[Note de l’administrateur de ce blog : on le sait depuis longtemps, les statistiques du COVID-19 sont l’objet de multiples manipulations. On a commencé – avant les vaccins – à gonfler énormément le nombre de “décès COVID” en incluant dans la catégorie beaucoup de simples “tests PCR positifs” morts de toute autre chose, et en “oubliant” les avertissements de l’inventeur de la méthode PCR sur les risques de sa mauvaise utilisation.
Maintenant que des vaccins sont disponibles, pour ne pas dire obligatoires, on cherche à en enjoliver les performances et à en minimiser les risques. Il faut donc être très vigilant sur des illusions statistiques qui peuvent être très subtiles, surtout lorsque les populations de vaccinés et non-vaccinés varient rapidement dans le temps, comme l’explique ici le professeur Norman Fenton de la Queen Mary University à Londres.
C’est en évitant au maximum les catégories discutables et manipulables (comme “décès COVID” et “décès hors COVID”, ou même “vacciné” et “non-vacciné”, sachant qu’un vacciné peut être classé “non-vacciné” juste après l’injection) que la vérité finira par éclater. Et elle n’est pas forcément belle à voir.
Les principales planches de la présentation du professeur Fenton sont disponibles ici (en français !). Un grand merci à l’auteur de cette traduction.]