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“@POTUS n’a pas tweeté.”

POTUS (President Of The United States) est l’acronyme désignant le président des États-Unis d’Amérique en fonction, tout comme FLOTUS (First Lady Of The United States) est celui de la “première dame”. Tout le monde l’avait remarqué, Donald Trump n’est pas très apprécié de Twitter ni de Facebook, deux entreprises très cool qui tout en prétendant permettre à chacun d’être relié aux autres de façon neutre, ont en réalité un agenda politique très précis et censurent, de façon visible ou invisible, toute pensée déviante par rapport à cet agenda.

Ces dernières 24 heures, la censure vient de passer à la vitesse supérieure, une véritable folie de la purge s’étant emparée des “big tech”. Ainsi non seulement le compte twitter de Donald Trump (@realDonaldTrump) a été suspendu1, ainsi que ceux de très nombreuses personnes publiques le soutenant : le général Flynn (@GenFlynn), l’avocate Sydney Powell (@SidneyPowell1), l’avocat Lin Wood (@LLinWood), l’activiste pro-Trump Ron (@CodeMonkeyZ)… mais même le compte twitter officiel du Président des États-Unis en exercice, President Trump (@POTUS) a été purgé et fait apparaître la mention – assez comique, vu le personnage :

@POTUS n’a pas tweeté.

Quand il le fera, ses Tweets apparaîtront ici.

À ce niveau-là de censure grossière, sur un compte de 33,4 millions d’abonnés – qui se sont donc, selon twitter, tous abonnés dans l’espoir que le Président des États-Unis daigne un jour leur envoyer un message – on hésite entre le fou-rire et la colère. Mais rions plutôt, et comprenons que c’est le début de la fin – une fin déjà bien entamée – pour la dictature souriante mais féroce des “réseaux sociaux” et le début d’un éveil de l’humanité entière au problème de leur quasi-monopole, un problème jusque-là dénoncé surtout par les “complotistes”, selon le point de vue des mass media et des gardiens des réseaux sociaux.

Aujourd’hui, même le plus crétin des crétins peut voir twitter afficher que le compte officiel du Président des États-Unis n’a jamais tweeté (tout en maintenant “11 k Tweets” dans le titre : quand on commet un crime, il vaut mieux effacer toutes les traces) et en déduire que twitter est la dernière des pourritures. Ce n’est que le commencement. Même le dernier des crétins peut aussi constater que l’affichage de la page du “POTUS” diffère suivant qu’il se rend directement sur twitter ou… qu’il lit l’intégration2 de cette exacte même page twitter sur mon blog, ci-dessous :

 

 

Non, je n’ai pas de pouvoirs surnaturels, ni de relations chez twitter… je montre juste, par l’absurde, que quiconque contrôle les media contrôle tout. Les organisateurs du 11-Septembre le savaient très bien. Et en l’occurrence, cette réapparition bizarre d’un tweet enfoui ne doit sans doute rien à une volonté tordue quelconque, mais plutôt au fait que le message en question a été retweeté par le POTUS – et non émis directement par lui – et qu’un programmeur a oublié quelque part une ligne de code qui aurait empêché cette incohérence d’apparaître en pleine lumière.

Le 2 juillet 1890, le Sherman Antitrust Act ou loi antitrust Sherman fut la première tentative du gouvernement américain de briser des monopoles industriels jugés dangereux pour la démocratie, et en particulier celui de la Standard Oil et de l’American Tobacco Company, qui seront finalement démantelées en 1911. Aujourd’hui, les sociétés pétrolières et les grandes entreprises du tabac ont toujours une capacité de lobbying très importante, trop sans doute, mais ne constituent plus le danger essentiel, car le marché de l’énergie est plus diversifié et l’asservissement des consommateurs passe par d’autres moyens que la vente de tabac, dont la nocivité est maintenant connue de tous.

La guerre qui fait rage actuellement – car c’est une véritable guerre, et mondiale en plus – oppose différents camps, qui ne sont plus forcément des nations (très affaiblies, derrière leurs façades) mais des groupes de pression industriels et idéologiques, voire religieux. Le véritable enjeu d’aujourd’hui est l’asservissement des peuples par l’industrie alimentaire, l’industrie pharmaceutique et les “big tech” contrôlant l’information, que ce soit par le hardware, le software ou même… l’ingénierie sociale, qui utilise les réseaux sociaux pour parvenir à ses fins.

(pour ceux qui préfèrent lire, voir ici une présentation du livre Neuro-pirates de Lucien Cerise).

Au prix d’une censure de plus en plus grossière, qui finira (et même finit, on peut déjà parler au présent) par se retourner contre eux, les instruments de la dictature cool par parasitage des esprits ont réussi à faire passer auprès d’un grand nombre Donald Trump pour un fou, un dictateur, un nouveau Hitler, un sexiste, un raciste et j’en passe, alors qu’il n’est rien de tout cela, et que ces qualificatifs pourraient en revanche s’appliquer à beaucoup de ceux qui organisent cette propagande. Malcom X nous avait pourtant prévenus :

Les media sont l’entité la plus puissante au monde. Ils ont le pouvoir de rendre l’innocent coupable et le coupable innocent, et c’est ça le pouvoir. Parce qu’ils contrôlent l’esprit des masses.

Trump a certes beaucoup de défauts – dont celui d’un ego surdimensionné, mais c’est une caractéristique nécessaire pour le poste, et il est effectivement “fou” au point d’avoir accepté de3 devenir le Président des États-Unis au lieu de profiter de sa fortune et de sa vieillesse – mais il est bien plus profondément humaniste qu’un Biden qui (en plus de ses penchants plus que suspects envers les jeunes et même petites filles) dénie à un Noir le droit de voter comme il l’entend en lui affirmant que s’il a un problème pour savoir s’il vote pour lui ou pour Trump, il n’est pas Noir. L’esclavagisme remonterait-il à la surface ?

Rappelons pour les distraits que ce sont bien les Républicains, et non les Démocrates, qui ont aboli l’esclavage aux USA, par la personne du président Abraham Lincoln qui a fait ratifier le XIIIe amendement à la Constitution en décembre 1865.

Chacun sait que la première victime d’une guerre, c’est la vérité. Mais quand cette guerre porte, en plus, sur les moyens de contrôle de l’information, l’effet s’en trouve décuplé. Ce qui peut au final s’avérer bénéfique pour la vérité : si la plupart des gens sont insensibles aux mensonges d’une propagande bien ficelée, beaucoup commencent à tiquer lorsqu’on commence par leur dire que les masques ne servent à rien pour se protéger d’une maladie infectieuse, et qu’ensuite on les traite de criminels s’ils osent rechigner à les porter en permanence. Ou lorsqu’on traite de charlatan l’un des plus grands infectiologues au monde. Ou lorsqu’on compare à Hitler le premier président des États-Unis qui n’a pas déclenché de nouvelles guerres depuis bien longtemps, et qui certes aime rouler les mécaniques… pour ensuite apaiser les tensions, quand il arrive à faire plier les faucons va-t-en guerre du Pentagone et de Washington.

Accrochez-vous, ça va tanguer. Mais pas à twitter, facebook ou YouTube : quand on ne sait pas nager, on ne s’accroche pas à un bateau en train de couler (et même quand on sait nager…). Si vous voulez absolument rester “branché”, migrez plutôt sur VK, Telegram ou gab, par exemple (ou encore Parler), et regardez des vidéos sur Rumble (ou Odyssee).

Et n’oubliez surtout pas que la véritable connaissance procède de l’expérience personnelle, pas de celle dont vous êtes spectateur. Si ce n’est déjà fait, il vous faudra donc rapidement renoncer au spectacle que vous prenez pour la réalité, sous prétexte que le même est renvoyé par une myriade de miroirs, au besoin en vous aidant de livres en bon vieux papier comme ceux des inévitables Aldous Huxley et George Orwell, deux écrivains visionnaires. Ou encore, pour prendre des auteurs contemporains et des approches très différentes mais complémentaires, Israël Adam Shamir, Hervé Juvin et François Roddier.

  1. Sa vidéo de demande d’apaisement, de respect de la loi et de l’ordre suite à l’occupation du Capitole avait déjà été censurée le 6 janvier, on se demande bien pourquoi…
  2. En réalité, par la simple recopie de l’adresse web \texttt{https://twitter.com/POTUS}, et non du code d’intégration proposé par twitter.
  3. Oui, j’ai bien écrit accepté de et pas cherché à

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