De quoi le scandale Fact & Furious est-il le nom ? L’analyse d’Idriss Aberkane, Didier Maïsto et Xavier Azalbert
(France Soir)

[Note de l’administrateur de ce blog : le scandale “Fact & Furious” ne fait que commencer et, comme le dit très bien Idriss Aberkane, la réaction des media de grand chemin pour tenter de l’étouffer prouve en elle-même l’existence de ce “cartel de l’information” que les principaux intéressés nient bien sûr de toutes leurs forces, en traitant ceux qui soulèvent le problème de “complotistes”.

La vidéo est longue (1 h 34) mais ne traîne pas en longueur ; chaque intervenant apporte sa part à l’édifice de réappropriation de l’information, de façon claire et utile. Merci à eux.]


Dans cet “Entretien essentiel“ sous forme d’une discussion-débat, l’essayiste et conférencier Idriss Aberkane, le journaliste indépendant Didier Maïsto et le directeur de la publication de FranceSoir Xavier Azalbert décryptent le système médiatique mainstream : invisibilisation, diffamation, collusion… sans langue de bois aucune, les trois participants à cette émission analysent les techniques de manipulation employées par ces médias qui ont « une approche perverse de l’information ». Un entretien qui fait suite à l’enquête menée par FranceSoir et Idriss Aberkane sur Fact & Furious, site de fact-checking controversé aujourd’hui fermé, dont les révélations ont mis en lumière les compromissions du « cartel des fact-checkers ».

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“@POTUS n’a pas tweeté.”

POTUS (President Of The United States) est l’acronyme désignant le président des États-Unis d’Amérique en fonction, tout comme FLOTUS (First Lady Of The United States) est celui de la “première dame”. Tout le monde l’avait remarqué, Donald Trump n’est pas très apprécié de Twitter ni de Facebook, deux entreprises très cool qui tout en prétendant permettre à chacun d’être relié aux autres de façon neutre, ont en réalité un agenda politique très précis et censurent, de façon visible ou invisible, toute pensée déviante par rapport à cet agenda.

Ces dernières 24 heures, la censure vient de passer à la vitesse supérieure, une véritable folie de la purge s’étant emparée des “big tech”. Ainsi non seulement le compte twitter de Donald Trump (@realDonaldTrump) a été suspendu1, ainsi que ceux de très nombreuses personnes publiques le soutenant : le général Flynn (@GenFlynn), l’avocate Sydney Powell (@SidneyPowell1), l’avocat Lin Wood (@LLinWood), l’activiste pro-Trump Ron (@CodeMonkeyZ)… mais même le compte twitter officiel du Président des États-Unis en exercice, President Trump (@POTUS) a été purgé et fait apparaître la mention – assez comique, vu le personnage :

@POTUS n’a pas tweeté.

Quand il le fera, ses Tweets apparaîtront ici.

À ce niveau-là de censure grossière, sur un compte de 33,4 millions d’abonnés – qui se sont donc, selon twitter, tous abonnés dans l’espoir que le Président des États-Unis daigne un jour leur envoyer un message – on hésite entre le fou-rire et la colère. Mais rions plutôt, et comprenons que c’est le début de la fin – une fin déjà bien entamée – pour la dictature souriante mais féroce des “réseaux sociaux” et le début d’un éveil de l’humanité entière au problème de leur quasi-monopole, un problème jusque-là dénoncé surtout par les “complotistes”, selon le point de vue des mass media et des gardiens des réseaux sociaux.

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