La médecine et la santé publique à l’épreuve du Covid
(IHU Méditerranée-Infection)

[Note de l’administrateur de ce blog : il est illusoire de chercher à sortir d’une crise sans en comprendre les origines. Or beaucoup de gens, même s’ils sentent confusément que quelque chose ne tourne pas rond, pensent encore que la crise actuelle est “sanitaire”. Le mérite de l’anthropologue Jean-Dominique Michel est de démontrer à quel point elle ne l’est pas, et jusqu’où va la corruption du monde médical, y compris et surtout dans ses instances dirigeantes – agences de santé, OMS… – et ses “publications de référence” tels que le Lancet ou le British Medical Journal.

Tant que cette donnée-là n’est pas intégrée, et ses conséquences logiques déduites et admises par le plus grand nombre, inutile d’espérer une solution.]


Changer la science – Wim Hof (Le Chou Brave)

[Note de l’administrateur de ce blog : pour bien commencer l’année, prenons un peu de hauteur et de force avec Wim Hof, 61 ans, “l’homme de glace” connu pour ses exploits en matière de résistance au froid mais qui a également beaucoup de choses à nous apprendre sur le fonctionnement de notre corps en général. Et sur l’impasse civilisationnelle dans laquelle certains voudraient nous précipiter.

Les véritables pionniers de la recherche médicale ne sont pas ceux qui bâtissent des fortunes en vendant très cher leurs découvertes.]


Louis Fouché : Immunité artificielle ? Invitation à la prudence (RéinfoCovid)

[Note de l’administrateur de ce blog : documenté, mesuré et intelligemment mis en perspective, comme d’habitude avec Louis Fouché. Et avec toujours le fil rouge de la corruption systémique du milieu médical, et ses implications médiatico-politiques.

Les références bibliographiques peuvent être consultées sur la page correspondante de RéinfoCovid.]


Lettre de Philippe Even à Didier Raoult à propos du Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM)

[Note de l’administrateur de ce blog : on retiendra surtout la phrase suivante :

“Ce qui est grave, ce n’est pas l’avis du CNOM, mais l’interprétation qui en est faite dans nos misérables médias.”

En effet, les media sont le problème, encore et toujours, quand ils présentent comme un avis scientifique ce qui n’est que l’émanation d’un des clubs les plus frelatés et les plus corrompus qui soient.

(source : compte twitter d’Éric Chabrière, professeur des universités)]


Critique de la méthode (IHU Méditerranée Infection)

[Note de l’administrateur de ce blog : un quart d’heure d’épistémologie véritable, qui doit toujours privilégier le questionnement par rapport à la mesure ou au calcul, n’en déplaise aux fanatiques ignorants des big data et des essais randomisés. On pourra consulter l’article de Wikipédia sur le paradoxe de Simpson pour parfaire la compréhension.

Remarque : il faudrait convaincre l’IHU Méditerranée Infection d’investir dans un micro cravate pour recueillir la parole du druide, qui en plus a tendance à parler dans sa barbe.]


Alzheimer « inversé » chez un homme de 82 ans
(Alternatif Bien-Être)

La bactérie clostridium difficile, responsable d’infections à répétition et antibiorésistantes, qui a conduit le patient de 82 ans à être transplanté

[Note de l’administrateur de ce blog : le professeur Raoult en a parlé dans son audition devant la commission d’enquête parlementaire, les thérapies les plus révolutionnaires de sont pas nécessairement les plus chères, bien au contraire — ce qui pose d’ailleurs le problème du financement des recherches y aboutissant, comme il l’explique très bien à partir de 2h et 31 minutes. Parmi les grandes avancées thérapeutiques du 21ème siècle, la plus extraordinaire est sans doute la greffe fécale, exemple extrême de valorisation des déchets, dont on commence tout juste à explorer les potentialités, et que le professeur Raoult évoque également devant les parlementaires.

Toute véritable recherche étant, par nature, imprévisible, il arrive que l’on découvre par hasard un traitement contre une maladie — que l’on croyait, en plus, incurable — en en soignant une autre : c’est ce que nous raconte cet article.]


Chers amis,

C’est un « scoop » comme rarement il est donné à un rédacteur d’en envoyer à ses lecteurs.

« À notre connaissance, ceci est le premier cas recensé d’inversion rapide des symptômes d’Alzheimer » …

Cette phrase inouïe ouvre le rapport publié mardi 30 juin dans le Journal of International Medical Research.

L’étude est disponible gratuitement en ligne1 et je vous recommande vivement de la lire, elle est passionnante (en anglais).

82 ans et Alzheimer depuis cinq ans

Un patient âgé de 82 ans présentait depuis cinq ans un déclin inexorable de sa mémoire et de ses capacités cognitives.

Ses symptômes : confusion, amnésie (oubli du nom de ses proches), dépression, apathie.

Le diagnostic tombe alors : c’est Alzheimer.

Le traitement qu’on lui applique est 28 mg de mémantine et 23 mg donépézil chaque jour – deux médicaments chimiques « classiques » mais inefficaces, à tel point qu’ils ne sont plus remboursés en France depuis 2 ans.

Son Alzheimer continue de progresser.

Son épouse raconte qu’il a alors besoin d’une assistance permanente pour se préparer à manger, se laver et prendre ses médicaments. Et qu’il n’apprécie plus la compagnie d’autres personnes.

Il se souvient de l’anniversaire de sa fille

Voici, alors, qu’il subit un traitement très particulier dont je vous présente les résultats ébouriffants :

  • Ses capacités cognitives s’améliorent nettement, ses émotions reviennent.
  • Au bout de quatre mois, ses symptômes d’Alzheimer cessent de progresser. Mieux encore, notre patient retrouve la mémoire de manière « continue » : il se souvient de la date d’anniversaire de sa propre fille, qu’il avait oubliée pendant plusieurs années.
  • Au bout de six mois, le patient déclare se sentir de bien meilleure humeur. Il prend de nouveau du plaisir dans ses rapports sociaux, ses sentiments deviennent expressifs.

Pendant ces six mois, ses résultats aux tests cognitifs sont « remontés » à un tel niveau qu’ils n’entrent plus dans la case « démence sénile ».

Alzheimer a bel et bien été inversé chez cet homme de 82 ans, en six mois.

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Excédé par sa résistance, le Système lance une offensive massive contre le Pr Raoult (E&R)

[Note de l’administrateur de ce blog : les différents extraits vidéos de l’article, et en particulier celui de l’audition d’Agnès Buzyn devant les parlementaires, ont été réalisés sans trucage…]


Jusqu’à la fin juin 2020, c’est-à-dire la fin du confinement et le début du déconfinement organisé par le futur Premier ministre Jean Castex, jusque-là inconnu au bataillon, l’infectiologue et chercheur de renommée internationale Didier Raoult et ses « défenseurs » (Chabrière, Perronne) pouvaient encore s’exprimer librement dans les médias. Soudain, le ton a changé, l’écoute a laissé la place à l’agressivité et le Raoult s’est retrouvé dans la peau d’un Soral ou d’un Dieudonné, ces trophées que les chasseurs du Système adoreraient accrocher dans leur chambre.

Pourquoi un tel revirement, par exemple de la part de L’Express [1], propriété du groupe du franco-israélien Patrick Drahi, qui a plutôt défendu le chercheur et son protocole de soin à base d’hydroxychloroquine et d’azithromycine ?

Une revue de presse complète à propos du Pr Raoult et de son écho dans les médias mainstream et internet serait fastidieuse : il y a près de 11 millions de résultats sur Google. Nous allons donc nous concentrer sur les titres de presse et le moment – la simultanéité du retournement est éclatante – où la polémique autour du sanglier marseillais et de son protocole de soin s’est transformée en chasse à l’homme. Par ailleurs, certains journalistes n’ont jamais changé leur fusil d’épaule à propos du sanglier : ils veulent depuis le début se le faire.

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Question de vie ou de mort : qui va GAGNER ?
(Santé Corps Esprit)

[Note de l’administrateur de ce blog : c’est en effet la seule véritable question que pose la Covid-19, une maladie qui aurait pu être assez quelconque si des gouvernements et des media n’avaient pas volontairement créé une psychose, et même renforcé cette psychose en prenant toutes les mesures possibles pour que le nombre de victimes augmente. Rappelons donc deux chiffres objectifs, témoignant de la déconnexion entre l’ampleur réelle de l’épidémie et les réactions gouvernementales.

  1. En France, lors de l’hiver 2016-2017, la surmortalité due à la grippe saisonnière a été estimée à plus de 20 000 décès (voir ce bulletin de Santé Publique France, p. 474, et ne pas se fier à son résumé qui fait état de “seulement” 14 400 décès supplémentaires), ce qui n’est pas radicalement différent des 28 000 décès actuellement attribués à la Covid-19 en France, en fin d’épidémie, et au prix d’une inflation délibérée des chiffres (beaucoup de morts, non testés, sont en réalité morts d’autre chose) sans parler du refus de soins ;
  2. Au Vietnam, pays frontalier de la Chine touché dès les débuts de l’épidémie, à forte densité de population, le gouvernement a lui aussi prôné le confinement alors que l’épidémie a fait, à ce jour… 324 cas confirmés et zéro mort.

On pourra aussi consulter ce bilan du 14 mai 2020 sur l’épidémie de Covid-19 et constater que, si le pic de mortalité hebdomadaire (p. 20) a bien atteint des hauteurs nettement supérieures (environ 15 000) au maximum de début 2017 (environ 12 000), et ceci principalement à cause d’une concentration des cas dans quelques zones très touchées (Grand Est, région parisienne), d’hôpitaux sinistrés donc débordés (trois fois moins de lits en soins intensifs, pour le même nombre d’habitants, en France qu’en Allemagne) et d’un refus de soins par les “autorités de santé” (ou de mort ?), l’aire sous le pic, représentant la surmortalité totale, n’est pas radicalement différente à ce qu’elle était lors de l’hiver 2016-2017.]


Après la crise du coronavirus, un combat magistral va commencer.

Une lutte à mort entre deux camps irréconciliables.

Les enjeux sont immenses.

Nous avons un choix de civilisation à faire, entre deux voies possibles :

  • Soit le bon sens écologique, l’humanité et la liberté ;
  • Soit le « tout-chimie », la surveillance et la censure.

Qui va gagner ?

Cela dépend de notre réaction à tous.

Comptez-sur moi, en tout cas, pour me battre comme un lion.

Car je refuse catégoriquement ce qu’une partie de nos élites nous prépare :

Réveillons-nous ! Voici la vie qu’ils veulent nous imposer

Voici ce qu’a déclaré le Dr Anthony Fauci, le patron de la réponse sanitaire aux Etats-Unis :

« Je pense que nous ne devrions plus jamais nous serrer la main ».

Derrière cette phrase stupide, il y a une idéologie précise, profonde et dangereuse.

Il est très important d’en être conscient, alors voici ses 4 éléments fondamentaux :

  1. Les virus et bactéries seraient des « ennemis mortels » du genre humain

Ils veulent nous empêcher de nous serrer la main, comme si les microbes étaient toujours des ennemis à abattre.

Mais c’est une erreur colossale, comme l’ont montré les découvertes récentes sur le microbiote !

En réalité, nous formons une véritable « symbiose » avec les bonnes bactéries qui pullulent dans notre intestin, sur notre peau et un peu partout dans notre corps !

On commence à comprendre que les bactéries peuvent être des alliées… et ce qui nous rend malade, ce sont généralement les déséquilibres bactériens !

Prenez la bactérie Helicobacter Pylori, qui a été diabolisée depuis qu’on a découvert qu’elle est impliquée dans les ulcères de l’estomac.

Des chercheurs commencent à réaliser que cette bactérie n’est pas mauvaise en soi.

Au contraire, Helicobacter Pylori aurait aussi des effets positifs pour la santé, notamment contre l’obésité et l’inflammation chronique.

Des chercheurs ont même découvert, à leur stupéfaction, que les gènes de cette bactérie améliorent le fonctionnement de nos intestins et pourrait éloigner les maladies inflammatoires :

« Il est incroyable que l’ADN de cette bactérie ait une influence significative sur l’immunité intestinale de la personne qui l’abrite », ont déclaré ces chercheurs.

En fait, c’est « incroyable » uniquement pour ceux qui ont une vision simpliste des microbes.

Helicobacter Pylori cohabite avec l’homme depuis au moins 50 000 ans. Il n’est donc pas étonnant que nous ayons appris à vivre en harmonie avec elle…

…comme avec la plupart des microbes qui nous entourent !

Et on commence à se rendre compte qu’il ne faut surtout pas les traiter en ennemis.

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Coronavirus, l’erreur système (Antipresse)

[Note de l’administrateur de ce blog : voici un nouvel article de l’Antipresse, qui tombe à pic pour commencer à faire un bilan de la crise COVID-19 qui ne soit pas un simple et stupide décompte des morts. Et où l’on reparle de Prevotella, la bactérie suspecte

J’invite, bien entendu, tous mes lecteurs à s’abonner à l’Antipresse, cette presse qui fait face aux événements et montre ce que la “grande” devrait être si la déontologie faisait encore partie de son vocabulaire. Les radins ou les indécis ont même droit au “numéro ouvert” entièrement gratuit du 29 mars dernier !]


par Slobodan Despot, 26 avril 2020

La pandémie de ce printemps 2020 n’est pas qu’une affaire sanitaire. Elle est peut-être même davantage sociopolitique que médicale. Le virus se double d’une «erreur système» à l’échelle des pays développés qui a conduit à une gestion affolée de la crise défiant le sens commun. Dans un entretien sans masques ni gants, le Dr Jean-Pierre Spinosa livre une synthèse du problème sanitaire et esquisse une piste thérapeutique possible.

Faut-il énumérer ? La désorganisation des services de santé, la pénurie de masques et de désinfectant dans les pays par ailleurs les mieux équipés, la guerre livrée à ceux qui cherchent des traitements efficaces pour cette maladie à l’écart d’un hypothétique vaccin, l’oubli du renforcement de l’immunité individuelle dans pratiquement toute la communication officielle sur le sujet, et enfin l’incohérence et la stupidité criantes de certaines instances font qu’on ne peut plus séparer l’épidémie d’un contexte «civilisationnel» particulièrement délabré.

La mésaventure dont a été victime l’anthropologue de la santé Jean-Dominique Michel est l’une des meilleures illustrations de ce délabrement. Au moment même où il publiait un article devenu viral dédramatisant l’épidémie actuelle1, JDM était testé positif et entamait une thérapie sous la direction de son médecin traitant. La suite des événements, qu’il a détaillée dans son blog2, est sidérante. En deux mots : l’état du patient s’aggravant, son médecin lui a prescrit le traitement du Dr Raoult — qui s’est avéré indisponible, car réservé aux hôpitaux (où n’arrivent en général que des cas trop avancés pour cette thérapie). Michel a dû organiser, via son épouse, «une transaction illégale, au bord d’un parking» pour se procurer du Plaquenil (hydroxychloroquine) et entamer son traitement à domicile. Avec à la clé une remise sur pied au sixième jour.

Oui, nous sommes bien en 2020 en Suisse, l’un des pays les plus médicalisés au monde !

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Lacombe, Yazdanpanah, ces médecins du service public qui cachetonnent dans le privé (Éric Verhaeghe)

[Note de l’administrateur de ce blog : on continue la plongée dans l’univers glauque d’une partie de la médecine “scientifique”… mais aussi (très) rémunératrice, donc corrompue.]


Saviez-vous que tant de médecins du service public hospitalier faisaient des ménages, c’est-à-dire cachetonnaient pour des sommes parfois très élevées, dans des laboratoires privés ? La crise du coronavirus est l’occasion de montrer comment des conflits d’intérêt peuvent compliquer la donne et interférer avec les informations de santé publique. Nous livrons aujourd’hui des informations sourcées sur les sommes que Karine Lacombe et Yazdan Yazdanpanah, très exposés sur la question du coronavirus, ont perçues depuis 2012 de la part des laboratoires privés ont ils assurent aujourd’hui la discrète promotion.

Les médecins du service public sont-ils tous aussi désintéressés qu’ils ne le disent ? Karine Lacombe, professeure à l’hôpital Saint-Antoine, est désormais très connue pour avoir donné à la télévision, à une heure de grande écoute, des leçons d’éthique à Didier Raoult, le défenseur de la chloroquine. Yazdan Yazdanpanah est chef de service à l’hôpital Bichat. Nous avons repris ici les sommes qu’ils ont déclarées avoir perçues de la part de laboratoires privées ces dernières années. Et elles permettent de donner une première réponse à cette question.

Continuer la lecture sur Le courrier des stratèges

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