La responsable du comité externe des CDC sur la sécurité des vaccins ne veut pas voir les données de sécurité
recueillies par le ministère israélien de la santé

Grace Lee, professeur à Stanford, est la présidente du comité externe du CDC sur la sécurité des vaccins.

Grace Lee, professeur à Stanford, est la présidente du comité externe du CDC sur la sécurité des vaccins.

Steve Kirsch est un entrepreneur américain ayant fait fortune dans l’informatique, ayant reçu 2 doses de “vaccin” Pfizer contre la Covid-19 et consacrant dorénavant tous ses efforts et une partie de sa fortune à alerter les autorités et le grand public sur le danger de ces injections et l’intérêt des traitements précoces.

Il vient de démontrer avec éclat comment des institutions chargées de contrôler la sécurité des vaccins sont en réalité impliquées de façon active – et non par simple incompétence ou inaction – dans la dissimulation de données qui, si elles étaient diffusées auprès du grand public et du corps médical, pourraient sauver des milliers de vies et épargner à un plus grand nombre encore des maladies graves et handicapantes.

Je vous propose ci-dessous la traduction de son article paru sur son compte substack le 16 septembre 2022.

——— Début de la traduction ———

J’ai enfin obtenu une réponse à ma question adressée à la présidente de l’ACIP, Grace Lee, afin de savoir si elle voulait connâitre les données sur la sécurité des vaccins COVID provenant d’Israël.

Grace Lee, professeur à Stanford, est la présidente du comité externe des CDC sur la sécurité des vaccins. J’ai essayé tout ce que je pouvais imaginer pour attirer son attention sur les informations critiques israéliennes concernant la sécurité des vaccins. Elle m’a ignoré et a appelé les flics. J’ai tout filmé. Elle ne peut pas maintenant prétendre à un déni plausible.

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Comment sauver le monde en trois étapes faciles – 1

Bret Weinstein se définit comme un professeur de biologie “en exil”, suite aux déboires qu’il a eus avec son université, l’Evergreen State College, en 2017. Ce temple du mouvement woke n’avait en effet rien trouvé de mieux que d’imposer des mesures clairement discriminatoires envers les Blancs en guise d’antiracisme, ce qui n’a – logiquement – pas plu à Weinstein et lui a valu de nombreuses attaques de la part d’activistes “antiracistes” (notez les guillemets), attaques dont son université s’est bien gardée de le défendre.

Ce docteur en biologie de l’évolution a fini par démissionner de ce temple de l’ignorance, avec sa femme Heather Heying elle aussi biologiste, après un procès où ils ne parvinrent à obtenir que 500 000 dollars de dédommagement (somme faible, aux USA, pour deux professeurs d’université perdant leur poste, vu les salaires pratiqués).

Bret et Heather animent depuis le Dark Horse Podcast, sur YouTube puis sur Odysee, vu l’épidémie de censure qui touche la première plateforme pour tous les intellectuels véritables, ceux qui ne confondent pas les verbes savoir et répéter. Début juin 2021, Bret invitait dans son émission Robert Malone, l’inventeur de la technique de vaccination à ARN, et Steve Kirsch, ingénieur et entrepreneur auteur d’un article très remarqué sur les dangers des vaccins anti-COVID à ARN ou ADN.

L’entretien, de 3 heures et 17 minutes, intitulé modestement How to save the world in three easy steps, fait l’effet d’une bombe, et cumule 800 000 vues en une semaine… avant que YouTube ne le censure, bien évidemment. C’est que les trois intervenants sont difficilement critiquables, tout en annonçant une catastrophe sanitaire sans précédent – qui n’est pas l’épidémie covidienne maintes fois brandie telle une promesse d’apocalypse, mais bien la vaccination expérimentale et à grande échelle contre la maladie.

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Variations sur le VAERS

“Parfois, même si je me tiens au milieu de la pièce,
personne ne me remarque.”

Le VAERS, c’est le Vaccine Adverse Events Reporting System, l’organisme de pharmacovigilance consacré aux vaccins aux États-Unis. Sa base de données, modestement intitulée Wonder1, est consultable en ligne de façon relativement aisée, contrairement à celle de son homologue européen, Eudravigilance2 – pour les courageux, France Soir a détaillé en janvier 2021 le mode d’emploi de cette usine à gaz.

On vous l’a dit et répété, les vaccins anti-COVID, ayant battu tous les records de rapidité pour leur mise au point, et autorisés exceptionnellement en raison de l’urgence de la situation et de l’absence de traitements pour la COVID-19, sont sûrs et efficaces. Mais il est bien de confronter les annonces avec la réalité, or la campagne de vaccination massive débutée aux États-Unis fin 2020, qui aujourd’hui aboutit à 45 % de la population totalement vaccinée et 53 % ayant reçu au moins une dose, nous fournit des renseignements précieux du monde réel qu’aucune étude randomisée en double aveugle – a fortiori si elle est financée par les fabricants de vaccins – ne pourra jamais fournir.

Le VAERS ne nous apprend rien sur les effets positifs des vaccins, mais nous donne des indications sur leurs effets négatifs, légers ou graves, mort comprise. Certes, un effet indésirable signalé à la suite d’une vaccination ne signifie pas qu’il est dû à cette vaccination – corrélation temporelle n’est pas causalité – mais inversement, on sait par expérience que ces effets indésirables réellement imputables à une vaccination sont largement sous-déclarés, un problème que le VAERS lui-même signale. Par définition difficile à évaluer, cette sous-déclaration a par exemple été étudiée pour les chocs anaphylactiques et les syndromes de Guillain-Barré (donc des effets indésirables graves) suite à certains vaccins, et les auteurs de l’étude ont conclu qu’entre 13 et 76 % des anaphylaxies étaient déclarées, et entre 12 et 64 % des syndromes de Guillain-Barré, suivant les vaccins.

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