[Note de l’administrateur de ce blog : à des années-lumière des délires macronesques et véranoïdaux, car basées sur des données et des raisonnements et non dictées par un agenda politique, ces 12 minutes sont également un complément utile à l’article récemment rapporté sur l’équipe COMETE des marins-pompiers de Marseille.]
épidémie
Question de vie ou de mort : qui va GAGNER ?
(Santé Corps Esprit)
[Note de l’administrateur de ce blog : c’est en effet la seule véritable question que pose la Covid-19, une maladie qui aurait pu être assez quelconque si des gouvernements et des media n’avaient pas volontairement créé une psychose, et même renforcé cette psychose en prenant toutes les mesures possibles pour que le nombre de victimes augmente. Rappelons donc deux chiffres objectifs, témoignant de la déconnexion entre l’ampleur réelle de l’épidémie et les réactions gouvernementales.
- En France, lors de l’hiver 2016-2017, la surmortalité due à la grippe saisonnière a été estimée à plus de 20 000 décès (voir ce bulletin de Santé Publique France, p. 474, et ne pas se fier à son résumé qui fait état de “seulement” 14 400 décès supplémentaires), ce qui n’est pas radicalement différent des 28 000 décès actuellement attribués à la Covid-19 en France, en fin d’épidémie, et au prix d’une inflation délibérée des chiffres (beaucoup de morts, non testés, sont en réalité morts d’autre chose) sans parler du refus de soins ;
- Au Vietnam, pays frontalier de la Chine touché dès les débuts de l’épidémie, à forte densité de population, le gouvernement a lui aussi prôné le confinement alors que l’épidémie a fait, à ce jour… 324 cas confirmés et zéro mort.
On pourra aussi consulter ce bilan du 14 mai 2020 sur l’épidémie de Covid-19 et constater que, si le pic de mortalité hebdomadaire (p. 20) a bien atteint des hauteurs nettement supérieures (environ 15 000) au maximum de début 2017 (environ 12 000), et ceci principalement à cause d’une concentration des cas dans quelques zones très touchées (Grand Est, région parisienne), d’hôpitaux sinistrés donc débordés (trois fois moins de lits en soins intensifs, pour le même nombre d’habitants, en France qu’en Allemagne) et d’un refus de soins par les “autorités de santé” (ou de mort ?), l’aire sous le pic, représentant la surmortalité totale, n’est pas radicalement différente à ce qu’elle était lors de l’hiver 2016-2017.]
Après la crise du coronavirus, un combat magistral va commencer.
Une lutte à mort entre deux camps irréconciliables.
Les enjeux sont immenses.
Nous avons un choix de civilisation à faire, entre deux voies possibles :
- Soit le bon sens écologique, l’humanité et la liberté ;
- Soit le « tout-chimie », la surveillance et la censure.
Qui va gagner ?
Cela dépend de notre réaction à tous.
Comptez-sur moi, en tout cas, pour me battre comme un lion.
Car je refuse catégoriquement ce qu’une partie de nos élites nous prépare :
Réveillons-nous ! Voici la vie qu’ils veulent nous imposer
Voici ce qu’a déclaré le Dr Anthony Fauci, le patron de la réponse sanitaire aux Etats-Unis :
« Je pense que nous ne devrions plus jamais nous serrer la main ».
Derrière cette phrase stupide, il y a une idéologie précise, profonde et dangereuse.
Il est très important d’en être conscient, alors voici ses 4 éléments fondamentaux :
- Les virus et bactéries seraient des « ennemis mortels » du genre humain
Ils veulent nous empêcher de nous serrer la main, comme si les microbes étaient toujours des ennemis à abattre.
Mais c’est une erreur colossale, comme l’ont montré les découvertes récentes sur le microbiote !
En réalité, nous formons une véritable « symbiose » avec les bonnes bactéries qui pullulent dans notre intestin, sur notre peau et un peu partout dans notre corps !
On commence à comprendre que les bactéries peuvent être des alliées… et ce qui nous rend malade, ce sont généralement les déséquilibres bactériens !
Prenez la bactérie Helicobacter Pylori, qui a été diabolisée depuis qu’on a découvert qu’elle est impliquée dans les ulcères de l’estomac.
Des chercheurs commencent à réaliser que cette bactérie n’est pas mauvaise en soi.
Au contraire, Helicobacter Pylori aurait aussi des effets positifs pour la santé, notamment contre l’obésité et l’inflammation chronique.
Des chercheurs ont même découvert, à leur stupéfaction, que les gènes de cette bactérie améliorent le fonctionnement de nos intestins et pourrait éloigner les maladies inflammatoires :
« Il est incroyable que l’ADN de cette bactérie ait une influence significative sur l’immunité intestinale de la personne qui l’abrite », ont déclaré ces chercheurs.
En fait, c’est « incroyable » uniquement pour ceux qui ont une vision simpliste des microbes.
Helicobacter Pylori cohabite avec l’homme depuis au moins 50 000 ans. Il n’est donc pas étonnant que nous ayons appris à vivre en harmonie avec elle…
…comme avec la plupart des microbes qui nous entourent !
Et on commence à se rendre compte qu’il ne faut surtout pas les traiter en ennemis.
Coronavirus – le point au 10/02/2020
(Pr. Didier Raoult, IHU Méditerranée-Infection)
[Note de l’administrateur de ce blog : la mise au point qui suit, diffusée par l’Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée Infection, date de 5 jours et permet de bien appréhender la différence entre un discours médiatique anxiogène et la froide réalité des chiffres. Comme le fait remarquer le professeur Raoult, on a vite fait d’accuser les réseaux sociaux de toutes les dérives, mais c’est à l’évidence les “grands” media (ou media de grand chemin…) qui sont ici totalement déconnectés du réel (voir à partir de 6:44). Sachant qu’ils sont le fruit du travail de professionnels, on peut se poser la question : incompétence crasse, ou volonté délibérée de tromper ?
On méditera aussi ces quelques mots du professeur Raoult : “Ce qui est le plus important dans une crise sanitaire, ce n’est pas la réalité c’est la peur. La peur tue, beaucoup, beaucoup, beaucoup, elle fait faire des bêtises, elle fait avoir des réactions dangereuses […] la peur c’est un truc terrible ; c’est très dangereux la peur, et en particulier la peur des foules.”
Qui a intérêt à déclencher, puis à entretenir, la peur des foules ?]
Quoi… vous n’êtes pas encore vacciné contre la grippe ? (Santé Corps Esprit)
[Note de l’administrateur de ce blog : attention, information “antisémite” selon les critères1 en vigueur dans certains cercles de pouvoir. En effet, non content de montrer, références scientifiques à l’appui, que le vaccin contre la grippe est pour l’essentiel une arnaque, Xavier Bazin rappelle que le groupe Sanofi, grand bénéficiaire de la campagne vaccinale (c’est Le Monde qui le dit) est dirigé par Serge Weinberg, un des amis proches d’Emmanuel Macron et “parrain” de celui-ci pour son entrée à la banque Rothschild, où il gagna 2,8 millions d’euros en salaires et bonus, en 3 ans. Soit 78 000 € par mois à la louche (de caviar).]
Cher(e) ami(e) de la Santé,
Partout où je vais, je reçois le même message : « Vaccinez-vous contre la grippe ! ».
Hier, à la pharmacie, un petit panneau disait : « Faites-vous vacciner ici contre la grippe ! »
Il y a quelques jours, j’ai vu un médecin avec un pin’s fièrement épinglé sur son torse : « Vacciné contre la grippe, pour vous protéger ».
Et je ne parle pas des médias, qui multiplient les titres comme :
« Allô ? Avez-vous pensé à vous faire vacciner contre la grippe » 2
« Le vaccin contre la grippe est un bon investissement » 3
et même, dans le Figaro : « Faut-il rendre obligatoire le vaccin contre la grippe? »
Et pourtant…
Quand vous regardez les études scientifiques, le message est totalement différent !
Coqueluche et vaccin : 5 faits très « gênants »
pour la Ministre (Santé Corps Esprit)
[Note de l’administrateur de ce blog : en pleine polémique sur les vaccins, je reproduis ici un article de la lettre d’information “Santé Corps Esprit” que je reçois. Je ne suis pas médecin, mais constate avec consternation le niveau intellectuel des arguments employés dans les media de grand chemin pour défendre la politique vaccinale autoritaire de notre ministre. Et je constate aussi avec un certain désespoir que parmi les collègues, ceux qui prétendent faire des raisonnements “scientifiques” pour démontrer qu’il est toujours préférable de se faire vacciner n’hésitent pas à mettre dans les prémisses de la démonstration la conclusion qu’ils souhaitent trouver au bout. Par exemple en faisant de savants calculs statistiques basés uniquement sur la prise en compte des effets positifs des vaccins. C’est sûr que quand on n’additionne que des nombres positifs, on a peu de chances de trouver un résultat négatif… dommage d’être arrivé à Bac+8 sans être capable de différencier un syllogisme d’un sophisme ! ]
La coqueluche revient !
Oui, après des années de « répit », le nombre de cas de coqueluche repart à la hausse, en France, aux États-Unis, un peu partout.
En Angleterre, en 2012, année d’un triste record, 10 enfants de moins d’un an sont morts de la coqueluche.
C’est le même phénomène que pour la rougeole, en pire.
Est-ce parce que l’on vaccine moins les enfants qu’avant ?
Pas du tout ! La couverture vaccinale contre la coqueluche n’a fait qu’augmenter en Europe et aux États-Unis !
Elle dépasse aujourd’hui les 95 % dans la plupart des pays occidentaux.
Alors où est le problème ?
C’est très simple : on assiste en ce moment aux effets pervers parfaitement prévisibles de la vaccination généralisée.