Que se passe-t-il dans un corps humain qui reçoit un vaccin ARN contre le Covid-19 ? (AssoCovidFrance)

[Note de l’administrateur de ce blog : voici une vidéo très pédagogique accessible aux non-spécialistes, très simplifiée par rapport aux explications que peut délivrer un chercheur comme Christian Vélot certes, mais d’autant plus utile pour ceux qui n’ont qu’un quart d’heure à consacrer et qui ne parlent pas couramment la génétique moléculaire.

Seule réserve : l’explication donnée pour le magnétisme observé1 de certains sujets vaccinés n’en est pas une, une molécule chargée (positivement ou négativement) n’interagissant avec un champ magnétique que si elle produit un courant, c’est-à-dire si elle se déplace.

À noter que le total de 3 555 morts mentionné à partir de 6:05 dans la vidéo est très inférieur au chiffre actuel : on atteint en effet aujourd’hui 14 5062.]


L’origine artificielle (et américano-chinoise)
du SARS-CoV-2 se confirme

Inauguration du laboratoire P4 de Wuhan, Chine, 23 février 2017, en compagnie de Bernard Cazeneuve, Yves Lévy et Marisol Touraine

L’origine artificielle du SARS-CoV-2 est passée en peu de temps du statut de “théorie complotiste fumeuse”, parfois niée en dépit du bon sens par des directeurs de recherche affirmant – alors qu’ils sont payés entre autres pour des travaux de ce type – que personne ne sait faire ce genre de choses en laboratoire, au statut de piste éventuelle reconnue du bout des lèvres par des media de grand chemin, qui de toute façon ne pourront rien contre l’avalanche de preuves.

Celles-ci sont de deux natures : scientifique, comme l’avait dès le début exposé le Pr Montagnier et d’autres grands chercheurs, ce qui les rend difficiles à comprendre pour le commun des mortels, et administrative, via des documents attestant de programmes de recherche, financements et accords divers correspondant point par point aux caractéristiques infectieuses du SARS-CoV-2. Ces dernières sont naturellement plus accessibles, et c’est aujourd’hui le journal The Intercept qui publie le résultat d’une requête introduite dans le cadre du Freedom of Information Act – une loi sur la liberté de l’information également très utilisée par les chercheurs de vérité sur le 11-Septembre – qui montre à quel point les USA et la Chine sont co-responsables de recherches à haut risque à Wuhan, arrêtées par l’administration Trump mais qui furent toujours poussées par le Dr Fauci et le Dr Daszak de l’association EcoHealth Alliance.

Je vous propose ci-dessous la traduction de cet article.

——— Début de la traduction ———

Plus de 900 pages de documents relatifs à la recherche sur le coronavirus financée par les États-Unis en Chine ont été publiées à la suite d’une action en justice intentée par The Intercept en vertu de la loi sur la liberté d’information.

Des documents récemment publiés fournissent des détails sur les recherches financées par les États-Unis sur plusieurs types de coronavirus à l’Institut de virologie de Wuhan en Chine. The Intercept a obtenu plus de neuf cents pages de documents détaillant le travail de l’EcoHealth Alliance, une organisation de santé basée aux États-Unis qui a utilisé des fonds fédéraux pour financer la recherche sur les coronavirus des chauves-souris dans le laboratoire chinois. Ces documents comprennent deux propositions de subventions inédites financées par le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), ainsi que des mises à jour de projets relatifs aux recherches de l’EcoHealth Alliance, qui ont fait l’objet d’un examen minutieux dans un contexte d’intérêt accru pour les origines de la pandémie.

Les documents ont été publiés dans le cadre d’une action en justice intentée en vertu de la loi sur la liberté d’information par The Intercept contre les National Institutes of Health. The Intercept met l’intégralité des documents à la disposition du public.

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Données israéliennes : comment l’efficacité du vaccin
contre les formes graves peut-elle être élevée quand
60 % des hospitalisés sont vaccinés ?

Je l’avais déjà évoqué sur ce blog parce que Didier Raoult l’avait fait dans une de ses vidéos, le paradoxe de Simpson est un piège statistique qui peut survenir lorsque des données présentent une distribution particulière telle que celle représentée schématiquement à gauche. Généralement, toute recherche de causalité entre deux phénomènes est précédée d’une recherche de corrélation car, si une corrélation n’implique pas un lien de causalité, en revanche une absence de corrélation implique l’absence de relation de cause à effet.

Pour ce faire, un des moyens les plus simples consiste à représenter sur un graphe une variable en fonction de l’autre et de constater si le nuage de points formé révèle une corrélation (s’il est allongé suivant une diagonale ascendante ou descendante) ou non. Le cas le plus flagrant étant bien sûr lorsque les points s’alignent parfaitement suivant une courbe (qui peut être une droite). Mais il arrive que le nuage de points présente deux tendances, parfois même opposées, suivant qu’on le considère globalement ou en le décomposant en deux sous-ensembles (illustration de gauche).

Parce que nombre d’arguments sommaires contre les “vaccins” anti-COVID tombent dans ce piège, il est important de l’expliquer – ce qui ne signifie pas qu’il est nécessaire et “scientifique” de se prononcer en faveur de cette vaccination, ni même d’admettre une bonne fois pour toutes son efficacité ou son rapport bénéfice / risque favorable. Comme l’a montré Robert Malone (c’est lui qui a attiré mon attention sur l’article dont je vous propose la traduction ci-dessous), il est tout à fait possible – et même parfaitement logique – de dénoncer avec force les méthodes d’apprenti-sorcier imposées pour (prétendument) lutter contre une pandémie tout en dénonçant parallèlement des arguments faibles voire faux utilisés par certaines critiques.

Voici donc la traduction d’un article de Jeffrey Morris qui, s’il n’aborde qu’un aspect du problème – ce qui est nettement insuffisant pour justifier une vaccination massive de la population – le fait correctement et de façon pédagogique. Avis à ceux qui penseraient que cet article est une invitation à baisser les armes contre une campagne de vaccination “non obligatoire” mais imposée de façon particulièrement vicieuse : ils n’ont rien compris, il s’agit au contraire de laisser tomber les pistolets à bouchon et de préférer l’artillerie lourde. Qui se trouve ailleurs que dans cet article1, certes, mais chaque chose en son temps.

Remarque : la traduction française de SARS-CoV-2 (severe acute respiratory syndrome coronavirus 2) est parfois SRAS-CoV-2 (syndrome respiratoire aigu sévère, coronavirus 2). Mais elle est bancale, une traduction “complète” devant être CoV-2-SRAS (coronavirus 2 d’un syndrome respiratoire aigu sévère), c’est pourquoi j’ai jusqu’à présent gardé le terme anglais dans les articles, et continuerai à le faire.

——— Début de la traduction ———

Une recrudescence du variant Delta, plus contagieux, dans des pays fortement vaccinés, a donné lieu à de nombreuses critiques selon lesquelles les vaccins ne sont pas efficaces contre le variant Delta ou que l’efficacité du vaccin diminue après 4 à 6 mois. Cette situation a alimenté un sentiment anti-vaccin, suggérant que les vaccins ne fonctionnent pas, et a provoqué un grand stress chez les personnes vaccinées qui ne sont pas aussi protégées qu’elles le pensaient.

Dans ce billet, je me concentrerai sur l’efficacité des vaccins2 par rapport à la maladie grave ou l’hospitalisation, qui est le facteur clé pour la santé publique. Je ne traiterai pas ici de l’efficacité des vaccins par rapport à la maladie symptomatique ou asymptomatique [NdT : une maladie sans symptôme est-elle encore une maladie ?] – cela nécessite des nuances que je garderai pour un prochain billet.

Un résultat inquiétant qui a été repris à plusieurs endroits est qu’une forte proportion des patients hospitalisés pour la COVID-19 sont vaccinés. Par exemple, nous pouvons voir à partir des données du gouvernement israélien que près de 60 % de tous les patients actuellement hospitalisés pour la COVID-19 (au 15 août 2021) sont vaccinés (les données téléchargées et les détails se trouvent au bas de cet article). Sur les 515 patients actuellement hospitalisés pour des cas graves en Israël, 301 (58,4 %) d’entre eux étaient entièrement vaccinés, c’est-à-dire qu’ils avaient reçu deux doses du vaccin Pfizer.

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Comment sauver le monde en trois étapes faciles – 1

Bret Weinstein se définit comme un professeur de biologie “en exil”, suite aux déboires qu’il a eus avec son université, l’Evergreen State College, en 2017. Ce temple du mouvement woke n’avait en effet rien trouvé de mieux que d’imposer des mesures clairement discriminatoires envers les Blancs en guise d’antiracisme, ce qui n’a – logiquement – pas plu à Weinstein et lui a valu de nombreuses attaques de la part d’activistes “antiracistes” (notez les guillemets), attaques dont son université s’est bien gardée de le défendre.

Ce docteur en biologie de l’évolution a fini par démissionner de ce temple de l’ignorance, avec sa femme Heather Heying elle aussi biologiste, après un procès où ils ne parvinrent à obtenir que 500 000 dollars de dédommagement (somme faible, aux USA, pour deux professeurs d’université perdant leur poste, vu les salaires pratiqués).

Bret et Heather animent depuis le Dark Horse Podcast, sur YouTube puis sur Odysee, vu l’épidémie de censure qui touche la première plateforme pour tous les intellectuels véritables, ceux qui ne confondent pas les verbes savoir et répéter. Début juin 2021, Bret invitait dans son émission Robert Malone, l’inventeur de la technique de vaccination à ARN, et Steve Kirsch, ingénieur et entrepreneur auteur d’un article très remarqué sur les dangers des vaccins anti-COVID à ARN ou ADN.

L’entretien, de 3 heures et 17 minutes, intitulé modestement How to save the world in three easy steps, fait l’effet d’une bombe, et cumule 800 000 vues en une semaine… avant que YouTube ne le censure, bien évidemment. C’est que les trois intervenants sont difficilement critiquables, tout en annonçant une catastrophe sanitaire sans précédent – qui n’est pas l’épidémie covidienne maintes fois brandie telle une promesse d’apocalypse, mais bien la vaccination expérimentale et à grande échelle contre la maladie.

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Dr. Charles Hoffe : 62 % des patients vaccinés contre le COVID ont des dommages cardiaques permanents (cv19.fr)

Vue d’artiste du virus SARS-CoV2

[Note de l’administrateur de ce blog : le propre de la démarche scientifique est de proposer des théories décrivant au mieux les données disponibles, et surtout de proposer des moyens de tester les théories en question en faisant appel à d’autres données non prises en compte initialement, soit parce qu’elles étaient disponibles mais considérées comme étrangères au domaine étudié (cas de l’unification de l’électricité et du magnétisme par Maxwell et d’autres au XIXe siècle), soit parce qu’elles n’étaient pas disponibles faute de moyens techniques suffisants (la relativité générale, ou l’existence d’antimatière, ont été “inventées” intellectuellement avant que des données suggèrent leur validité) ou simplement faute de curiosité.

C’est la condition pour que toute nouvelle théorie proposée soit réfutable, donc digne de considération scientifique ; sinon, on reste dans le domaine de la pure spéculation.

En proposant un test sanguin simple (le dosage des D-dimères), le Dr Charles Hoffe agit non seulement en bon médecin soucieux de la santé de ses patients, mais en bon scientifique donnant les armes intellectuelles nécessaires à ses éventuels adversaires pour démontrer qu’il a tort.

À eux de jouer, ils n’ont plus d’excuse !

Remarque importante : contrairement à certains “complotistes” bas du front, c’est-à-dire des personnes qui, au prétexte que nos autorités nous prennent ouvertement pour des débiles (ce qui est vrai), sont prêtes à croire n’importe quoi qui est contraire à leur discours (ce qui est très imprudent), le Dr Charles Hoffe ne dit pas que le virus SARS-CoV2 n’existe pas ou qu’il est absolument sans danger : bien au contraire, il dit que les mécanismes à l’œuvre dans les formes graves de COVID-19 sont les mêmes que ceux responsables des effets indésirables graves des vaccins censés protéger de la maladie. Ce qui rejoint les avertissements d’un des pionniers, sinon le pionnier, de la vaccination à ARN, le Dr Robert Malone, et en particulier ce qu’il dit – preuves scientifiques à l’appui – sur la toxicité du péplomère (généralement appelé “protéine spike”) du virus.

Mais Charles Hoffe donne aussi la possibilité de tester son hypothèse y compris en l’absence de symptôme apparent, bien avant que des troubles de la coagulation soient visibles par des symptômes ou des examens à l’échelle macroscopique, ce qui fait tout l’intérêt de sa démarche, aussi bien sur le plan médical (pour prévenir les complications) que scientifique.]


Vous avez peut-être entendu parler de tolérance réduite à l’effort après une vaccination Covid, de thromboses, de myocardites, d’arrêts cardiaques…
Tous ces symptômes pourraient être liés au même mécanisme d’action du vaccin (ici Moderna), entrainant des dommages irréversible et une réduction de l’espérance de vie à quelques années maximum.

Après avoir administré environ 900 doses du vaccin expérimental COVID-19 à ARNm de Moderna, le Dr Charles Hoffe, un médecin courageux qui pratique la médecine depuis 28 ans dans la petite ville rurale de Lytton, en Colombie-Britannique (Canada), a tiré la sonnette d’alarme sur les réactions graves qu’il observait chez ses patients qui avaient choisi de se faire vacciner (il avait choisi de ne PAS le faire lui-même), y compris la mort.

Après avoir tiré la sonnette d’alarme, les autorités médicales de sa communauté lui ont imposé le silence (gag order). Il a bravé ce silence et a été interviewé par Laura-Lynn Tyler Thompson dans son émission où il a tiré la sonnette d’alarme.

Voici un extrait de 8 minutes de l’interview originale (VOSTFR) :

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Le Défi de la vérité : Luc Montagnier, prix Nobel de médecine (France Soir)

[Note (assez longue) de l’administrateur de ce blog : on se souvient comment en avril 2020 le prix Nobel de médecine Luc Montagnier avait été qualifié de complotiste sénile par des journalistes sans la moindre qualification scientifique quand il avait commencé à dire que le virus SARS-CoV-2 avait de grandes chances d’être une invention humaine, et qu’il y avait vu des bouts de virus du SIDA (le VIH, dont il est co-découvreur, rappelons-le). Pas de telles fadaises chez les fact-checkers et les conspiracywatchers, avaient entonné à l’unisson les trompettes du media unique. Point de salut hors des pangolins et des chauves-souris, et de ces barbares de Chinois qui les mangent en soupe.

Puis, fin octobre, le journal du CNRS avait laissé un de ses éminents chercheurs argumenter scientifiquement sur l’origine du SARS-CoV-2, en des termes beaucoup plus nuancés puisqu’il disait ceci : “en dépit des recherches de virus dans les espèces animales vendues sur le marché de Wuhan, aucun virus intermédiaire entre RaTG13 et le SARS-CoV-2 n’a pu être identifié à ce jour. Tant que ce virus intermédiaire n’aura pas été identifié et son génome séquencé, la question de l’origine de SARS-CoV-2 restera non résolue”.

On y lisait également : “Aujourd’hui, obtenir ou faire synthétiser une séquence génétique est à la portée de n’importe quel laboratoire : on peut en moins d’un mois construire de toutes pièces un virus fonctionnel à partir des séquences disponibles dans les bases de données. De plus, des outils de manipulation du génome rapides, bon marché et faciles à utiliser ont été développés. Ces outils permettent de faire des avancées spectaculaires, mais ils démultiplient aussi les risques et la gravité potentielle d’un éventuel accident, notamment lors d’expériences de « gain de fonction » sur des virus à potentiel pandémique”. Des propos qu’on pourra rapprocher de ceux d’Olivier Schwartz, directeur scientifique de l’Institut Pasteur, dans cette vidéo publiée par France Culture le 11 mars (et en particulier à partir de 3:22).

Plus récemment encore, on apprend le 11 décembre que l’Australie abandonne un vaccin anti-COVID-19 en cours de développement à l’Université du Queensland pour la raison qu’il donne des faux positifs aux tests de dépistage du VIH.

On progresse.]


Il n’était plus apparu depuis ses attaques en règle véhiculées dans toute la presse depuis avril 2020. Beaucoup de chaînes voulaient le Pr Montagnier. Il a choisi FranceSoir pour s’exprimer, et s’essaie au Défi de la vérité, notre nouvelle émission. Au micro de Richard Boutry, il persiste et signe.

Devant la multitude de questions des Français sur la crise sans précédent que traverse le pays, FranceSoir a développé une nouvelle émission : le Défi de la vérité.  Elle vient compléter les Debriefings développés récemment avec des personnalités scientifiques, des médecins, des avocats afin d’apporter un éclairage et des réponses à diverses questions sur les traitements, les masques, le mérite du confinement, les tests PCR, la gestion de la crise par le gouvernement.

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COVID-19 : Nouveau scandale sur le vaccin Pfizer (Planetes360)

[Note de l’administrateur de ce blog : “follow the money” disent les anglophones… ici c’est particulièrement clair ! Certains phénomènes sont bien difficiles à expliquer, à moins que certains aient accès à des machines à voyager dans le temps… Notons que la précédente arnaque planétaire d’envergure, le 11 septembre 2001, avait donné lieu elle aussi à d’hallucinants délits d’initiés, ce qui laisse penser que ses auteurs étaient plus proches du monde de la haute finance que de celui des grottes afghanes.

Ceux qui souhaiteraient approfondir ce que l’on sait de la nature profondément criminelle de la haute finance contemporaine pourront se reporter à l’indispensable ouvrage “Le nouveau capitalisme criminel” de Jean-François Gayraud.]


Masques, 2e vague : le Pr Toussaint démolit les mensonges du Conseil scientifique (E&R)

[Note de l’administrateur de ce blog : la pédagogie est l’art de la répétition ; j’encourage donc chacun à répéter ces propos du Pr. Jean-François Toussaint à son entourage jusqu’à ce que ça rentre : il n’y a pas, il n’y a jamais eu jusqu’à présent de deuxième vague, et une personne testée positive au SARS-CoV2 n’est pas un(e) malade.]


Après la démonstration brutale et sans faille du Pr Toussaint, l’animateur de CNews sur le plateau de Quoi de news le 18 août 2020 tombe de sa chaise (à 4’14). Ou quand l’esprit vient aux journalistes…

CNews  : « Écoutez, franchement cette explication déjà elle était suffisamment claire et on voit ces chiffres, mais là quand je vous entends j’ai très peur, je suis en train de me dire, déjà un : est-ce qu’on fait peur aux gens pour rien ? ; la deuxième chose c’est à charge aussi pour les politiques et pour les personnes qui sont au plus haut sommet de l’État qui aujourd’hui nous disent “il faut porter le masque en extérieur”. En septembre, le Conseil scientifique vous en parliez, le Conseil scientifique qui dit à l’automne “on risque d’avoir une seconde vague”, donc vous êtes en train de balayer en disant “mais attendez, là les faits sont bien présents, il n’y a ni rebond de l’épidémie, il y a ni même un frémissement, il y a des nouveaux cas qui sont confirmés, mais ce ne sont pas des cas graves”. »

Toussaint  : « C’est absolument le cas, et qui plus est le Conseil scientifique, lorsqu’il nous annonce la énième deuxième vague la semaine dernière, un certain nombre de ses membres sont sur leur site de vacances. Si je le dis c’est parce qu’ils l’annoncent publiquement sur les radios publiques. »

CNews  : « C’est gravissime ce que vous êtes en train de dire. »

 

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(et comprendre un peu mieux d’où vient cette apparente liberté de parole, en réalité très encadrée)

Covid-19 : reportage censuré de la chaine publique italienne sur ce virus de laboratoire en 2015 (KALE X E X)

[Note de l’administrateur de ce blog : on peut rapprocher cette vidéo de 3 minutes des propos du directeur scientifique de l’Institut Pasteur, le professeur Olivier Schwartz, interrogé dans la seconde vidéo réalisée par France Culture et qui affirme (à 3:22) l’impossibilité pour les scientifiques de créer de nouveaux virus.]


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