des mortels, alors qu’il est juste à la mesure des profits bien plus astronomiques encaissés.

Il est donc assez vain de contester toute valeur aux chiffres d’efficacité annoncés, comme s’il s’agissait d’une simple et brutale fraude scientifique intéressée (ça existe, mais ce n’est pas systématique) ; il est plus intelligent, soit de privilégier les chiffres “de la vraie vie” par rapport à ceux des études (on l’a fait, et on le refera, à partir des données anglaises), soit de se poser la question de la signification réelle de chiffres qui, en eux-mêmes, peuvent être justes, tout en induisant totalement en erreur le public visé.

Tout d’abord, il y a une manipulation qui consiste à parler d’efficacité en “oubliant” que tout le monde n’est pas exposé à l’agent pathogène contre lequel le vaccin doit apporter une protection. Ainsi, lorsqu’on entend une “efficacité de 90 %”, on pense qu’il y aurait 90% en moins de malades pour cette maladie dans une population entièrement vaccinée (à supposer, bien sûr, que le chiffre d’efficacité annoncé soit juste)… mais on oublie que les risques vaccinaux s’appliquent à 100 % de la population (si elle est entièrement vaccinée) alors que les risques de la maladie ne s’appliquent, par définition, qu’aux personnes infectées. Or, si l’on en croit le dernier bulletin du Réseau Sentinelles,1 le taux d’incidence des cas d’infection respiratoire aiguë vus en consultation de médecine générale et dus au SARS-CoV-2 était estimé, pour la semaine 28 de 2021 (12 au 18 juillet) à 4 pour 100 000 habitants (oui, 0,00004 !). Du coup imposer un vaccin (et tout ce qui va avec…) à l’ensemble d’une population quand 0,004 % en tirera un réel bénéfice (si tout va bien) semble nettement plus ressemblant à la volonté d’écraser une paramécie avec le marteau-pilon du Creusot qu’à celle de protéger une population dans une démarche rationnelle et médicale, surtout quand des traitements curatifs efficaces et peu chers existent2, qui par définition ne sont administrés qu’aux malades donc à beaucoup moins de monde3 !

Et même au plus fort de la vague épidémique au printemps 2020 (semaine 13), le taux d’incidence hebdomadaire pour la COVID-19 n’était “que” aux alentours de 140 pour 100 000, certes 35 fois supérieur, mais tout de même égal à 0,14 % en langage courant ! On remarquera au passage que ce taux d’incidence ne se confond pas avec celui des infections respiratoires aiguës4 (ce qui devrait être évident pour tous, mais finit par ne plus l’être dans une psychose collective covidienne de niveau 10 sur l’échelle de Richter) : ainsi, dans le dernier bulletin du Réseau Sentinelles le taux d’incidence des IRA est de 42 pour 100 000, soit dix fois celui de la COVID-19. En d’autres termes, et en dépit d’une activité qualifiée de “faible” en médecine générale pour les IRA toutes causes confondues, 9 sur 10 des patients consultant pour des infections respiratoires aiguës n’étaient pas, du 12 au 18 juillet, porteurs de cette nouvelle peste noire devant laquelle le monde entier – et surtout la France – semble se mettre à genoux.

Mais l’essentiel n’est pas là. La tromperie la plus profonde réside, avant tout, dans la définition d’une efficacité des vaccins qui compare des sujets vaccinés à d’autres ne recevant aucun traitement. Comme si la médecine pouvait se résumer à la vaccination, comme si aucune autre voie de sortie n’existait, ce qui n’a bien entendu aucun sens même si les menteurs compulsifs qui nous gouvernent le répètent en boucle. La maladie est certes nouvelle, mais de nombreux médicaments anciens (“repositionnés”, comme on dit dans un français approximatif), souvent associés entre eux, et avec des compléments alimentaires n’étant même pas des médicaments au sens strict, ont montré sur elle une efficacité certaine : ivermectine, hydroxychloroquine, azithromycine, vitamine C, zinc… La liste est longue et ceux qui veulent avoir un aperçu général de leur efficacité (pris isolément, mais les associations n’y figurent pas) pourront se reporter au site cearly.com5 ; quant à ceux qui souhaitent avoir des protocoles tout prêts – à discuter évidemment avec un médecin – ils pourront les trouver sur le site de la Front Line Critical Care COVID-19 Alliance, pour certains traduits en plusieurs langues dont le français.

On comprend donc pourquoi il était nécessaire de tuer d’abord le soldat hydroxychloroquine, et de mentir ensuite sur les effets secondaires désastreux des “vaccins” expérimentaux à ARN ou ADN, pour imposer de façon “rationnelle” l’idée d’une vaccination universelle comme seule porte de sortie. Mais les géniaux concepteurs de ce plan “sanitaire” ont juste oublié une chose : même en bombardant 24h/24 les citoyens d’une propagande digne des zeurslesplussombresdelhistoire, à l’heure d’internet, une vérité même ténue finit toujours par se frayer un chemin, et par s’auto-alimenter de façon exponentielle, là où le mensonge nécessite toujours des moyens de plus en plus importants et de plus en plus visibles pour subsister… ce qui in fine renforce l’éclat de la vérité.

C’est pourquoi, une vidéo d’à peine plus de deux minutes peut aujourd’hui réduire à néant tous les arguments justifiant un “passe sanitaire” dont la véritable nature éclate maintenant aux yeux de tous.

Les plus patients pourront écouter l’interview complète (2h 27, sous-titrée en français) du Dr Pierre Kory par Brett Weinstein (professeur de biologie “en exil”) à cette adresse.

  1. Les anciens bulletins peuvent être retrouvés à partir de cette page.
  2. Voir ici pour un tableau récapitulatif de leurs efficacités, et voir là pour des protocoles précis pour différents stades de la maladie COVID-19… avec des traductions en plusieurs langues dont le français !
  3. On peut aussi envisager d’en prendre certains en prévention, où ils concurrencent donc frontalement les vaccins.
  4. IRA, en abrégé
  5. On pourra y constater que la France est un des rares pays à n’avoir adopté aucun traitement, alors qu’une nette tendance mondiale se distingue en faveur de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine : sans doute le corps des Français et des Françaises est à ce point différent des autres que les lois de la médecine ne s’y appliquent pas comme ailleurs.

5 commentaires sur “La vérité si je mens !

  1. Bonjour, le mensonge est le problème fondamental. Pour moi, le mensonge = la perversion. Si ces gens mentent si impunément c’est qu’ils sont pervers. Et s’ils sont pervers, c’est qu’ils ont subit dans l’enfance des traumatismes sexuels qui leur fait refuser la castration c’est à dire la finitude humaine. C’est en tous cas ma théorie. Si ça vous intéresse, J’ai publie sur ma chaine la bouche du Serpent une vidéo qui explicite formellement pourquoi la vidéo “le cosmonaute volant ” est une preuve irréfutable du mensonge Apollo. je l’ai appelé, le mensonge au jeu de la vérité.

    1. Je ne sais pas ce que vaut votre explication par le traumatisme sexuel, mais il est clair que le mensonge est au cœur de nos problèmes. Et pour le cas Apollo, que je n’ai pas étudié, j’avoue que je ne sais pas encore. Mais aujourd’hui dire sans honte qu’on ne sait pas est déjà être “complotiste”, alors que quand j’étais enfant on me disait que c’était la marque des vrais savants !

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