Boutcha (2) : 10 questions sans réponses (Michel Collon)

[Note de l’administrateur de ce blog : si Michel Collon excelle dans le démontage des “mediamensonges” (terme qu’il a inventé), il faut reconnaître que la tâche est relativement aisée dans le cas de la propagande kiévienne, puisque même certains des diffuseurs de la propagande (Pentagone, BBC) n’osent pas vraiment la soutenir jusqu’au bout, conscients sans doute de sombrer dans le ridicule.

Michel Collon avait déjà publié une première vidéo, forcément moins aboutie, sur l’affaire de Boutcha le 5 avril, d’où le n°2 pour celle-ci, sortie le 12 avril.]


Le massacre de Boutcha, un Timișoara à l’ukrainienne (Donbass Insider)

[Note de l’administrateur de ce blog : la fascination pour les images, et la croyance naïve qu’elles constituent des preuves de l’existence de ce qu’elles représentent, est probablement le levier le plus efficace de la propagande de guerre.

Parallèlement à cet article (de reporters sur le terrain), le New York Times essaie par exemple de démontrer via des images satellites que les corps qui jonchaient les rues à Boutcha étaient bien présents avant le départ des Russes… et même très longtemps avant puisqu’on parle, sur certaines photos, d’apparition de ces corps entre le 9 et le 11 mars (les Russes ayant entièrement évacué la ville le 30).

Resteront à expliquer les étonnantes déclarations du maire de Boutcha le 31 mars, donc après le départ des l’armée russe, ne disant pas un mot du massacre et disant même “grâce à Dieu, nous sommes tous vivants”.]


Le 3 avril 2022, les autorités ukrainiennes et les Occidentaux ont accusé la Russie d’avoir commis un massacre sur des civils de Boutcha, une localité située en périphérie de Kiev. Mais plusieurs incohérences indiquent que le massacre de Boutcha est un épisode digne de l’affaire des charniers de Timisoara (un cas d’école de désinformation).

Pour comprendre ce qui s’est réellement passé, il faut reprendre la chronologie des événements.

Le 30 mars 2022, l’armée russe se retire de Boutcha, dans le cadre du redéploiement des troupes vers le théâtre principal des opérations, à savoir le Donbass. Alexandre Kots, un journaliste qui était avec les troupes russes à Boutcha dit même que l’armée russe avait commencé à se retirer de cette zone déjà plusieurs jours avant, et que le 30 mars est juste la date à laquelle les derniers soldats sont partis. L’armée ukrainienne n’a pas réalisé immédiatement que l’armée russe était partie et a continué à bombarder la zone pendant plusieurs jours, ce qui a pu provoquer des pertes civiles.

Le 31 mars 2022, le maire de Boutcha, Anatoli Fedorouk, enregistre une vidéo, où il exprime sa joie concernant le départ des forces armées russes de sa ville. À aucun moment dans la vidéo il ne parle de massacre de civils. Le maire affiche un grand sourire et parle de victoire, etc. Pas un mot sur un éventuel massacre àBoutcha, pas un mot sur des pertes civiles. Rien. Ce qui est pour le moins étrange.

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Arrêtez le massacre !
(Dr Alain Bellaïche, gynécologue-obstétricien)

[Note de l’administrateur de ce blog : il faut le dire tout à fait clairement, la vaccination forcée d’enfants et de femmes enceintes avec des produits de thérapie génique en phase expérimentale, et dont on ignore tout des effets à long terme mais dont on connaît déjà (et commence à comprendre) certains effets graves ou létaux à court terme, est un génocide tel que défini à l’article 211-1 du Code pénal :

“Constitue un génocide le fait, en exécution d’un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d’un groupe national, ethnique, racial ou religieux, ou d’un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire, de commettre ou de faire commettre, à l’encontre de membres de ce groupe, l’un des actes suivants :

– atteinte volontaire à la vie ;

– atteinte grave à l’intégrité physique ou psychique ;

– soumission à des conditions d’existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe ;

– mesures visant à entraver les naissances ;

– transfert forcé d’enfants.”

 
Le génocide est puni de la réclusion criminelle à perpétuité.]