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un livre injustement méconnu dans la francophonie

American Holocaust :
un livre injustement méconnu dans la francophonie

Massacre de Sand Creek, 29 novembre 1864

Massacre de Sand Creek, 29 novembre 1864

En cette journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l’Holocauste – lequel ? ce n’est pas précisé – il est utile, voire nécessaire, d’aller un peu au-delà de la propagande officielle, désespérément sioniste donc nombrilo-centrée, pour remettre en perspective le génocide nazi – dont il est question – dans l’histoire humaine, qui en compta d’autres, et pas des moindres.

N’étant ni historien ni en passe de le devenir, je me bornerai ici à faire une petite traduction d’une fiche de lecture, initialement en anglais, d’un livre écrit dans la même langue par David Stannard, professeur d’études américaines à l’université de Hawaï et auteur d’un très remarqué American Holocaust paru en 1992 chez Oxford University Press. Il y met en perspective l’ampleur de ce massacre à l’échelle d’un continent et de quatre siècles et qui fit, d’après ses recherches, de l’ordre de 100 millions de victimes humaines.

Voici cette fiche de lecture, rédigée initialement en anglais par Guido G. B. Deimel :


Qui était Christophe Colomb ? Chaque écolier sait qu’il a découvert l’Amérique. Mais en réalité l’Amérique avait été découverte par les « Indiens » d’Amérique des millénaires auparavant. Qu’auraient dit les Espagnols du seizième siècle si des Indiens avaient accosté sur leur rivage et avaient proclamé avoir découvert l’Europe ?

Qui sait que Colomb, avant sa carrière de navigateur, avait pour profession marchand d’esclaves et deviendrait un croisé personnellement responsable du massacre d’un demi-million d’Indiens, et que c’était déjà lui qui introduisit ces mesures généralement attribuées à d’autres conquistadors plus tardifs, comme l’esclavage des Indiens ou la chasse aux Indiens avec des chiens ?

Dans « American Holocaust. Colombus and the Conquest of the New World » (Oxford University Press, 1992), David E. Stannard ne dissipe pas seulement les mythes les plus courants, il indique au lecteur ce qui a été perdu : l’incroyable variété des cultures et les réalisations impressionnantes que les premiers Américains avaient développées au cours des millénaires. Combien savent que la plupart des Américains autochtones vivaient dans des villes et des villages comme fermiers, bien avant l’arrivée de Colomb, et que la majorité des sociétés indigènes en Amérique du Nord était organisée de façon démocratique, ceci comprenant le droit de vote des femmes, bien avant qu’une telle idée soit concevable par les Européens ? Combien savent que – contrairement aux cités européennes de l’époque – la magnifique capitale de la société aztèque prenait son « eau potable […] de sources […] conduites vers la cité par un énorme système d’aqueducs » qui stupéfia les Espagnols (p. 5), comme ils furent stupéfaits par la propreté et l’ordre de la cité : « au moins 1000 travailleurs de la fonction publique étaient employés à entretenir les rues de la ville et à les maintenir propres » (p. 5) ?

Quand Christophe Colomb et une poignée de navigateurs espagnols ont débarqué aux Caraïbes, cela fut le début de « l’acte de génocide le plus massif, et de loin, dans l’histoire du monde » (p. x) qui a coûté plus de cent millions de morts en cinq siècles : « Pour situer ceci dans une perspective contemporaine, le ratio des survivants parmi les américains natifs à la suite du contact avec les Européens était plus faible que ne serait ce ratio aujourd’hui aux États-Unis si chaque personne blanche et chaque personne noire mourait » (p. x).

Combien savent que dans les missions espagnoles en Californie les autochtones étaient forcés à travailler comme esclaves, mouraient par milliers et que ces missions étaient « des fours de la mort qui maintinrent leur population indienne aussi longtemps au même niveau uniquement en y entraînant de plus en plus d’indigènes » (p.137) ?

Le but principal de Stannard, cependant, est de trouver une réponse aux questions suivantes : quels sont les traditions et préceptes culturels et religieux européens qui ont produit ce carnage, et pourquoi ils furent aussi mortels aux cultures américaines d’origine. Ses découvertes de précurseurs théologiques des idées racistes – comme la discussion de l’Espagnol Sepúlveda sur la nature humaine ou non des autochtones, ou l’idée largement répandue que le Nouveau Monde avait été donné aux chrétiens exactement comme Canaan avait été donné aux Juifs – sont très perspicaces et stimulantes pour la réflexion et pour certains lecteurs, certainement provocantes.

Lire les atrocités aussi affreuses qu’effroyables commises à l’encontre des premiers Américains m’a parfois mis en colère, parfois rendu très triste, cependant Stannard écrit toujours d’une façon calme et juste, et – au contraire de bien des travaux érudits – son livre m’a captivé de la première à la dernière page.


Un holocauste aujourd’hui non pas oublié, mais justifié par une propagande toujours vivace, ayant aussi bien utilisé les westerns (pour les grands) ou les productions de Walt Disney (pour les petits) afin de bien faire entrer dans les cerveaux ramollis au pop-corn (désormais transgénique) que les méchants, c’étaient forcément les Indiens. Malheureusement, cette propagande semble encore avoir quelque prise sur des universitaires qui, à force de couper les cheveux en quatre1, justifient encore que soit “rétrogradée” cette horreur dans l’échelle de Jacob de Richter des atrocités humaines commises en bande organisée.

Le soutien jusqu’ici sans faille des États-Unis à Israël n’est donc sans doute pas plus un hasard que n’a été celui d’IBM, de Ford ou de la banque Rockefeller au régime nazi : nées toutes deux de la négation des droits d’autres peuples à vivre sur leur territoire et même à persister dans la mémoire collective, les nations américaine et israélienne partagent en définitive la même vision suprémaciste du monde – comme du reste, dans les années 1930, les sionistes et les nazis qui collaboraient activement à la mise en place d’un État juif en Palestine.

Mais, s’il est de notoriété publique que certains juifs (américains, israéliens ou les deux…) se vantent de mener les États-Unis par le bout du nez via leurs institutions et media, les “associés” des deux côtés devraient se méfier : même si un faisceau d’indices de plus en plus concordants pointe avec insistance les réseaux néo-conservateurs dans l’organisation de l’attentat terroriste majeur qui fit décoller le projet pour un nouveau siècle américain, certains ne devraient pas oublier que la motivation théologique principale du sionisme chrétien très influent aux USA reste… la disparition des juifs2.

Et personne ne devrait oublier que tout groupe humain mû par une idéologie le plaçant au-dessus des autres, donc l’exonérant de ses devoirs de justice, finit tôt ou tard par récolter l’hostilité méritée du reste de l’humanité. C’était vrai pour les nazis, ce le sera pour tous leurs cousins idéologiques. Et d’autant plus rapidement qu’ils prétendent donner des leçons de vertu au reste du monde.

Pour finir, et parce que le rire est le meilleur remède à la haine ou à la dépression qui peut naître de la contemplation des injustices, laissons parler la sagesse de l’artiste, pour qui l’humanité n’est qu’une, et qui porte une partie de sa diversité dans sa chair :

 

 

  1. Je vous épargne les pratiques sexuelles déviantes sur les diptères…
  2. Pas la disparition physique, mais la disparition par conversion en masse au christianisme. Ce qui du reste était une idée initiale de Theodor Herzl, avant la création d’un Judenstaat

12 commentaires sur “American Holocaust :
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  1. M. Roby, il faut que vous sachiez qu’actuellement en Amérique latine des membres de mafias pratiquent des sacrifices humains comme leurs ancêtres pré-colombiens. Pourquoi en est-il ainsi ? Parce que la nature a horreur du vide : étant donné que le catholicisme est en perte de vitesse, il est remplacé par des cultes abominables pagano-sataniques. En Europe, c’est l’islam qui tient le rôle de ces sectes barbares pour la même raison, même si les musulmans pour l’instant se contentent de pratiquer la taqîya (ils dissimulent leurs intentions).

    Je vous invite à visionner le commentaire par Michel Drac de l’essai de Jean-François Gayraud intitulé “Théorie des hybrides” : https://www.youtube.com/watch?v=a1KMokGwK1E

    1. Je vous remercie pour votre commentaire, je n’ai pas encore écouté la vidéo de Michel Drac et j’y reviendrai plus tard, mais comme vous le savez peut-être j’ai ici même consacré un billet élogieux au livre Le nouveau capitalisme criminel de Jean-François Gayraud. J’ignorais qu’il avait écrit ce dernier ouvrage et je m’empresserai de le lire dès que j’aurai le temps.

      Je ne suis pas un spécialiste de l’islam (ni d’aucune autre religion) mais je ne vous suis pas en revanche lorsque vous associez “l’islam” (lequel ? il me paraît très exagéré de croire qu’il n’y en aurait qu’un…) à ces “sectes barbares”, et je vous invite par exemple à lire Les Égarés de Jean-Michel Vernochet pour comprendre l’instrumentalisation des sectes hérétiques de l’islam comme le wahhabisme par l’impérialisme anglo-saxon, et ceci depuis le dix-huitième siècle.

      Je vous invite aussi à considérer la réalité de véritables sectes barbares au plus haut niveau de nos sociétés, et pas uniquement à un niveau “exotique” et relativement secondaire pour nous des mafias d’Amérique Latine. Sectes pratiquant également les sacrifices humains, et même d’enfants.

      Enfin je vous rappelle que des sacrifices humains ont eu lieu à grande échelle le 11 septembre 2001 ainsi que dans l’affaire des 2 vols MH17 et MH370 de la Malaysia Airlines, pour lesquels vous trouverez des informations sur ce blog et notamment ici :

      https://aitia.fr/erd/assassinat-de-nemtsov-et-si-on-reparlait-du-vol-mh17/
      https://aitia.fr/erd/ciel-bleu-gilet-jaune-et-mh17/
      https://aitia.fr/erd/la-valise-miraculeuse-le-veto-russe-et-loccident-qui-regardait-ailleurs/

      Et dans les deux cas les barbares n’avaient rien à voir avec l’islam.

  2. pour l’afrique, juste les 400 ans de traite transatlantique…??? allez un petit effort dieudo, faut boire le verre jusqu’allahlie !!!

    La traite arabo musulmane fut la plus longue et la plus meurtrière de l’histoire.
    14 siècles d’esclavage contre 4 siècles pour la traite transatlantique, les arabo musulmans ont mis en esclavage 18 millions d’africains et tués 85 millions d’entre eux.
    C’était aussi le plus cruel des esclavages puisqu’ils castraient systématiquement les hommes et les jeunes garçons et violaient les femmes et jeunes filles dont ils tuaient les enfants à la naissance.
    Ceci obligeait les arabes a de régulières ponctions dans les terres africaines car leurs esclaves n’avaient pas de descendance, en effet les arabomusulmans étaient racistes et ne voulaient pas que les noirs fassent souche!

    Qui plus est ils ont longtemps fait l’esclavage des peuples de l’est de l’Europe,mais leurs farouches résistances les obligea à se tourner vers l’Afrique subsaharienne.
    De l’esclavage est européen vient le mot “Slave”.

    Ensuite après avoir été chassés d’Espagne lors de la reconquista, les arabes se vengèrent en pratiquant le djihad maritime sur les côtes européennes, ainsi Alger fonctionna durant 3 siècles avec 35 000 esclaves chrétiens blancs, mais aussi Salé,Tunis et Tripoli.

    C’est au total 3 millions d’esclaves blancs chrétiens qui furent enlevés et mis en esclavage dans les “barbaresques”!

    De nombreux émissaires envoyés par le pape et les royaumes chrétiens allaient payer des rançons pour faire libérer les esclaves.
    Cervantes fut l’un d’eux et connut les geôles d’Alger.

    Aujourd’hui selon Malek Chebel il reste 3 millions d’esclaves dans le monde musulman, on pense aux esclaves des palais des pétromonarchies mais aussi aux familles riches libanaises ou pakistanaises, mais aussi l’esclavage encore pratiqué au Soudan, en Mauritanie, en Somalie mais aussi par les divers groupes se revendiquant du califat islamique.

    Et cela est tout à fait hallal puisque le coran n’interdit pas l’esclavage, bien au contraire, il l’encourage et le codifie.

    1. Je valide votre commentaire, non pour l’approuver, mais pour le commenter.

      La traite arabo-musulmane a évidemment existé, là n’est pas la question, même si je suis totalement incapable de savoir si les chiffres que vous avancez sont “raisonnables” ou pas. Elle n’impliquait d’ailleurs pas que des Arabes musulmans, puisqu’y ont participé aussi toutes sortes de gens qui avaient un profit à en tirer, comme des Persans, des Juifs ou même des Chinois.

      L’esclavage a été un phénomène mondial qui s’est “naturellement” développé là des peuples incapables de s’organiser pour se défendre, car n’ayant pas dépassé le niveau d’organisation sociale de la tribu, ou trop naïfs, ou trop pacifiques, ont été en contact avec d’autres mieux organisés socialement et mieux équipés techniquement pour les contraindre. La traite dont vous parlez n’est que la conséquence logique de la proximité géographique du monde arabo-musulman avec l’Afrique Noire ; et les donneurs de leçons qui mettent en avant “l’esprit des Lumières” pour expliquer l’abolition de l’esclavage en Occident feraient mieux de se rendre compte que si l’esclavage a été aboli (sous sa forme primitive au moins, mais d’autres se sont installées…) c’est peut-être en rapport avec les Lumières, mais surtout parce que celles-ci ont apporté, indirectement… l’invention de la machine à vapeur !

      Alors évidemment, si on va chercher aujourd’hui dans les palais des pétromonarchies, c’est-à-dire les endroits les plus corrompus et arriérés de tout le monde arabo-musulman, et corrompus par l’avidité des pays “avancés” pour le pétrole, il n’est pas très étonnant d’y trouver des choses peu recommandables sur le plan humain… tout comme dans ce prétendu “califat islamique” qui est avant tout une armée de mercenaires droqués au capatagon® et aux pétro-dollars sous contrôle américano-sioniste, Vernochet vous l’expliquerait en 30 secondes avec un haussement d’épaules.

      Quant à chercher des “encouragements” et des “codifications” de l’esclavage dans le Coran, je ne peux ni confirmer ni infirmer ce que vous dites, n’ayant pas lu le Coran… mais si vous commencez à jouer à ce jeu consistant à trouver des glorifications du crime dans de vieux textes religieux, vous risquez d’en trouver partout ! Et en particulier dans l’Ancien Testament et dans le Talmud… Pourtant, si certains juifs (voir ce billet) appliquent à la lettre des textes délirants qui leur enseignent que l’humanité est faite en minorité seulement de “vrais hommes” (dont ils font partie) et en majorité d’une sous-espèce qui n’a d’humaine que l’apparence, cela ne fait évidemment pas de tous les juifs des illuminés fanatiques capables de se débarrasser de tous ceux qui ne leur reviennent pas comme on le ferait d’un moustique ou d’une araignée !

      Je rajoute un exemple de ce que j’énonce ci-dessus (en anglais, désolé) :

      https://www.jta.org/2010/10/18/news-opinion/israel-middle-east/sephardi-leader-yosef-non-jews-exist-to-serve-jews

      Un rabbin de Jérusalem, et pas des moindres puisqu’il s’agit de l’ancien chef des rabbins sépharades, a affirmé en 2010 de façon très explicite que les “goyim” (terme plutôt méprisant désignant les non-juifs) sont comparables à du bétail et ne sont là que pour servir les juifs. Ce n’est donc pas une invention antisémite, n’en déplaise à certains lobbies… et c’est évidemment condamné fermement par d’autres juifs, dont la Jewish Telegraphic Agency d’où je tire cet article.

  3. M. Roby, il est vrai que nombre de musulmans sont instrumentalisés par l’oligarchie atlanto-sioniste, mais la majorité d’entre eux considèrent simplement, comme tout bon musulman, que l’Europe est une terre de conquête. Ils se montrent de plus en plus arrogants, comme l’a prouvé l’affaire des prières de rue à Clichy (92). Les pouvoirs publics ont eu beaucoup de mal à déloger ces bons musulmans. Philippe de Villiers a écrit deux livres sur ces faux amis que sont les musulmans de France dont les mosquées poussent comme des champignons.

    Pour ce qui est des juifs et de l’esclavage, voici le lien vers un article intitulé “Quand un rabbin écrit que les marchands juifs dominaient le marché des esclaves dans toutes les colonies américaines” : https://www.medias-presse.info/quand-un-rabbin-ecrit-que-les-marchands-juifs-dominaient-le-marche-des-esclaves-dans-toutes-les-colonies-americaines/86693/

    Je précise que cet article a été censuré sur le site d’E&R. Il faut savoir que sur le site d’E&R la plupart des commentaires qui contiennent un lien vers un autre site sont censurés, même si ces commentaires vont dans le sens de l’article publié sur le site. Il faut croire que chez E&R on craint la concurrence comme… les médias mainstream !

    1. L’islam dans les pays dits “occidentaux”, dont la France, n’est pas “automoteur”, il n’y a aucune volonté de conquête de l’Occident dans les pays à forte et longue culture musulmane dont le meilleur exemple est l’Iran. L’islam a été importé chez nous comme un simple sous-produit d’une main-d’œuvre à bon marché au départ, puis plus récemment comme moyen de déstabilisation de la société (stratégie du chaos) en utilisant précisément les éléments les plus inutiles voire nuisibles que par ailleurs on prétend combattre.

      Pour paraphraser Clausewitz, on peut dire que ce n’est que la continuation du capitalisme par d’autres moyens : avec les immigrés Arabes musulmans on fait d’une pierre deux coups (voire plus, on ne sait jamais), d’abord du dumping salarial, ensuite du chaos social organisé. Un des exemples les plus emblématiques voire comiques de la deuxième étape est l’inénarrable Chalghoumi : qu’un crétin analphabète pareil, salafiste retourné, soit présenté comme un exemple à suivre pour la communauté musulmane par les autorités, devrait au minimum mettre la puce à l’oreille aux citoyens les plus naïfs.

      Mais l’islam (et ses déviances) n’est qu’un moyen aux mains de gens qui n’ont rien de musulmans : ma remarque sur les véritables auteurs des attentats du 11 septembre 2001 ne vous aura pas échappé, j’espère. Là encore, d’une pierre deux coups (pour l’instant…) : d’abord diaboliser les musulmans (à la façon de l’incendie du Reichstag pour les juifs) afin de se permettre d’envahir des pays bien choisis, puis une fois les troupes sur place semer les graines d’une armée de mercenaires terroristes “islamiques” qu’on prétendra ensuite combattre.

      C’est assez simple, finalement… mais comme disait Marshall McLuhan, “Seuls les plus petits secrets ont besoin d’être protégés. Les plus gros sont gardés par l’incrédulité publique.”

      1. après avoir ‘gagné’ (sic) la guerre froide, les nord-américains se sont mis en quête d’un nouvel ennemi à combattre: péril jaune (Chine?, Corée du Nord?) ou péril vert (couleur de l’islam)?

        devinez qui a gagné! Gladio B ..

        document de 1992: https://www.cato.org/publications/policy-analysis/green-peril-creating-islamic-fundamentalist-threat

        la fameuse conférence de bilderberg de 1979 avec l’anglo-américain bernard lewis à la manoeuvre: https://wikispooks.com/w/images/0/0a/Bilderberg-Conference-Report-1979.pdf

          1. non môssieur, ‘on’ a des preuves. ‘on’, les sales petits conspirationnistes.
            le niveau 2? l’uber-conspirationniste avec l’Empire Romain, Old Black Nobility et les Jésuites!

            il ‘leur’ arrive d’expliciter leurs stratégies de domination:
            brave new world d’Huxley,
            new world order de HG Wells,
            le grand échiquier de Brzezinski,

            la stratégie de la tension pour l’Iran, à défaut de réussir un coup d’État: https://www.brookings.edu/wp-content/uploads/2016/06/06_iran_strategy.pdf

  4. Je crois pouvoir dire qu’il est largement établi que l’Holocauste Américain est à 98 % dû aux microbes et virus Européens dont les Espagnols et autres envahisseurs de l’Amérique étaient des “porteurs sains”, alors que les Amérindiens de toutes tribus ne pouvaient pas y résister.

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