Covid-19 : échec de l’approche occidentale
(Thierry Meyssan)

[Note de l’administrateur de ce blog : Thierry Meyssan fut immédiatement taxé de “complotisme” lorsqu’il affirma dans “L’effroyable imposture” qu’aucun avion ne s’était écrasé sur le Pentagone le 11 septembre 2001, alors que l’on aurait plutôt pu lui reprocher de n’avoir pas compris l’absence d’avions au World Trade Center.

Dans ce très intéressant article, il analyse la faillite occidentale de la réponse à la COVID-19 sous l’angle culturel, en faisant bizarrement preuve de “sous-complotisme”. Si les différences culturelles dans l’appréhension des virus dont il parle existent bel et bien, elles ne constituent cependant qu’un élément de la réponse, et il suffit de lire “COVID-19 : la grande réinitialisation” de Klaus Schwab et Thierry Malleret pour comprendre que cette crise sanitaire en grande partie provoquée est l’aubaine nécessaire à l’application d’un agenda politique totalitaire au profit de quelques-uns.

Il ne s’agit d’ailleurs même plus de complot – terme qui sous-entend le secret – mais d’une guerre ouverte d’élites auto-proclamées contre les peuples. Mais la conclusion de Thierry Meyssan reste hélas valable : “l’Occident n’est plus le centre de la Raison et de la Science”.]


L’épidémie de Covid-19 touche le monde entier, toutefois sa mortalité varie de 0,0003 % en Chine à 0,016 % aux États-Unis, c’est-à-dire plus de 50 fois plus. Cette différence peut s’expliquer par des particularités génétiques, mais surtout par des différences d’approche médicale. Elle atteste que l’Occident n’est plus le centre de la Raison et de la Science.

Il y a un an déjà, l’épidémie de la Covid-19 arrivait en Occident, via l’Italie. Aujourd’hui, nous en savons un peu plus sur ce virus, cependant, malgré les connaissances, les Occidentaux persistent à l’appréhender de manière erronée.

1- Qu’est ce qu’un virus ?

La Science est par définition universelle : elle observe et échafaude des hypothèses pour expliquer des phénomènes. Cependant elle s’exprime dans des langues et des cultures différentes qui sont sources de quiproquos lorsqu’on ne connait pas leurs spécificités.

Ainsi, les virus sont des êtres vivants selon la définition européenne de la vie, mais de simples mécanismes selon la définition anglo-saxonne de la vie. Cette différence culturelle induit des comportements chez chacun d’entre nous. Pour les Anglo-Saxons, il convient de détruire les virus, tandis que pour les Européens il s’agissait —jusqu’à l’année dernière— de s’adapter à eux.

Je ne dis pas que les uns sont supérieurs ou inférieurs aux autres, ni qu’ils sont incapables d’agir d’une manière différente de celle induite par leur culture. Je dis simplement que chacun appréhende le monde d’une manière qui lui est propre. Nous devons faire un effort pour comprendre les autres et nous n’en sommes véritablement capables que si nous sommes ouverts à cela.

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Et pour relativiser l’aspect catastrophique actuel de l’épidémie en Europe, on pourra avec profit consulter le site euromomo dont les graphiques suivants sont extraits :

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Question de vie ou de mort : qui va GAGNER ?
(Santé Corps Esprit)

[Note de l’administrateur de ce blog : c’est en effet la seule véritable question que pose la Covid-19, une maladie qui aurait pu être assez quelconque si des gouvernements et des media n’avaient pas volontairement créé une psychose, et même renforcé cette psychose en prenant toutes les mesures possibles pour que le nombre de victimes augmente. Rappelons donc deux chiffres objectifs, témoignant de la déconnexion entre l’ampleur réelle de l’épidémie et les réactions gouvernementales.

  1. En France, lors de l’hiver 2016-2017, la surmortalité due à la grippe saisonnière a été estimée à plus de 20 000 décès (voir ce bulletin de Santé Publique France, p. 474, et ne pas se fier à son résumé qui fait état de “seulement” 14 400 décès supplémentaires), ce qui n’est pas radicalement différent des 28 000 décès actuellement attribués à la Covid-19 en France, en fin d’épidémie, et au prix d’une inflation délibérée des chiffres (beaucoup de morts, non testés, sont en réalité morts d’autre chose) sans parler du refus de soins ;
  2. Au Vietnam, pays frontalier de la Chine touché dès les débuts de l’épidémie, à forte densité de population, le gouvernement a lui aussi prôné le confinement alors que l’épidémie a fait, à ce jour… 324 cas confirmés et zéro mort.

On pourra aussi consulter ce bilan du 14 mai 2020 sur l’épidémie de Covid-19 et constater que, si le pic de mortalité hebdomadaire (p. 20) a bien atteint des hauteurs nettement supérieures (environ 15 000) au maximum de début 2017 (environ 12 000), et ceci principalement à cause d’une concentration des cas dans quelques zones très touchées (Grand Est, région parisienne), d’hôpitaux sinistrés donc débordés (trois fois moins de lits en soins intensifs, pour le même nombre d’habitants, en France qu’en Allemagne) et d’un refus de soins par les “autorités de santé” (ou de mort ?), l’aire sous le pic, représentant la surmortalité totale, n’est pas radicalement différente à ce qu’elle était lors de l’hiver 2016-2017.]


Après la crise du coronavirus, un combat magistral va commencer.

Une lutte à mort entre deux camps irréconciliables.

Les enjeux sont immenses.

Nous avons un choix de civilisation à faire, entre deux voies possibles :

  • Soit le bon sens écologique, l’humanité et la liberté ;
  • Soit le « tout-chimie », la surveillance et la censure.

Qui va gagner ?

Cela dépend de notre réaction à tous.

Comptez-sur moi, en tout cas, pour me battre comme un lion.

Car je refuse catégoriquement ce qu’une partie de nos élites nous prépare :

Réveillons-nous ! Voici la vie qu’ils veulent nous imposer

Voici ce qu’a déclaré le Dr Anthony Fauci, le patron de la réponse sanitaire aux Etats-Unis :

« Je pense que nous ne devrions plus jamais nous serrer la main ».

Derrière cette phrase stupide, il y a une idéologie précise, profonde et dangereuse.

Il est très important d’en être conscient, alors voici ses 4 éléments fondamentaux :

  1. Les virus et bactéries seraient des « ennemis mortels » du genre humain

Ils veulent nous empêcher de nous serrer la main, comme si les microbes étaient toujours des ennemis à abattre.

Mais c’est une erreur colossale, comme l’ont montré les découvertes récentes sur le microbiote !

En réalité, nous formons une véritable « symbiose » avec les bonnes bactéries qui pullulent dans notre intestin, sur notre peau et un peu partout dans notre corps !

On commence à comprendre que les bactéries peuvent être des alliées… et ce qui nous rend malade, ce sont généralement les déséquilibres bactériens !

Prenez la bactérie Helicobacter Pylori, qui a été diabolisée depuis qu’on a découvert qu’elle est impliquée dans les ulcères de l’estomac.

Des chercheurs commencent à réaliser que cette bactérie n’est pas mauvaise en soi.

Au contraire, Helicobacter Pylori aurait aussi des effets positifs pour la santé, notamment contre l’obésité et l’inflammation chronique.

Des chercheurs ont même découvert, à leur stupéfaction, que les gènes de cette bactérie améliorent le fonctionnement de nos intestins et pourrait éloigner les maladies inflammatoires :

« Il est incroyable que l’ADN de cette bactérie ait une influence significative sur l’immunité intestinale de la personne qui l’abrite », ont déclaré ces chercheurs.

En fait, c’est « incroyable » uniquement pour ceux qui ont une vision simpliste des microbes.

Helicobacter Pylori cohabite avec l’homme depuis au moins 50 000 ans. Il n’est donc pas étonnant que nous ayons appris à vivre en harmonie avec elle…

…comme avec la plupart des microbes qui nous entourent !

Et on commence à se rendre compte qu’il ne faut surtout pas les traiter en ennemis.

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