La responsable du comité externe des CDC sur la sécurité des vaccins ne veut pas voir les données de sécurité
recueillies par le ministère israélien de la santé

Grace Lee, professeur à Stanford, est la présidente du comité externe du CDC sur la sécurité des vaccins.

Grace Lee, professeur à Stanford, est la présidente du comité externe du CDC sur la sécurité des vaccins.

Steve Kirsch est un entrepreneur américain ayant fait fortune dans l’informatique, ayant reçu 2 doses de “vaccin” Pfizer contre la Covid-19 et consacrant dorénavant tous ses efforts et une partie de sa fortune à alerter les autorités et le grand public sur le danger de ces injections et l’intérêt des traitements précoces.

Il vient de démontrer avec éclat comment des institutions chargées de contrôler la sécurité des vaccins sont en réalité impliquées de façon active – et non par simple incompétence ou inaction – dans la dissimulation de données qui, si elles étaient diffusées auprès du grand public et du corps médical, pourraient sauver des milliers de vies et épargner à un plus grand nombre encore des maladies graves et handicapantes.

Je vous propose ci-dessous la traduction de son article paru sur son compte substack le 16 septembre 2022.

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J’ai enfin obtenu une réponse à ma question adressée à la présidente de l’ACIP, Grace Lee, afin de savoir si elle voulait connâitre les données sur la sécurité des vaccins COVID provenant d’Israël.

Grace Lee, professeur à Stanford, est la présidente du comité externe des CDC sur la sécurité des vaccins. J’ai essayé tout ce que je pouvais imaginer pour attirer son attention sur les informations critiques israéliennes concernant la sécurité des vaccins. Elle m’a ignoré et a appelé les flics. J’ai tout filmé. Elle ne peut pas maintenant prétendre à un déni plausible.

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Combien faut-il vacciner d’enfants pour empêcher
un seul décès COVID parmi les enfants de 5 à 11 ans
selon les données de l’autorisation d’utilisation d’urgence accordée à Pfizer ?

On pourra toujours discuter à l’infini de la valeur exacte de ce nombre, qui dépend de la qualité des données utilisées – or on sait maintenant que Pfizer n’est pas vraiment très net sur ce point. Mais l’essentiel n’est pas là : il est de savoir, via les retours sur les effets indésirables des vaccins, et le facteur – lui aussi sujet à discussion – de sous-déclaration de ces effets indésirables, si le remède est pire que le mal. Et la réponse est sans aucune ambiguïté possible : oui, vu que “sauver une vie” nécessite d’en sacrifier beaucoup d’autres, ce qui n’est pas une conception très standard de la médecine.

Je vous propose ci-dessous la traduction d’un article original paru le 1er novembre sur le compte substack de Toby Rogers, un Australien qui aime les chiffres et les statistiques, en particulier sur l’autisme, sujet de sa thèse de doctorat.

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Le nombre de vaccinations nécessaires (NVN), l’outil standard dont Big Pharma, la FDA et le CDC ne veulent plus parler.

Une chose amusante est arrivée cet après-midi. Pas drôle comme quand on s’exclame “ha ha !“. Plutôt drôle comme dans, “ohhhhh c’est comme ça que la FDA truque le processus…“.

Je lisais le document des CDC intitulé “Guidance for Health Economics Studies Presented to the Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP), 2019 Update” et je me suis rendu compte que l’analyse bénéfice-risque lamentable de la FDA en rapport avec la demande d’autorisation d’utilisation d’urgence (Emergency Use Authorization, EUA) de Pfizer pour le vaccin des enfants de 5 à 11 ans viole de nombreux principes du guide d’orientation des CDC. Ce document décrit 21 points que toute étude d’économie de la santé relative aux vaccins doit respecter, et l’analyse bénéfice-risque de la FDA en a violé au moins la moitié.

Aujourd’hui, je veux me concentrer sur un seul facteur : le nombre de vaccinations nécessaires (NVN). À quatre endroits différents, le document d’orientation des CDC mentionne l’importance de déterminer ce nombre de vaccinations nécessaires. Je ne me rappelais pas avoir vu un NVN dans le document sur l’analyse bénéfice-risque de la FDA. J’ai donc vérifié à nouveau cette analyse et, bien sûr, il n’y avait aucune mention d’un NVN.

Comme la FDA n’a pas fourni de NVN, je vais tenter de le faire ici.

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Comment sauver le monde en trois étapes faciles – 1

Bret Weinstein se définit comme un professeur de biologie “en exil”, suite aux déboires qu’il a eus avec son université, l’Evergreen State College, en 2017. Ce temple du mouvement woke n’avait en effet rien trouvé de mieux que d’imposer des mesures clairement discriminatoires envers les Blancs en guise d’antiracisme, ce qui n’a – logiquement – pas plu à Weinstein et lui a valu de nombreuses attaques de la part d’activistes “antiracistes” (notez les guillemets), attaques dont son université s’est bien gardée de le défendre.

Ce docteur en biologie de l’évolution a fini par démissionner de ce temple de l’ignorance, avec sa femme Heather Heying elle aussi biologiste, après un procès où ils ne parvinrent à obtenir que 500 000 dollars de dédommagement (somme faible, aux USA, pour deux professeurs d’université perdant leur poste, vu les salaires pratiqués).

Bret et Heather animent depuis le Dark Horse Podcast, sur YouTube puis sur Odysee, vu l’épidémie de censure qui touche la première plateforme pour tous les intellectuels véritables, ceux qui ne confondent pas les verbes savoir et répéter. Début juin 2021, Bret invitait dans son émission Robert Malone, l’inventeur de la technique de vaccination à ARN, et Steve Kirsch, ingénieur et entrepreneur auteur d’un article très remarqué sur les dangers des vaccins anti-COVID à ARN ou ADN.

L’entretien, de 3 heures et 17 minutes, intitulé modestement How to save the world in three easy steps, fait l’effet d’une bombe, et cumule 800 000 vues en une semaine… avant que YouTube ne le censure, bien évidemment. C’est que les trois intervenants sont difficilement critiquables, tout en annonçant une catastrophe sanitaire sans précédent – qui n’est pas l’épidémie covidienne maintes fois brandie telle une promesse d’apocalypse, mais bien la vaccination expérimentale et à grande échelle contre la maladie.

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Qui a dit… ? (n°11)

Qui a dit ceci à propos de la COVID-19 :

“La chose que tout le monde doit savoir historiquement, c’est que même s’il peut exister une transmission asymptomatique, dans toute l’histoire des virus respiratoires de n’importe quel type, la transmission asymptomatique n’a jamais été déterminante pour la propagation des épidémies. Le facteur déterminant est toujours une personne symptomatique. Même si rarement une personne asymptomatique pourrait transmettre [le virus], une épidémie n’est jamais déterminée par des porteurs asymptomatiques.”

Le Pr Raoult ? Le Pr Toussaint ?

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La religion du chiffre, les CDC et les statistiques interdites

Les CDC, ou Centers for Disease Control, constituent l’agence fédérale de santé publique des États-unis. Elle vient de publier des statistiques étranges, qui seraient interdites en France puisqu’il n’est pas question ici de classer les individus selon leur appartenance ethnique.

Voici le graphe qui en résulte, concernant la population tous âges confondus à gauche, et de 18 à 22 ans à droite (donc correspondant aux étudiants de retour à l’université) :


Une chose est frappante sur ces deux graphes : l’extrême symétrie entre la courbe rouge (qui monte de façon “inquiétante” fin août et correspond à la population blanche non-hispanique) et la courbe bleue, qui correspond à la population “hispanique”. Il en résulte que si l’on additionne les deux, on aboutit à un total à peu près invariable au cours du temps.

Quelle est la bonne interprétation de ce joli dessin ?

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