Marie-Estelle Dupont sur la souffrance des enfants
et leur sacrifice par les adultes

[Note de l’administrateur de ce blog : une société qui ne protège pas les faibles, que ce soient les plus âgés – euthanasiés au Rivotril dès la “première vague” – mais aussi et surtout les plus jeunes qui représentent son avenir, est appelée à s’effondrer à courte échéance.

Ceux qui font subir aux enfants de telles monstruosités, en pure perte, devront un jour rendre des comptes et être mis hors d’état de nuire.

L’interview ci-dessous est un extrait de l’émission “Points de vue” du Figaro Live du 14 décembre 2021.]


Déclaration du Dr Robert Malone
sur la vaccination des enfants (texte + vidéo)

"Protect the vulnerable" - Sur le porte-bébé : logo "Pfarma" et inscription "gilet de sauvetage"

Sur le porte-bébé : logo “Pfarma”
et l’inscription “gilet de sauvetage”

Robert Malone est l’inventeur, ou au moins l’un des principaux inventeurs1 de la technique de vaccination à ARN. Il a lui-même reçu les injections anti-COVID Moderna et explique ici pourquoi il l’a fait.

Aujourd’hui extrêmement critique envers ces “vaccins” qu’il estime dangereux et nocifs pour les personnes en bonne santé, particulièrement les jeunes, il consacre son temps à dénoncer la corruption exercée par l’industrie pharmaceutique sur les agences de santé et les gouvernements, et prône l’utilisation de traitements précoces – comme l’ivermectine – en cas d’infection plutôt que la vaccination généralisée.

Il s’emploie aussi à dénoncer la censure dont lui et d’autres médecins ou chercheurs intègres sont victimes, particulièrement de la part des grandes plateformes médiatiques que sont YouTube, twitter ou facebook2.

Robert Malone est Directeur des Affaires Médicales et Réglementaires du Unity Project et président de l’Alliance Internationale des Médecins et Scientifiques Médicaux (International Alliance of Physicians and Medical Scientists). Il a fait le 11 décembre une déclaration sur la vaccination des enfants dont vous trouverez ci-dessous une traduction.

Le texte vient du compte substack de Robert Malone, et je reprends également l’introduction du texte qu’il donne sur cette page.

Mise à jour du 16 décembre : je rajoute également la vidéo sous-titrée en français par le compte twitter pro-science, anti-BS™.

——— Début de la traduction ———

Avant de vacciner votre enfant, ce qui est irréversible et potentiellement dommageable de manière permanente, découvrez pourquoi 16 000 médecins et scientifiques médicaux du monde entier ont signé une déclaration déclarant publiquement que les enfants en bonne santé ne devraient PAS être vaccinés contre le COVID-19. Au nom de ces praticiens et docteurs en médecine, j’ai publié une déclaration claire décrivant les faits scientifiques derrière cette décision.

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Combien faut-il vacciner d’enfants pour empêcher
un seul décès COVID parmi les enfants de 5 à 11 ans
selon les données de l’autorisation d’utilisation d’urgence accordée à Pfizer ?

On pourra toujours discuter à l’infini de la valeur exacte de ce nombre, qui dépend de la qualité des données utilisées – or on sait maintenant que Pfizer n’est pas vraiment très net sur ce point. Mais l’essentiel n’est pas là : il est de savoir, via les retours sur les effets indésirables des vaccins, et le facteur – lui aussi sujet à discussion – de sous-déclaration de ces effets indésirables, si le remède est pire que le mal. Et la réponse est sans aucune ambiguïté possible : oui, vu que “sauver une vie” nécessite d’en sacrifier beaucoup d’autres, ce qui n’est pas une conception très standard de la médecine.

Je vous propose ci-dessous la traduction d’un article original paru le 1er novembre sur le compte substack de Toby Rogers, un Australien qui aime les chiffres et les statistiques, en particulier sur l’autisme, sujet de sa thèse de doctorat.

——— Début de la traduction ———

Le nombre de vaccinations nécessaires (NVN), l’outil standard dont Big Pharma, la FDA et le CDC ne veulent plus parler.

Une chose amusante est arrivée cet après-midi. Pas drôle comme quand on s’exclame “ha ha !“. Plutôt drôle comme dans, “ohhhhh c’est comme ça que la FDA truque le processus…“.

Je lisais le document des CDC intitulé “Guidance for Health Economics Studies Presented to the Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP), 2019 Update” et je me suis rendu compte que l’analyse bénéfice-risque lamentable de la FDA en rapport avec la demande d’autorisation d’utilisation d’urgence (Emergency Use Authorization, EUA) de Pfizer pour le vaccin des enfants de 5 à 11 ans viole de nombreux principes du guide d’orientation des CDC. Ce document décrit 21 points que toute étude d’économie de la santé relative aux vaccins doit respecter, et l’analyse bénéfice-risque de la FDA en a violé au moins la moitié.

Aujourd’hui, je veux me concentrer sur un seul facteur : le nombre de vaccinations nécessaires (NVN). À quatre endroits différents, le document d’orientation des CDC mentionne l’importance de déterminer ce nombre de vaccinations nécessaires. Je ne me rappelais pas avoir vu un NVN dans le document sur l’analyse bénéfice-risque de la FDA. J’ai donc vérifié à nouveau cette analyse et, bien sûr, il n’y avait aucune mention d’un NVN.

Comme la FDA n’a pas fourni de NVN, je vais tenter de le faire ici.

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Des préadolescents britanniques pourront choisir de se faire vacciner sans l’accord de leurs parents (RT France)

[Note de l’administrateur de ce blog : quand une civilisation commence à sacrifier ses enfants, c’est mauvais signe. Voir sur ce sujet l’article toujours d’actualité de l’AIMSIB, ou celui donné en lien avec l’illustration.]


Même si les parents s’y opposent, les préadolescents (12-15 ans) pourront se faire vacciner s’ils sont «jugés capables de prendre une décision compétente», a fait savoir le 5 septembre le responsable gouvernemental du programme de vaccination.

Le Royaume-Uni a annoncé ce 5 septembre une décision qui risque de crisper encore un peu plus le débat concernant la controversée vaccination contre le Covid-19 des 12-15 ans. Interrogé par Times Radio, le sous-secrétaire d’Etat britannique pour le déploiement du vaccin, Nadhim Zahawi, a ainsi fait savoir qu’un adolescent favorable à la vaccination pourrait recevoir le sérum, et ce même si ses parents s’y opposent.

Affirmant que l’Agence de santé britannique (NHS) avait «une très bonne expérience en la matière», puisqu’elle mettait en œuvre des programmes de vaccination dans les écoles depuis très longtemps, Nadhim Zahawi a déclaré que les médecins discuteraient de la question avec les parents ainsi que les adolescents, et que si ceux-ci sont «jugés capables de prendre une décision compétente», alors le dernier mot leur reviendra. «Donc pour être clair, l’adolescent peut passer outre l’absence de consentement parental ?», insiste alors le journaliste, ce à quoi Nadhim Zahawi répond de nouveau par l’affirmative.

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Arrêtez le massacre !
(Dr Alain Bellaïche, gynécologue-obstétricien)

[Note de l’administrateur de ce blog : il faut le dire tout à fait clairement, la vaccination forcée d’enfants et de femmes enceintes avec des produits de thérapie génique en phase expérimentale, et dont on ignore tout des effets à long terme mais dont on connaît déjà (et commence à comprendre) certains effets graves ou létaux à court terme, est un génocide tel que défini à l’article 211-1 du Code pénal :

“Constitue un génocide le fait, en exécution d’un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d’un groupe national, ethnique, racial ou religieux, ou d’un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire, de commettre ou de faire commettre, à l’encontre de membres de ce groupe, l’un des actes suivants :

– atteinte volontaire à la vie ;

– atteinte grave à l’intégrité physique ou psychique ;

– soumission à des conditions d’existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe ;

– mesures visant à entraver les naissances ;

– transfert forcé d’enfants.”

 
Le génocide est puni de la réclusion criminelle à perpétuité.]


Bild demande pardon (traduction philippe detaille)

[Note de l’administrateur de ce blog : c’est un début. Le reste viendra, sous forme de débâcle, pour tenter de récupérer des lecteurs/spectateurs partis, dégoûtés. Et qui ne reviendront pas.

La vidéo originale en allemand a été publiée le 28 mai.]


Pourquoi les petits enfants sont-ils malades en voiture
plus souvent que leurs parents ?

<i>Le</i> pendule est l'élément central de <i>la</i> pendule <br>(et du coucou).

Le pendule est l’élément central de la pendule
(et du coucou).

La semaine dernière, j’encadrais des travaux pratiques de physique pour des étudiants de première année. Parmi les expériences à réaliser, figurait l’étude des oscillations d’un pendule pesant. Comme beaucoup d’expériences maintenant, celle-ci était informatisée, l’axe du pendule (constitué d’une tige métallique sur laquelle est serrée une masselotte) étant relié à une centrale d’acquisition qui mesure l’angle du pendule à intervalles de temps réguliers, et le transmet à un logiciel qui peut ainsi afficher de belles sinusoïdes plus ou moins amorties sur l’écran de l’ordinateur.

Une bonne partie du temps de travail des étudiants consiste à produire des courbes correctes d’abord (donc à apprendre le maniement du logiciel), avant de les analyser et d’en tirer des informations, comme par exemple l’accélération de la pesanteur terrestre (notée habituellement g). En effet, pour un pendule simple et dans l’approximation des petites oscillations, la période T_0 d’un pendule de longueur l est donnée par la célèbre1 formule :

    \[ T_0 = 2\pi\sqrt\frac lg \]

En mesurant cette période (avec un chronomètre) et en mesurant la longueur du pendule (avec une règle), on  peut donc déterminer l’accélération de la pesanteur,

    \[ g = l \left( {2\pi} \over {T_0} \right)^2 \]

L’expérience est assez simple et donne des résultats plutôt “jolis” à l’écran, c’est-à-dire conformes aux belles courbes théoriques introduites en cours par les enseignants. Mais justement, c’est ce côté précis et un peu froid qui rebute souvent certaines personnes dans la physique. J’eus alors l’idée de m’échapper un peu du cadre strict de la physique “désincarnée” pour poser aux étudiants une devinette : “savez-vous pourquoi les petits enfants sont souvent malades en voiture ?”

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