La FDA demande à un juge fédéral de lui accorder jusqu’à l’année 2076 pour divulguer intégralement les données de Pfizer sur le vaccin COVID-19

Si après la lecture de cet article certains persistent à croire qu’il s’agit toujours de lutter contre un virus, et que leur gouvernement s’y emploie dans la transparence et avec le souci du bien commun, alors la médecine ne peut probablement plus rien pour eux.

Je vous propose ci-dessous la traduction d’un article d’Aaron Siri, un avocat américano-israélien, paru le 17 novembre 2021, dont on aimerait pouvoir rire sans gêne, mais certaines données nous empêchent de le faire de façon tout à fait décontractée, sans arrière-pensée. Rire du malheur des autres ne mène à rien de bon.

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La FDA a demandé à un juge fédéral d’obliger le public à attendre l’année 2076 pour la divulgation de toutes les données et informations sur lesquelles elle s’est appuyée pour homologuer le vaccin COVID-19 de Pfizer. Ce n’est pas une faute de frappe. Elle veut 55 ans pour produire ces informations au public.

Comme nous l’avons expliqué dans un article précédent, la FDA a promis à plusieurs reprises une “transparence totale” concernant les vaccins COVID-19, et a notamment réaffirmé “l’engagement de la FDA en matière de transparence” lors de l’homologation du vaccin COVID-19 de Pfizer.

Avec cette promesse à l’esprit, en août et immédiatement après l’approbation du vaccin, plus de 30 universitaires, professeurs et scientifiques des plus prestigieuses universités de ce pays ont demandé les données et informations soumises à la FDA par Pfizer pour l’homologation de son vaccin COVID-19.

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Combien faut-il vacciner d’enfants pour empêcher
un seul décès COVID parmi les enfants de 5 à 11 ans
selon les données de l’autorisation d’utilisation d’urgence accordée à Pfizer ?

On pourra toujours discuter à l’infini de la valeur exacte de ce nombre, qui dépend de la qualité des données utilisées – or on sait maintenant que Pfizer n’est pas vraiment très net sur ce point. Mais l’essentiel n’est pas là : il est de savoir, via les retours sur les effets indésirables des vaccins, et le facteur – lui aussi sujet à discussion – de sous-déclaration de ces effets indésirables, si le remède est pire que le mal. Et la réponse est sans aucune ambiguïté possible : oui, vu que “sauver une vie” nécessite d’en sacrifier beaucoup d’autres, ce qui n’est pas une conception très standard de la médecine.

Je vous propose ci-dessous la traduction d’un article original paru le 1er novembre sur le compte substack de Toby Rogers, un Australien qui aime les chiffres et les statistiques, en particulier sur l’autisme, sujet de sa thèse de doctorat.

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Le nombre de vaccinations nécessaires (NVN), l’outil standard dont Big Pharma, la FDA et le CDC ne veulent plus parler.

Une chose amusante est arrivée cet après-midi. Pas drôle comme quand on s’exclame “ha ha !“. Plutôt drôle comme dans, “ohhhhh c’est comme ça que la FDA truque le processus…“.

Je lisais le document des CDC intitulé “Guidance for Health Economics Studies Presented to the Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP), 2019 Update” et je me suis rendu compte que l’analyse bénéfice-risque lamentable de la FDA en rapport avec la demande d’autorisation d’utilisation d’urgence (Emergency Use Authorization, EUA) de Pfizer pour le vaccin des enfants de 5 à 11 ans viole de nombreux principes du guide d’orientation des CDC. Ce document décrit 21 points que toute étude d’économie de la santé relative aux vaccins doit respecter, et l’analyse bénéfice-risque de la FDA en a violé au moins la moitié.

Aujourd’hui, je veux me concentrer sur un seul facteur : le nombre de vaccinations nécessaires (NVN). À quatre endroits différents, le document d’orientation des CDC mentionne l’importance de déterminer ce nombre de vaccinations nécessaires. Je ne me rappelais pas avoir vu un NVN dans le document sur l’analyse bénéfice-risque de la FDA. J’ai donc vérifié à nouveau cette analyse et, bien sûr, il n’y avait aucune mention d’un NVN.

Comme la FDA n’a pas fourni de NVN, je vais tenter de le faire ici.

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Que savait la FDA des vaccins qu’elle vient d’autoriser ?

Le 23 août 2021, la Food and Drug Administration (FDA), autorité de santé fédérale des États-Unis, a approuvé officiellement pour les personnes de 16 ans et plus – à moins que l’histoire soit plus complexe qu’il n’y paraît, ce que Robert Malone semble nous suggérer – le vaccin Comirnaty de Pfizer / BioNTech, qui jusque là ne bénéficiait que d’une autorisation d’utilisation d’urgance. Cette autorisation ouvre notamment la voie à de possibles obligations de vaccination. Après une telle décision, deux réactions sont possibles :

  • celle des éternels confiants : “si la FDA autorise ce vaccin, c’est qu’il est sûr et efficace” ;
  • celle des indécrottables complotistes : “c’est bien la preuve que la FDA est corrompue”.

Laquelle est la plus réaliste ?

Le 22 octobre 2020, donc avant l’autorisation d’utilisation d’urgence émise précédemment, se tenait une réunion du Comité consultatif sur les vaccins et les produits biologiques connexes (Vaccines and Related Biological Products Advisory Committee). Lors de cette réunion une présentation fut faite par Steven Anderson, directeur du Bureau de biostatistiques et d’épidémiologie au Centre d’évaluation et de recherche sur les produits biologiques (Center for Biologics Evaluation and Research, CBER).

La vidéo de cette présentation peut être consultée ci-dessous :

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