Cachez cette surmortalité que je ne saurais voir
(Décoder l’éco)

[Note de l’administrateur de ce blog : l’excellent statisticien Pierre Lécot vient de publier hier 18 novembre une vidéo constituant une démonstration implacable de la volonté de nos autorités de santé de dissimuler les conséquences désastreuses de leurs actes.

Afin de bien en saisir le sens, je vous propose ici de visionner également en préambule la précédente, consacrée à l’augmentation “inexpliquée” de la mortalité toutes causes en France – en particulier chez les jeunes – mais aussi en Europe et plus généralement dans d’autres pays ayant bénéficié d’une campagne massive de “vaccination” anti-Covid avec des produits “sûrs et efficaces”.

J’ai par conséquent regroupé ces deux vidéos sous un titre commun qui n’est pas de lui mais de moi.]


Scandale en Israël : comment le gouvernement a découvert de graves problèmes de sécurité avec les injections COVID et les a dissimulés (Anthropo-logiques)

Dr. Sharon Alroy-Preis, directrice du département de santé publique d'Israël

Dr. Sharon Alroy-Preis, directrice du département
de santé publique d’Israël

[Note de l’administrateur de ce blog : les effets secondaires de la “vaccination” à ARN messager ne sont pas presque toujours bénins et de courte durée comme les autorités de santé le prétendent, mais comportent un niveau anormalement élevé d’effets graves et durables. La propagande la plus appuyée ne pourra rien contre la remontée des ces informations, d’abord par les victimes elles-mêmes, puis par un nombre croissant de médecins, souvent eux-mêmes trompés, qui finissent par découvrir les dégâts dans leurs cabinets.

Récemment un enregistrement d’une réunion Zoom a montré qu’au plus haut niveau de l’État en Israël, le pays précurseur en matière de vaccination à ARNm, ces signaux sont non seulement connus mais aussi volontairement dissimulés. L’entrepreneur américain Steve Kirsch – doublement vacciné Pfizer avant de prendre conscience du danger – en a fait un article, traduit ici pat Jean-Dominique Michel sur son blog personnel Anthropo-logiques.

Le deuxième niveau du scandale étant, bien sûr… qu’il n’y a pas encore de scandale à grande échelle, les media ne se précipitant pas pour relayer l’affaire, confirmant ainsi le rôle nocif qu’on leur connaît.]


J’ai déjà traduit et repartagé des textes de Steve Kirsch. Ingénieur diplômé du prestigieux Massachussets Institute of Technology, entrepreneur à succès, celui-ci s’est mobilisé depuis le début de la crise Covid pour dénoncer les innombrables corruptions de la science servant à imposer des politiques publiques absurdes et destructrices.

Travailleur infatigable, il n ‘a cessé de produire des interpellations et des articles fort bien documentés, mais restant évidemment lettre morte : cela fait longtemps que les autorités systémiquement corrompues ont fermé les écoutilles face aux critiques, et même d’autant plus que celles-ci sont pertinentes ! Nous avons exactement le même problème ici : le Conseil fédéral par exemple a bien évité de répondre à la plupart des courriers de l’avocat valaisan Jacques Schroeter.

  • Pour lire « Probablement le plus gros mensonge de tous les temps » : l’interpellation d’un avocat au gouvernement suisse sur Covidhub.ch : cliquer ici.

Tout comme la Revue médicale suisse (la feuille de chou quasi-officielle de Big Corruption et Big Pharma) s’est bien gardée de répondre à la Lettre ouverte d’un éminent médecin-chercheur que j’ai relayée (pour préserver l’anonymat de cet expert) en réponse à article de propagande pour la « vaccination » des femmes enceintes truffé de manipulations et d’erreurs.

  • Pour lire « Vaccination génique des femmes enceintes : lettre ouverte d’un chercheur à la Revue médicale suisse » : cliquer ici.

Silence radio, évidemment.

Continuer la lecture sur Anthropo-logiques →

 

Analyse et explications sur l’extraordinaire mortalité aux États-Unis depuis 2020 (Science en conscience)

[Note de l’administrateur de ce blog : comme je l’ai souvent souligné ici, l’analyse de la mortalité toutes causes est la seule façon de savoir quelle est la réelle gravité d’une pandémie, car elle permet de s’affranchir de toutes les erreurs de classification – voire de certaines fraudes – et elles sont nombreuses avec le Covid.

Jérémie Mercier, Marine Baudin et Denis Rancourt nous présentent ici le résultat de leurs recherches à partir des données de mortalité très officielles des États-Unis, et confirment ce que d’autres – comme Robert Kennedy Jr. – dénoncent : le Covid est avant tout, dans les faits, une guerre déclenchée contre les personnes vulnérables (à cause de l’âge, de l’état de santé ou de la situation sociale).

Les courageux – ou ceux qui veulent pouvoir consulter tranquillement tous les graphiques – pourront lire le détail de leur travail, en anglais, ici. Un résumé en français est également disponible en téléchargement sur le site de Jérémie Mercier. Et les très courageux pourront consulter l’intégralité de la production du professeur Rancourt relative au Covid sur cette page de son site internet.

Il existe une version en anglais de cet exposé, diffusé par les mêmes intervenants peu avant la version française, que l’on peut encore visionner – pour l’instant – sur YouTube. La version française a elle été retirée volontairement par Jérémie Mercier de cette plateforme peu après la diffusion en direct, vraisemblablement afin d’éviter à sa chaîne YouTube – qui est aussi un instrument de travail pour lui – des sanctions.]


Prof. Norman Fenton : Les dernières données sur l’efficacité et la sécurité des vaccins au Royaume-Uni

[Note de l’administrateur de ce blog : on le sait depuis longtemps, les statistiques du COVID-19 sont l’objet de multiples manipulations. On a commencé – avant les vaccins – à gonfler énormément le nombre de “décès COVID” en incluant dans la catégorie beaucoup de simples “tests PCR positifs” morts de toute autre chose, et en “oubliant” les avertissements de l’inventeur de la méthode PCR sur les risques de sa mauvaise utilisation.

Maintenant que des vaccins sont disponibles, pour ne pas dire obligatoires, on cherche à en enjoliver les performances et à en minimiser les risques. Il faut donc être très vigilant sur des illusions statistiques qui peuvent être très subtiles, surtout lorsque les populations de vaccinés et non-vaccinés varient rapidement dans le temps, comme l’explique ici le professeur Norman Fenton de la Queen Mary University à Londres.

C’est en évitant au maximum les catégories discutables et manipulables (comme “décès COVID” et “décès hors COVID”, ou même “vacciné” et “non-vacciné”, sachant qu’un vacciné peut être classé “non-vacciné” juste après l’injection) que la vérité finira par éclater. Et elle n’est pas forcément belle à voir.

Les principales planches de la présentation du professeur Fenton sont disponibles ici (en français !). Un grand merci à l’auteur de cette traduction.]


Que savait la FDA des vaccins qu’elle vient d’autoriser ?

Le 23 août 2021, la Food and Drug Administration (FDA), autorité de santé fédérale des États-Unis, a approuvé officiellement pour les personnes de 16 ans et plus – à moins que l’histoire soit plus complexe qu’il n’y paraît, ce que Robert Malone semble nous suggérer – le vaccin Comirnaty de Pfizer / BioNTech, qui jusque là ne bénéficiait que d’une autorisation d’utilisation d’urgance. Cette autorisation ouvre notamment la voie à de possibles obligations de vaccination. Après une telle décision, deux réactions sont possibles :

  • celle des éternels confiants : “si la FDA autorise ce vaccin, c’est qu’il est sûr et efficace” ;
  • celle des indécrottables complotistes : “c’est bien la preuve que la FDA est corrompue”.

Laquelle est la plus réaliste ?

Le 22 octobre 2020, donc avant l’autorisation d’utilisation d’urgence émise précédemment, se tenait une réunion du Comité consultatif sur les vaccins et les produits biologiques connexes (Vaccines and Related Biological Products Advisory Committee). Lors de cette réunion une présentation fut faite par Steven Anderson, directeur du Bureau de biostatistiques et d’épidémiologie au Centre d’évaluation et de recherche sur les produits biologiques (Center for Biologics Evaluation and Research, CBER).

La vidéo de cette présentation peut être consultée ci-dessous :

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Les données, rien que les données

Suivons les conseils du professeur Raoult et ne prêtons pas attention ni aux opinions, ni aux dépliants publicitaires des fabricants de médicaments ou de vaccins et contentons-nous d’analyser les données du monde réel – en supposant, bien sûr, qu’elles ont été établies de façon objective.

J’ai déjà signalé sur ce blog les rapports hebdomadaires de Public Health England sur la crise “sanitaire” du SARS-CoV2, analysant spécifiquement le problème des “variants”, et vais encore une fois m’y référer, plus précisément au rapport n°20 du 6 août (le dernier disponible au moment où j’écris), traitant des données courant du 1er février au 2 août 2021.

Aux pages 18 et 19 de ce rapport on trouve le tableau 5 énumérant, entre autres données, le nombre de morts victimes du variant delta, et classant ces morts en fonction de leur statut vaccinal : non vacciné, vacciné une dose ou vacciné 2 doses. De plus, ils sont classés en deux groupes d’âge : moins et plus de 50 ans. Les personnes les plus âgées étant les plus concernées par la dangerosité du virus, commençons par les plus de 50 ans.

Population âgée de plus de 50 ans

Il y avait en 2020 au Royaume-Uni 25,746 millions de personnes de plus de 50 ans,1 soit 37,9 % de la population totale.

La proportion de la population complètement vaccinée au Royaume-Uni était au 2 août de 56,8 %, mais cette proportion est nettement plus élevée pour la population adulte (plus de 18 ans : 72,9 % entièrement vaccinés au 2 août selon le gouvernement britannique) et encore davantage pour les plus de 50 ans : selon les archives de vaccination pour l’Angleterre, qui représente 82,9 % de la population du Royaume-Uni2, au 2 août 19,932 millions de secondes doses ont été distribuées aux plus de 50 ans3. En supposant une structure par âge de la population identique en Angleterre et dans l’ensemble du Royaume-Uni, ce sont donc 19,932 millions de doses qui ont été distribuées pour une population de (25,746 × 0,829 = 21,343) millions de personnes âgées de 50 ans et plus en Angleterre, ce qui fait une couverture vaccinale de 93,4 % (19,932 / 21,343) dans cette tranche d’âge et pour les deux doses.

Les personnes non vaccinées s’obtiennent en retranchant celles ayant reçu au moins une dose à la classe d’âge dans son ensemble ; selon le fichier de données des archives vaccinales, 20 493 089 premières doses ont été distribuées aux plus de 50 ans (somme des cases M16 à S16), il reste donc 21,343 – 20,493 = 0,850 million de personnes non vaccinées, soit 3,98 % de cette population.

Selon notre rapport n°20, 205 personnes non vaccinées de plus de 50 ans sont mortes du variant delta en Angleterre, sur 3 440 cas identifiés.

Selon notre rapport n°20, 389 personnes entièrement vaccinées de plus de 50 ans sont mortes du variant delta en Angleterre, sur 21 472 cas identifiés.

Ces données permettent déjà de tirer les conclusions suivantes :

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Laurent Mucchielli dépublié par Mediapart : sa réaction et son article republié (France Soir)

[Note de l’administrateur de ce blog : pour ceux qui ont encore des illusions sur Mediapart. Autrefois abonné, j’ai bien vite résilié mon abonnement lorsqu’Edwy Plenel rédigea l’ignoble article mensonger et diffamatoire “Contre Dieudonné, mais sans Valls” en janvier 2014.

Hors de question pour moi de financer des collabos.

NB : l’article de Laurent Mucchielli dépublié par Mediapart s’intitule “La vaccination Covid à l’épreuve des faits. Deuxième partie : une mortalité inédite” .]


Auteurs : Laurent Mucchielli, Héléne Banoun, Emmanuelle Darles, Vincent Pavan, Amine Umlil pour FranceSoir

TRIBUNE – publié originellement le 30 juillet sur le blog de Laurent Mucchielli hébergé chez Médiapart, cet article vient d’être censuré par la rédaction du site au motif que celui-ci ne respecterait pas la charte, récemment mise à jour.

“L’expression libre d’éventuels désaccords ou divergences doit seulement respecter les règles édictées dans notre Charte de participation”  peut-on lire sur le site de Médiapart, qui ajoute que la dissonance fait la richesse de Médiapart et qui d’après le site est “le seul dans toute la presse française (sic) à permettre de le prolonger et de le discuter, de l’interpeller ou de s’en différencier“.

Enfin,on peut y lire à propos de l’article que “Non seulement les opinions et positions qu’il y exprime ne sont pas celles de Mediapart – ce que permet naturellement notre Club participatif, ouvert au débat pluraliste de nos abonné·e·s dans le respect de notre Charte de participation –, mais de plus elles vont le plus souvent à l’encontre du travail de notre rédaction sur la pandémie.”

La liberté d’expression a toujours été conditionnée au respect des principes édictés dans la loi. Chez Mediapart, elle semble devenue davantage conditionnelle encore.

Continuer la lecture sur France Soir

100 000 morts, vraiment ? (Décoder l’éco)

[Note de l’administrateur de ce blog : tout est dit, et bien dit… surtout la dernière phrase.

Les données brutes ne trompent pas, contrairement à celles qui font l’objet d’un classement préalable (subjectif, donc susceptible de manipulation), et les responsables de cette tromperie doublée d’un vrai désastre devront, tôt ou tard, payer. Très cher.]


Nouveau confinement : l’excuse des jeunes (Décoder l’éco)

[Note de l’administrateur de ce blog : on reconnaît les pervers à leur capacité à renverser complètement la logique. Ainsi, ceux qui sacrifient depuis le début de cette crise “sanitaire” l’avenir de la jeunesse voudraient aujourd’hui nous faire croire que c’est “pour les jeunes” qu’il faut reconfiner.

Jusqu’à quand laisserons-nous ces psychopathes détruire la France (et pas qu’elle hélas) ?

Une vidéo implacable à diffuser massivement afin de sortir de ce nihilisme sectaire.]


Nombre de décès quotidiens (INSEE)

[Mise à jour du 19 décembre : cet article a été initialement publié le 6 novembre 2020. Je reprends ci-contre le graphe des dernières données publiées le 18 décembre (et arrêtées le 7). L’augmentation de la mortalité totale amorcée à la mi-octobre octobre a été significative, a atteint un pic début novembre et est revenue aux niveaux habituels de la saison le 7 décembre. À force de rendre les gens malades (psychiquement et physiquement) par des contraintes aussi arbitraires qu’inefficaces – se tenir à une barre recouverte de virus dans un bus ou un métro bondés c’est BIEN, respirer l’air pur dans une promenade en montagne c’est MAL – il ne faut pas s’en étonner.

Note de l’administrateur de ce blog : comme je le disais dans l’article “Raison garder”, seuls les chiffres de mortalité totale ne sont pas susceptibles de manipulation, ceux de “mortalité COVID” étant systématiquement truqués en faisant passer des morts ayant eu un test positif au SARS-CoV2 (et même pas toujours !) pour des “morts de la COVID-19”, alors que beaucoup étaient très âgés ou avaient des comorbidités graves (quelquefois invisibles aux naïfs). Ceci, bien sûr, afin d’alimenter la psychose ambiante et de mettre en place une dictature sur des prétextes sanitaires.

Que ceux qui ont des yeux pour voir et un cerveau pour penser s’en servent !]


Ce graphique représente le nombre de décès quotidiens survenus chaque jour pour les années 2015 à 2020, ainsi qu’en moyenne sur la période 2015-2019. On y voit la très vive accélération des décès à partir de la mi-mars 2020 jusqu’au 1er avril, puis la décrue jusque fin avril. Sur la période mai-juin 2020, les décès sont proches de ceux survenus au cours de la même période les années précédentes. Au cours de l’été 2020, un pic des décès a été observé du 10 au 12 août. Plusieurs épisodes de grippe saisonnière récents ayant entraîné une surmortalité importante sont visibles : l’épidémie de l’hiver 2016-2017 dont le pic a été atteint en janvier 2017 ; un peu plus loin dans le passé, l’épidémie de l’hiver 2014-2015 avec un pic en février 2015 ; plus récemment, l’épidémie de grippe de l’hiver 2017-2018 qui a duré jusqu’en mars 2018 et a entraîné un surcroît important de mortalité. Le graphique permet aussi de visualiser le pic de mortalité bref et intense dû à la canicule de l’été 2003.

Continuer la lecture (et télécharger éventuellement les données) sur le site de l’INSEE →

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