[Note de l’administrateur de ce blog : on trouvera évidemment des individus pour devenir hystériques rien qu’à l’énoncé de cette question.
Au nom de l’incommensurabilité du crime suprême dont il est inenvisageable d’oser penser qu’il constituerait peut-être une constante de l’histoire humaine, plutôt qu’une exception à jamais exceptionnelle.
Eh bien, qu’ils aillent se faire voir, dans un esprit de fraternité républicaine bien entendu. Et qu’ils s’informent, aussi.]
TRIBUNE — La nouvelle est tombée ce week-end. Voici ce que vient de faire la Lettonie, une démocratie de l’Union européenne :
On ne peut pas imaginer mesure plus « anti-démocratique ». Il n’y a évidemment aucune justification « sanitaire ». C’est de la discrimination politique pure et dure contre les non-vaccinés, sans la moindre raison valable.
Étonnamment, il n’y a eu aucune réaction de l’Union européenne, d’habitude si prompte à tancer les pays qui violent les droits fondamentaux. Alors, peut-être me direz-vous que la Lettonie est une démocratie « récente ». Mais regardez ce qui vient d’être décidé en Autriche :
Cela veut dire que les non-vaccinés n’auront plus le droit de sortir de chez eux, sauf pour travailler, faire du sport et faire leurs courses alimentaires (ils n’auront pas le droit d’acheter des cadeaux de Noël pour leurs enfants). C’est une privation de liberté inouïe à l’encontre d’une minorité de citoyens.
En Allemagne, on n’en est pas très loin. Car certaines régions allemandes ont déjà mis en place un passe vaccinal : les non-vaccinés n’ont plus du tout accès aux restaurants ni aux salles de sport – un test négatif ne suffit pas.
Et, que dire de ce qui se passe dans les « grandes démocraties historiques », anglo-saxonnes ?
[Note de l’administrateur de ce blog : la liste s’allonge, et s’allongera encore, jusqu’au point où les moutons retrouveront leurs esprits. Ce sera alors un changement d’époque, et certains devront se faire tout petits.]
Après s’être entendu dire : pas de vaccin, pas de travail, la star équestre Cienna Knowles, une jeune sportive Australienne de 19 ans, a fait sa deuxième dose de vaccin le jeudi 21 octobre à 10 heures et dans la nuit, l’enfer a commencé, comme elle en témoigne sur Instagram : « Cette nuit-là, je me suis réveillée tellement malade avec des vomissements, fièvre, sueur, palpitations cardiaques, maux de tête, douleurs musculaires et articulaires, vision floue, c’était l’enfer. J’avais tellement mal à ce stade, je savais que quelque chose n’allait vraiment pas. »
Le lendemain, son médecin envoie Cienna Knowles d’urgence à l’hôpital : « J’ai été dans le service respiratoire avec des caillots dans mes jambes, mon estomac et mes deux poumons. La quantité de caillots sur mes poumons équivaut à avoir des côtes cassées, donc douloureuses et des difficultés à respirer. »
[Note de l’administrateur de ce blog : Mathieu Fontenelle est un sportif de haut niveau, marathonien et davantage (ici sa page facebook). Il a relaté hier sur twitter le calvaire qu’il subit depuis sa “vaccination anti-COVID” (deuxième dose Pfizer), et l’aveuglement ou la mauvaise foi de certains médecins lorsqu’il s’agit de faire le lien entre ses problèmes de santé et la vaccination. Je reproduis ci-dessous l’ensemble du témoignage qu’il a rapporté dans une série de 16 tweets.
On pourra également consulter l’histoire similaire d’un coach sportif de 26 ans, ayant déjà attrapé le Covid en mars 2020 et ayant gardé beaucoup d’anticorps, mais “obligé” (pour raisons économiques) de se faire vacciner.
Aujourd’hui j’aimerais juste vous faire un retour d’expérience sur les effets secondaires du vaccin et les conséquences rares que cela peut entraîner. Après 2 nuits à l’hôpital, je ne sais pas quand je retrouverai la forme d’avant.
Avant tout, je tiens à préciser que je ne suis pas contre le vaccin et on a bien pu en voir les bénéfices dans notre société.
Contexte : lundi 18 octobre 8:30, je fais cette seconde dose Pfizer. Pour info, je suis runner depuis déjà quelques années, je m’entraîne 8-10h par semaine, mange sainement donc plutôt en bonne forme.
Lundi j’enchaîne une journée normale de travail, un petit tour à vélo le soir très léger et je rentre me reposer. Vers 21h les premiers symptômes débutent avec de la fatigue, courbatures et surtout un essoufflement très suspect.
Mardi 19 : nuit cauchemardesque et ceux qui ont subi la seconde dose peuvent deviner. Frissons, montées de chaleur, douleurs dans tout le corps, mal de tête, diarrhée et ce souffle court. La journée est longue, je fonds en larmes rien qu’en faisant un A/R dans la cuisine.
La douleur est dans tout le corps, je tourne de l’œil à chaque effort. Jusque là je me dis que c’est les effets secondaires annoncés. Doliprane pris, je souffre sévère mais je dois l’accepter. Je suis incapable de vous dire la dernière fois où j’ai été si mal en point…
Comme l’a souvent rappelé Dieudonné lors d’entretiens avec des journalistes (à l’époque où il y en avait encore), “pour faire rire, il suffit de dire la vérité”. Ou parfois de transposer cette vérité dans un domaine où elle peut plus facilement être appréhendée parce que, en apparence, accessoire.
Le rouleau compresseur de la propagande et le comportement moutonnier de la plupart des humains ayant malgré tout un effet de sape sur l’intelligence et le moral des personnes ayant gardé une forme de lucidité et d’esprit critique, le décalage permet de mieux contempler la scène et l’humour de se libérer des tensions psychiques toxiques qui finissent par s’accumuler. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si la propagande s’en prend aux meilleurs humoristes pour essayer de les faire passer pour de dangereux terroristes, et laisse tranquille les plus médiocres.
Pour l’immédiat, revisitons donc la bouffée délirante covidienne avec JP Sears, comédien texan, dont je vous propose ci-dessous le sous-titrage de sa dernière vidéo. JP Sears finance son activité par des publicités pour des compléments alimentaires en fin de vidéo ; je n’ai bien évidemment pas traduit la publicité.
[Note de l’administrateur de ce blog : il faut le dire tout à fait clairement, la vaccination forcée d’enfants et de femmes enceintes avec des produits de thérapie génique en phase expérimentale, et dont on ignore tout des effets à long terme mais dont on connaît déjà (et commence à comprendre) certains effets graves ou létaux à court terme, est un génocide tel que défini à l’article 211-1 du Code pénal :
“Constitue un génocide le fait, en exécution d’un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d’un groupe national, ethnique, racial ou religieux, ou d’un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire, de commettre ou de faire commettre, à l’encontre de membres de ce groupe, l’un des actes suivants :
– atteinte volontaire à la vie ;
– atteinte grave à l’intégrité physique ou psychique ;
– soumission à des conditions d’existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe ;
– mesures visant à entraver les naissances ;
– transfert forcé d’enfants.”
Le génocide est puni de la réclusion criminelle à perpétuité.]
[Note de l’administrateur de ce blog : Reza Moghaddassi, agrégé de philosophie né d’un père iranien et d’une mère française, enseigne au Gymnase (lycée1) Jean-Sturm à Strasbourg.]
A tous les gens raisonnables et très intelligents qui s’indignent devant ceux qui ne veulent pas se faire vacciner.
Pardonnez-moi d’avoir des doutes sur la sûreté de ce que vous appelez en chœur des « vaccins ». Je devrais en effet faire aveuglément confiance à la télé et aux autorités. Je devrais faire confiance aux études fournies par les laboratoires pharmaceutiques même s’ils ont été condamnés ces dernières années à des milliards de dollars d’amendes notamment pour fraude scientifique.
Pardonnez-moi mon égarement et mon effort pour comprendre la justification scientifique des mesures qui sont prises.
Pardonnez-moi de chercher à évaluer la proportionnalité des mesures prises par rapport aux risques encourus.
Pardonnez-moi de confronter le discours des scientifiques lourds de liens et de conflits d’intérêts avec ceux qui n’en ont pas.
Pardonnez-moi de chercher à comprendre la nature des controverses scientifiques plutôt que de me ranger dans la dictature d’une pensée autorisée arrogante et partiale.
Pardonnez-moi de ne pas vouloir être le cobaye d’injections expérimentales en cours d’essais cliniques.
Pardonnez-moi d’oser regarder les chiffres officiels (pourtant largement sous-évalués) des morts et des effets indésirables graves liés aux différents vaccins en cours au lieu de laisser cela aux « experts » ou bien de reconnaître simplement que tous ces évènements ne sont que des coïncidences sans lien de causalité établie.
Pardonnez-moi de ne pas vouloir faire prendre le risque d’effets secondaires graves à mes enfants alors qu’ils n’ont quasiment aucune chance de faire une forme grave du covid et que personne n’est capable honnêtement et scientifiquement de reconnaître un rapport bénéfice risque favorable pour eux d’une telle vaccination.
[Note de l’administrateur de ce blog : le sujet des vaccins fait partie de ceux, avec d’autres comme le terrorisme, qui peuvent faire basculer des opinions et réveiller les plus naïfs croyant encore vivre dans des démocraties.
En effet, là aussi les preuves s’accumulent de mensonges d’État, de dissimulations criminelles et de corruption à grande échelle qui conduit des autorités sanitaires à sacrifier le bien commun au profit d’intérêts particuliers. À ce sujet, je rappelle également ci-dessous quelques éléments de réflexion.]
Le leader de La Ligue, Matteo Salvini, a qualifié les vaccins prétendus nécessaires, « d’inutiles », et a poursuivi en déclarant que ces vaccins étaient « souvent dangereux, voire nocifs ».
A partir de maintenant ces vaccins ne seront plus exigés. Par un vote de 148 voix contre 110 à la Chambre haute du Parlement, l’Italie a éliminé les lois ayant trait aux vaccins obligatoires et se veut plus accueillante aux diverses opinions.
Les 10 vaccinations nécessaires pour pouvoir fréquenter l’école maternelle sont désormais suspendues, du moins en termes de lois obligatoires.
On pourra également lire avec grand intérêt ce rapport américain de 2002, transcription d’un colloque de toxicologie, et en particulier la page 220 où le Dr. Natalie Garçon, représentant le groupe pharmaceutique GlaxoSmithKline, déclare dans une discussion sur l’introduction de nouveaux adjuvants vaccinaux :
Darja et Yehuda ne sont pas vraiment d’accord avec Marisol et Agnès. Normal, ils servent la science, pas la finance.
[Note de l’administrateur de ce blog : en matière de vaccination, on en entend de belles. Déjà avec l’ex-ministre qui disait que “la vaccination, ça ne se discute pas” (ah bon, cela n’a rien de scientifique alors ?), et aujourd’hui avec la mère fouettarde ministre en exercice qui justifie l’interdiction de crèche et d’école pour les enfants non vaccinés au motif qu’ils pourraient exposer “les autres enfants à des virus mortels” (mais à quoi donc servent les vaccins, alors ? c’est les non-vaccinés qui ne craignent rien et les vaccinés qui risquent leur vie ? comprends plus, moi…). On pourrait aussi bêtement lui faire remarquer que ni en Espagne, ni en Allemagne, ni en Angleterre (entre autres…) la vaccination n’est obligatoire, mais c’est sans doute parce que ces pays sont arriérés et que leurs ministres de la santé respectifs n’ont pas encore été informés des bienfaits de cette pratique médicale révolutionnaire.
Mais rassurez-vous (si j’ose dire), nombre de mes proches collègues ne sont pas en reste. Il ne s’agit pas de médecins, la faculté de médecine n’existe pas à Pau ; mais de scientifiques qui se prétendent rationnels. Et qui ont quelque peine à comprendre que :
la vaccination agit, par définition, sur le système immunitaire ; ce qui n’a rien d’anodin et devrait inciter à la prudence, en particulier sur les patients immuno-déficients (nouveaux-nés, personnes âgées), et en cas de multiplication des vaccinations
conséquence du point ci-dessus, il ne paraît pas aberrant de rechercher la cause de l’augmentation des maladies auto-immunes du côté des vaccinations, surtout précoces et massives
il est difficile d’évaluer les risques d’une pratique médicale quelconque en ne prenant en compte que ses aspects positifs (ne rigolez pas, j’ai vu des “démonstrations” du bénéfice vaccinal sur une base de calculs statistiques (justes) ne prenant en compte que les probabilités des bénéfices)
Mais assez parlé. Je vous invite à lire le billet suivant issu du blog d’un médecin généraliste, qui relate les conclusions d’un article scientifique (dont les auteurs figurent en illustration ci-dessus) paru en août 2016, et que les plus courageux pourront lire ici. Il semble, hélas, que contrairement à ce médecin-blogueur beaucoup de ses confrères ne connaissent de la recherche médicale que ce que les visiteurs médicaux viennent leur en présenter. J’en ai rencontré. Plusieurs.
Une commentatrice a cité, sur le blog d’un confrère, une étude scientifique qui m’a interpellé.
Je la remercie pour sa veille scientifique.
Je suis allé lire cet article.
Il est publié dans une revue d’immunologie, revue très spécialisée. Cet article pose le problème de réactions croisées entre les gènes des virus utilisés dans certaines vaccinations et les gènes humains.
Le titre de cet article est le suivant :
From HBV to HPV: Designing vaccines for extensive and intensive vaccination campaigns worldwide.
Ce qui signifie : « Du HBV (virus de l’hépatite B) au HPV (Papilloma virus humain) : conception de vaccins pour des campagnes de vaccination intensives et à grande échelle dans le monde entier. »
Que dit cet article ?
« Depuis 2000, des recherches intensives ont été menées sur des protéines humaines et microbiennes recherchant des déterminants immunogènes et des séquences courantes croisées . De telles études peuvent avoir une pertinence particulière pour comprendre les interactions hôte-pathogène en relation avec les maladies humaines. »
« En fait, les réponses immunitaires de l’hôte à la suite d’une infection pathogène peuvent provoquer des réactions croisées – et éventuellement des maladies auto-immunes – lorsque l’hôte et le pathogène partagent des séquences identiques d’acides aminés au sein de leurs gènes. De toute évidence, plus l’étendue du partage des séquences est élevée, plus le risque de provoquer des maladies auto-immunes ou des réactions pathologiques risque d’être élevé. Ces considérations tiennent également dans les procédures de vaccination, surtout si l’on considère que les vaccins utilisent des adjuvants pour briser les mécanismes d’auto-tolérance de protection qui empêchent une autoréactivité néfaste. Par conséquent, il faut s’attendre à des réactions croisées lorsque des antigènes ayant un pourcentage élevé d’identité de séquence avec des molécules hôtes sont utilisés dans des formulations de vaccins. »
[Note de l’administrateur de ce blog : si vous pensez encore que le but premier de l’industrie pharmaceutique est d’œuvrer pour une meilleure santé, et que vous voyez en particulier toute critique de la vaccination comme un délire “complotiste” , je vous conseille vivement de commencer par regarder la vidéo ci-dessous, où l’ancien dirigeant de la multinationale britannique GlaxoSmithKline (GSK) Jean Stéphenne explique tranquillement à un parterre de businessmen, le sourire aux lèvres, la logique qui commande la réalisation de vaccins multivalents tels que l’Infanrix Hexa® de GSK. Une logique qui n’a rien de médical.
Et en lisant l’article de Santé Corps Esprit qui suit, vous apprendrez que le fameux “syndrome de la Guerre du Golfe” , dont souffrent de nombreux vétérans de guerre américains, et qui fut un peu rapidement attribué par des journalistes aux méchantes armes à uranium appauvri utilisées par les méchants Américains, est en réalité une conséquence directe… de la vaccination préventive et massive administrée aux militaires.
On retiendra également qu’après la vaste blague de la “concertation citoyenne sur la vaccination”, où on a bien pris soin d’écarter du débat toute personne ayant des choses intéressantes et scientifiquement prouvées à dire sur la dangerosité de certains vaccins (ou de la vaccination sur certaines personnes au profil génétique particulier), le rapport du Comité d’Orientation (anonyme…) ne propose rien de mieux, pour lutter contre la défiance grandissante du public envers la vaccination, que de rendre obligatoires des vaccins jusque-là conseillés en France, portant ainsi à 11 (onze) le nombre de vaccins obligatoires contre 3 aujourd’hui (mais en pratique au moins 5 ou 6, suite au lobbying intensif de GSK et ses concurrents) !
Enfin, puisqu’il est toujours intéressant de regarder ailleurs pour s’aérer l’esprit, on notera que la vaccination n’est pas obligatoire ni en Espagne, ni en Allemagne, ni au Royaume-Uni par exemple. Certainement par la faute d’une négligence coupable des autorités sanitaires des pays concernés, car “la vaccination, ça ne se discute pas !”, comme l’a proclamé la très incompétente Marisol Touraine, aussi à l’aise avec les arguments médicaux qu’une poule avec le maniement d’un couteau.]
C’est un livre qui se lit comme un roman policier… et qui révèle au grand jour la stupéfiante corruption politico-médicale destinée à vous cacher les « effets indésirables » de certains vaccins.
Son auteur, le Pr Romain Gherardi, n’est pas n’importe qui.
Professeur de médecine à 38 ans, il est à la tête d’un prestigieux centre hospitalier français sur les maladies neuro-musculaires. Il a publié plus de 300 articles de recherche dans des revues médicales de premier plan (Lancet, New England Journal of Medicine, Brain, etc.).
Médecin rempli d’humanité et chercheur exigeant, il n’a rien d’un provocateur. Il ne manque jamais une occasion de rappeler que les vaccins ont sauvé des millions de vies.
Mais il refuse qu’on empêche le grand public de connaître certains effets indésirables évitables des vaccins contenant de l’aluminium.
Il n’accepte pas qu’on cherche à étouffer des recherches scientifiques d’utilité publique, qui pourraient éviter des milliers de maladies graves… et peut-être même soulager des millions de patients victimes du terrible « syndrome de fatigue chronique ».
Tout ce qu’il souhaite, c’est la vérité, y compris si elle dérange. Et il l’a payé au prix fort.
En quelques années, il est passé du statut de « star enviée de la médecine », consulté officiellement par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), à celui d’un homme que l’on évite, dont on refuse de financer les recherches.
Son seul crime : avoir mis au jour une vérité très embarrassante pour l’industrie du vaccin.