Marie-Estelle Dupont sur la souffrance des enfants
et leur sacrifice par les adultes

[Note de l’administrateur de ce blog : une société qui ne protège pas les faibles, que ce soient les plus âgés – euthanasiés au Rivotril dès la “première vague” – mais aussi et surtout les plus jeunes qui représentent son avenir, est appelée à s’effondrer à courte échéance.

Ceux qui font subir aux enfants de telles monstruosités, en pure perte, devront un jour rendre des comptes et être mis hors d’état de nuire.

L’interview ci-dessous est un extrait de l’émission “Points de vue” du Figaro Live du 14 décembre 2021.]


Combien faut-il vacciner d’enfants pour empêcher
un seul décès COVID parmi les enfants de 5 à 11 ans
selon les données de l’autorisation d’utilisation d’urgence accordée à Pfizer ?

On pourra toujours discuter à l’infini de la valeur exacte de ce nombre, qui dépend de la qualité des données utilisées – or on sait maintenant que Pfizer n’est pas vraiment très net sur ce point. Mais l’essentiel n’est pas là : il est de savoir, via les retours sur les effets indésirables des vaccins, et le facteur – lui aussi sujet à discussion – de sous-déclaration de ces effets indésirables, si le remède est pire que le mal. Et la réponse est sans aucune ambiguïté possible : oui, vu que “sauver une vie” nécessite d’en sacrifier beaucoup d’autres, ce qui n’est pas une conception très standard de la médecine.

Je vous propose ci-dessous la traduction d’un article original paru le 1er novembre sur le compte substack de Toby Rogers, un Australien qui aime les chiffres et les statistiques, en particulier sur l’autisme, sujet de sa thèse de doctorat.

——— Début de la traduction ———

Le nombre de vaccinations nécessaires (NVN), l’outil standard dont Big Pharma, la FDA et le CDC ne veulent plus parler.

Une chose amusante est arrivée cet après-midi. Pas drôle comme quand on s’exclame “ha ha !“. Plutôt drôle comme dans, “ohhhhh c’est comme ça que la FDA truque le processus…“.

Je lisais le document des CDC intitulé “Guidance for Health Economics Studies Presented to the Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP), 2019 Update” et je me suis rendu compte que l’analyse bénéfice-risque lamentable de la FDA en rapport avec la demande d’autorisation d’utilisation d’urgence (Emergency Use Authorization, EUA) de Pfizer pour le vaccin des enfants de 5 à 11 ans viole de nombreux principes du guide d’orientation des CDC. Ce document décrit 21 points que toute étude d’économie de la santé relative aux vaccins doit respecter, et l’analyse bénéfice-risque de la FDA en a violé au moins la moitié.

Aujourd’hui, je veux me concentrer sur un seul facteur : le nombre de vaccinations nécessaires (NVN). À quatre endroits différents, le document d’orientation des CDC mentionne l’importance de déterminer ce nombre de vaccinations nécessaires. Je ne me rappelais pas avoir vu un NVN dans le document sur l’analyse bénéfice-risque de la FDA. J’ai donc vérifié à nouveau cette analyse et, bien sûr, il n’y avait aucune mention d’un NVN.

Comme la FDA n’a pas fourni de NVN, je vais tenter de le faire ici.

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Des préadolescents britanniques pourront choisir de se faire vacciner sans l’accord de leurs parents (RT France)

[Note de l’administrateur de ce blog : quand une civilisation commence à sacrifier ses enfants, c’est mauvais signe. Voir sur ce sujet l’article toujours d’actualité de l’AIMSIB, ou celui donné en lien avec l’illustration.]


Même si les parents s’y opposent, les préadolescents (12-15 ans) pourront se faire vacciner s’ils sont «jugés capables de prendre une décision compétente», a fait savoir le 5 septembre le responsable gouvernemental du programme de vaccination.

Le Royaume-Uni a annoncé ce 5 septembre une décision qui risque de crisper encore un peu plus le débat concernant la controversée vaccination contre le Covid-19 des 12-15 ans. Interrogé par Times Radio, le sous-secrétaire d’Etat britannique pour le déploiement du vaccin, Nadhim Zahawi, a ainsi fait savoir qu’un adolescent favorable à la vaccination pourrait recevoir le sérum, et ce même si ses parents s’y opposent.

Affirmant que l’Agence de santé britannique (NHS) avait «une très bonne expérience en la matière», puisqu’elle mettait en œuvre des programmes de vaccination dans les écoles depuis très longtemps, Nadhim Zahawi a déclaré que les médecins discuteraient de la question avec les parents ainsi que les adolescents, et que si ceux-ci sont «jugés capables de prendre une décision compétente», alors le dernier mot leur reviendra. «Donc pour être clair, l’adolescent peut passer outre l’absence de consentement parental ?», insiste alors le journaliste, ce à quoi Nadhim Zahawi répond de nouveau par l’affirmative.

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