La société Pfizer avait-elle prévu de longue date
la fabrication de son vaccin ?

Le problème essentiel de toute production industrielle, c’est la gestion des stocks et des flux, la logistique : le moindre yaourt nécessite la coordination dans le temps et l’espace de dizaines de fournisseurs pour que l’assemblage soit possible. Et pour des ordinateurs ou des automobiles c’est évidemment pire.

Vous avez déjà transpiré sur la planification d’un mariage avec 50 invités (ou plus) ? Imaginez le temps de préparation nécessaire pour des produits finis prévus à des millions voire des centaines de millions d’exemplaires… et un vaccin, c’est un produit industriel.

La logique est têtue, et il va falloir justifier ces commandes de flacons.

L’émission est visible dans son intégralité ici.

Vaccins : rappel sur l’aluminium (Michel Georget)

[Note de l’administrateur de ce blog : on parle beaucoup de vaccins en ce moment, présentés comme la solution ultime à la “crise du coronavirus”, et ce malgré une absence totale de données scientifiquement neutres sur leur réelle efficacité et leurs effets secondaires, ne serait-ce qu’en raison de l’absence de recul dans le temps.

Plutôt que de parler dans le vide comme le font les media de grand chemin, qui se basent sur les communiqués publicitaires des firmes pharmaceutiques alléchées par des perspectives de profits monstrueux, profitons-en pour parler un peu des vaccins connus de longue date, donc a priori sûrs et éprouvés. Michel Georget, décédé le 18 mars 2019, était un professeur agrégé de sciences naturelles, qui enseignait la biologie dans les classes préparatoires aux Grandes Écoles.

On pourra approfondir le sujet avec l’excellent livre du Pr Gherardi dont j’ai déjà parlé ici, Toxic Story. Où l’on apprendra notamment que ce n’est pas nécessairement la dose qui fait le poison en matière d’aluminium vaccinal, en raison du mode d’action très particulier – et élucidé par le Pr Gherardi et son équipe – de ce métal toxique pour l’homme. Les propos de Michel Georget sont donc à nuancer en fonction des individus, puisque la toxicité peut être, pour les malchanceux, plus grande que celle déduite de simples considérations de dose.]


L’épidémie, les mutants, les visons et le traitement
(IHU Méditerranée-Infection)

[Note de l’administrateur de ce blog : où l’on apprend que le Danemark a “génocidé” une population de visons bien supérieure en nombre à celle de ses habitants pour cause de COVID-19. Et où l’on se réjouit que Didier Raoult traite enfin les “scientifiques d’autorité” (c’est-à-dire les non-scientifiques intrigants des allées du pouvoir) avec le mépris qu’ils méritent, et pose enfin le bon diagnostic sur cette crise pseudo-sanitaire en employant un mot à la hauteur des événements : fascisme.

Une deuxième vidéo, plus ancienne – de l’époque où l’IHU Méditerranée-Infection n’avait pas encore ses locaux tous neufs – permettra à ceux qui auraient une vision de la science polluée par la caste politico-médiatique de se nettoyer les idées.]


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Covid-19 : le vaccin de Moderna existe depuis le 13 janvier et il a été mis au point en un week-end (La Dépêche)

[Note de l’administrateur de ce blog : pour ceux qui n’auraient pas encore compris la véritable nature de cette “p(l)andémie”. Mais qui ne croient pas aux miracles.]


Le vaccin du laboratoire américain Moderna, qui va être mis sur le marché, a été globalement imaginé dès le 13 janvier 2020. La technologie nouvelle qu’il utilise, l’ARN messager, a dû subir toute une phase de tests comme n’importe quel vaccin.

13 janvier 2020. Le coronavirus touche la Chine de plein fouet mais pas encore notre pays. La France ne sait pas encore que le Covid-19 va tuer 56 000 Françaises et Français à ce jour. Le premier confinement entrera en vigueur le 17 mars dans notre pays.

Le 13 janvier, c’est pourtant à cette date que l’équipe de recherche du laboratoire américain Moderna, associée aux instituts américains de recherche sur la santé (NIH), finalise la séquence de son vaccin contre le Covid-19, l’ARNm-1273. Deux jours plus tôt, le 11 janvier, les autorités chinoises avaient diffusé la séquence génétique des protéines du coronavirus.

“Le vaccin a été fait en deux jours, sur ordinateur, sans jamais avoir le virus, expliquait en mars dernier le PDG français de Moderna therapeutics Stéphane Bancel dans Libération. À titre de comparaison, il avait fallu vingt mois pour démarrer les essais cliniques du vaccin contre le Sras”.

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Ce que le battage publicitaire autour des vaccins contre la Covid ne mentionne pas (Dr Gilbert Berdine via Le saker francophone)

[Note de l’administrateur de ce blog : au cas où ce ne serait pas encore bien clair, les annonces en grande pompe sur l’efficacité des premiers vaccins anti-COVID-19 sont pour l’essentiel basées sur… du vent, car personne n’a jamais affirmé qu’être vacciné comportait moins de risques pour la santé que d’attraper la COVID-19. Sans oublier qu’il restera possible de se faire vacciner et de déclarer néanmoins la maladie.

Or il est maintenant parfaitement clair que la COVID-19 présente très peu de risques de complications graves voire fatales pour les personnes qui ne sont ni très âgées ni porteuses de comorbidités importantes, les Centers for Disease Control américains rappelant que pour seulement 6% des décès comptabilisés “COVID-19” aux USA, aucune autre cause n’est mentionnée.

Il faudrait pourtant commencer par là : primum non nocere, d’abord ne pas nuire.]


Pfizer a récemment annoncé que son vaccin Covid était « efficace » à plus de 90 % pour prévenir la Covid-19. Peu après cette annonce, Moderna annonçait que son vaccin contre la Covid était « efficace » à 94,5 % pour prévenir la Covid-19. Contrairement au vaccin contre la grippe, qui est un vaccin unique, les deux vaccins anti-Covid nécessitent deux injections à trois ou quatre semaines d’intervalle. Hélas, les définitions du terme « efficace » sont cachées vers la fin des deux annonces.

Les deux essais comportent un groupe de traitement qui a reçu le vaccin et un groupe de contrôle qui ne l’a pas reçu. Tous les sujets de l’essai étaient Covid négatifs avant le début de l’essai. L’analyse pour les deux essais a été effectuée lorsqu’un nombre cible de « cas » a été atteint. Les « cas » ont été définis par un test positif de réaction en chaîne de la polymérase (PCR). Il n’y a aucune information sur le nombre de cycle utilisé pour les tests PCR. Il n’y a pas d’information pour préciser si les « cas » présentaient ou non des symptômes. Il n’y a pas d’information sur les hospitalisations ou les décès.

Interview complète du Dr Michel de Lorgeril
Présentation de la collection Vaccins & Société

[Note de l’administrateur de ce blog : après avoir vu le comportement étrange du plus fervent (et fortuné) défenseur des vaccins, Bill Gates, revenons à une approche plus factuelle et rationnelle de la vaccination avec le Dr Michel de Lorgeril. Tout rapprochement avec les batailles médiatiques en cours sur d’autres sujets ne serait que complotisme délirant de cerveau malade.

La vidéo ci-dessous est à but promotionnel puisqu’elle vient de l’éditeur ; j’espère réaliser prochainement des fiches de lectures de ces ouvrages (que je recommande chaudement), ayant lu une partie d’entre eux.]


Covid-19 : les essais du vaccin d’Oxford interrompus
par le groupe AstraZeneca (France 24)

[Note de l’administrateur de ce blog : tout va bien… l’industrie des vaccins est parfaitement sûre et désintéressée. Faites-lui confiance.]


Mise à jour du 27 novembre : ah tiens, même France 2 commence à parler des effets secondaires possibles et graves des vaccins sous forme de maladies auto-immunes… le complotisme deviendrait-il mainstream ? Ou bien s’agit-il simplement du retour du bon sens, qui dit qu’en trifouillant dans le système immunitaire avec des méthodes que l’évolution n’a pas eu le temps de trier, on risque dans certains cas de le faire partir en sucette ? Et que la prescription médicale est une affaire individuelle pour laquelle toute généralisation brutale est vouée à l’échec, ce qui évidemment n’arrange pas les affaires des industriels et de leur mode de fonctionnement par standardisation ?

Grande interview de Guy Courtois, auteur du livre :
Et si Didier Raoult avait raison ? (France Soir)

[Note de l’administrateur de ce blog : France Soir semble bien, comme on l’avait déjà remarqué, être un des seuls journaux français grand public à faire encore du véritable journalisme.

Souhaitons-lui de ne pas subir le sort des autres titres (en chute plus ou moins libre en raison de leurs mensonges répétés) et de faire des émules.]


INTERVIEW : Guy Courtois est l’auteur de « Et si Didier Raoult avait raison ? Les coulisses d’un scandale international. » un ouvrage qui s’intéresse à la crise sanitaire mondiale que nous vivons encore.

FS : Tout d’abord Guy Courtois, qu’est-ce qui vous a amené à vous intéresser au professeur Raoult et à cette crise ?

Guy Courtois : Dans ma vie personnelle, plusieurs personnes de mon entourage plus ou moins proches sont décédées du Covid-19. Huit exactement. 4 en France, 2 en Espagne et 2 en Italie dont une personne âgée par glissement. Je dois avouer que j’ai été bouleversé. Et ça m’a interrogé.

Par ailleurs, pendant la période de confinement, j’avais du temps libre. Mon activité professionnelle étant au ralenti. Comme beaucoup, j’étais en télétravail ; je suis consultant en stratégie. C’est donc tout naturellement que je me suis intéressé à cette crise qui frappait de plein fouet beaucoup de pays dans le monde !

Et là, je me suis rendu compte qu’il y a des choses très surprenantes et j’ai voulu comprendre. Je suis curieux de nature, et du coup, je me suis mis à enquêter.

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Excédé par sa résistance, le Système lance une offensive massive contre le Pr Raoult (E&R)

[Note de l’administrateur de ce blog : les différents extraits vidéos de l’article, et en particulier celui de l’audition d’Agnès Buzyn devant les parlementaires, ont été réalisés sans trucage…]


Jusqu’à la fin juin 2020, c’est-à-dire la fin du confinement et le début du déconfinement organisé par le futur Premier ministre Jean Castex, jusque-là inconnu au bataillon, l’infectiologue et chercheur de renommée internationale Didier Raoult et ses « défenseurs » (Chabrière, Perronne) pouvaient encore s’exprimer librement dans les médias. Soudain, le ton a changé, l’écoute a laissé la place à l’agressivité et le Raoult s’est retrouvé dans la peau d’un Soral ou d’un Dieudonné, ces trophées que les chasseurs du Système adoreraient accrocher dans leur chambre.

Pourquoi un tel revirement, par exemple de la part de L’Express [1], propriété du groupe du franco-israélien Patrick Drahi, qui a plutôt défendu le chercheur et son protocole de soin à base d’hydroxychloroquine et d’azithromycine ?

Une revue de presse complète à propos du Pr Raoult et de son écho dans les médias mainstream et internet serait fastidieuse : il y a près de 11 millions de résultats sur Google. Nous allons donc nous concentrer sur les titres de presse et le moment – la simultanéité du retournement est éclatante – où la polémique autour du sanglier marseillais et de son protocole de soin s’est transformée en chasse à l’homme. Par ailleurs, certains journalistes n’ont jamais changé leur fusil d’épaule à propos du sanglier : ils veulent depuis le début se le faire.

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Lacombe, Yazdanpanah, ces médecins du service public qui cachetonnent dans le privé (Éric Verhaeghe)

[Note de l’administrateur de ce blog : on continue la plongée dans l’univers glauque d’une partie de la médecine “scientifique”… mais aussi (très) rémunératrice, donc corrompue.]


Saviez-vous que tant de médecins du service public hospitalier faisaient des ménages, c’est-à-dire cachetonnaient pour des sommes parfois très élevées, dans des laboratoires privés ? La crise du coronavirus est l’occasion de montrer comment des conflits d’intérêt peuvent compliquer la donne et interférer avec les informations de santé publique. Nous livrons aujourd’hui des informations sourcées sur les sommes que Karine Lacombe et Yazdan Yazdanpanah, très exposés sur la question du coronavirus, ont perçues depuis 2012 de la part des laboratoires privés ont ils assurent aujourd’hui la discrète promotion.

Les médecins du service public sont-ils tous aussi désintéressés qu’ils ne le disent ? Karine Lacombe, professeure à l’hôpital Saint-Antoine, est désormais très connue pour avoir donné à la télévision, à une heure de grande écoute, des leçons d’éthique à Didier Raoult, le défenseur de la chloroquine. Yazdan Yazdanpanah est chef de service à l’hôpital Bichat. Nous avons repris ici les sommes qu’ils ont déclarées avoir perçues de la part de laboratoires privées ces dernières années. Et elles permettent de donner une première réponse à cette question.

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