La médecine et la santé publique à l’épreuve du Covid
(IHU Méditerranée-Infection)

[Note de l’administrateur de ce blog : il est illusoire de chercher à sortir d’une crise sans en comprendre les origines. Or beaucoup de gens, même s’ils sentent confusément que quelque chose ne tourne pas rond, pensent encore que la crise actuelle est “sanitaire”. Le mérite de l’anthropologue Jean-Dominique Michel est de démontrer à quel point elle ne l’est pas, et jusqu’où va la corruption du monde médical, y compris et surtout dans ses instances dirigeantes – agences de santé, OMS… – et ses “publications de référence” tels que le Lancet ou le British Medical Journal.

Tant que cette donnée-là n’est pas intégrée, et ses conséquences logiques déduites et admises par le plus grand nombre, inutile d’espérer une solution.]


Une jeune informaticienne ridiculise la triche
de la Maison Blanche

Il y a encore des gens qui croient que le tandem Biden/Harris a gagné à la régulière l’élection présidentielle américaine. Si si, ne riez pas. Et qui croient même qu’ils l’ont fait grâce à leurs idées “progressistes” face au vieux macho réac raciste et populiste qu’est Trump, soutenu par des néo-nazis (même si c’est Biden qui a un lourd passé de citations racistes derrière lui et si c’est encore Biden qui a trempé avec son fils junkie Hunter dans le coup d’État néo-nazi de 2014 en Ukraine).

Ce sont les mêmes qui soutiendront encore que les réunions de campagne désertes de Biden prouvaient juste le caractère responsable de ses électeurs en pleine pandémie covidienne, tandis que la foule rassemblée par Trump à chacun de ses déplacements était le signe du fanatisme de ces extrémistes incapables de s’incliner devant la Science1 et ses grand-prêtres, ayant déclaré la nécessité des règles de distanciation sociale.

Pourtant, de plus en plus de monde voit bien que quelque chose ne tourne pas rond à la présidence des USA, ne serait-ce qu’en raison du nombre d’avis négatifs recueillis par chaque vidéo publiée sur la chaîne YouTube de la Maison Blanche, toujours largement supérieur au nombre d’avis positifs. Étonnant pour un président triomphalement élu ayant pulvérisé les records de voix !

Oui mais… c’est en réalité bien pire que cela.

Des internautes attentifs ont remarqué que les comptages des votes négatifs avaient tendance à redescendre régulièrement ; il est certes possible pour tout un chacun de changer un vote initialement négatif en vote positif, mais le caractère systématique de ces “purges” d’avis défavorables avait, à l’œil nu, un aspect éminemment suspect. C’est alors qu’une jeune informaticienne, Zoe Phin, décida d’écrire un petit programme pour collecter automatiquement les statistiques de toutes les vidéos publiées par la Maison Blanche (nombre de vues, “likes” et “dislikes”) au cours du temps, toutes les 80 secondes pendant 24h.

Le résultat est sans appel et, présenté sous forme de graphiques, assez hilarant. Que des gens puissent être confortablement payés pour faire ce genre de triche digne d’un cancre d’école primaire, et qu’ils puissent le faire en espérant que cela ne se verra pas, en dit long sur la “qualité” du personnel politique en question.

Je vous propose ci-dessous la traduction de son article, qui à la rigueur pourrait s’en passer (c’est très visuel) mais j’ai pitié pour les allergiques à l’anglais.

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“@POTUS n’a pas tweeté.”

POTUS (President Of The United States) est l’acronyme désignant le président des États-Unis d’Amérique en fonction, tout comme FLOTUS (First Lady Of The United States) est celui de la “première dame”. Tout le monde l’avait remarqué, Donald Trump n’est pas très apprécié de Twitter ni de Facebook, deux entreprises très cool qui tout en prétendant permettre à chacun d’être relié aux autres de façon neutre, ont en réalité un agenda politique très précis et censurent, de façon visible ou invisible, toute pensée déviante par rapport à cet agenda.

Ces dernières 24 heures, la censure vient de passer à la vitesse supérieure, une véritable folie de la purge s’étant emparée des “big tech”. Ainsi non seulement le compte twitter de Donald Trump (@realDonaldTrump) a été suspendu1, ainsi que ceux de très nombreuses personnes publiques le soutenant : le général Flynn (@GenFlynn), l’avocate Sydney Powell (@SidneyPowell1), l’avocat Lin Wood (@LLinWood), l’activiste pro-Trump Ron (@CodeMonkeyZ)… mais même le compte twitter officiel du Président des États-Unis en exercice, President Trump (@POTUS) a été purgé et fait apparaître la mention – assez comique, vu le personnage :

@POTUS n’a pas tweeté.

Quand il le fera, ses Tweets apparaîtront ici.

À ce niveau-là de censure grossière, sur un compte de 33,4 millions d’abonnés – qui se sont donc, selon twitter, tous abonnés dans l’espoir que le Président des États-Unis daigne un jour leur envoyer un message – on hésite entre le fou-rire et la colère. Mais rions plutôt, et comprenons que c’est le début de la fin – une fin déjà bien entamée – pour la dictature souriante mais féroce des “réseaux sociaux” et le début d’un éveil de l’humanité entière au problème de leur quasi-monopole, un problème jusque-là dénoncé surtout par les “complotistes”, selon le point de vue des mass media et des gardiens des réseaux sociaux.

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