Pourquoi les médecins ont tant de mal à voir (et à signaler) les accidents vaccinaux ? (Xavier Bazin)

[Note de l’administrateur de ce blog : un article important pour comprendre pourquoi des évidences flagrantes ne sont pas encore reconnues par tous. Et pour contribuer à épargner des vies, des maladies handicapantes et des souffrances.]


Cher(e) ami(e) de la Santé,

Lors de ma visite à l’IHU de Marseille, le Pr Raoult m’a confié ceci :

« Je connais beaucoup de gens qui travaillent dans des EHPAD, ils me disent, le nombre d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) qu’on a vus chez les gens qui avaient été vaccinés…

…mais il y a des médecins qui les déclarent, d’autres qui ne les déclarent pas. »

Il y a donc des médecins qui voient et signalent un lien possible entre vaccin covid et AVC, et d’autres médecins qui ne voient rien ou ne signalent rien.

Mais si j’en crois certains de mes échanges à Marseille, les médecins qui « voient » les dégâts de ces vaccins sont de plus en plus nombreux.

Il faut dire que beaucoup de soignants ont observé de leurs yeux ce que les chiffres de la pharmacovigilance montrent depuis le premier jour : que les vaccins anti-covid sont les vaccins les plus dangereux qui ont jamais été mis sur le marché1.

Pour ceux qui ont les yeux à peu près ouverts, il est évident que ces vaccins causent des AVC, des arrêts cardiaques, des thromboses, des embolies pulmonaires et autres accidents cardiovasculaires.

Cela a d’ailleurs été prouvé, au-delà de tout soupçon possible, pour les vaccins AstraZeneca et Johnson & Johnson, dans une étude française officielle2.

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Effets indésirables des injections :
une catastrophe en marche (RéinfoCovid)

[Note de l’administrateur de ce blog : une plongée précise et documentée dans les entrailles des systèmes de pharmacovigilance vaccinale, et leurs embûches.

Ou comment l’argent public qui les finance a bien souvent du mal à servir les intérêts du public, particulièrement en France, qui a des leçons de transparence à prendre des États-Unis (pourtant loin d’être irréprochables). Mais heureusement, des citoyens bénévoles veillent.]


Variations sur le VAERS

“Parfois, même si je me tiens au milieu de la pièce,
personne ne me remarque.”

Le VAERS, c’est le Vaccine Adverse Events Reporting System, l’organisme de pharmacovigilance consacré aux vaccins aux États-Unis. Sa base de données, modestement intitulée Wonder1, est consultable en ligne de façon relativement aisée, contrairement à celle de son homologue européen, Eudravigilance2 – pour les courageux, France Soir a détaillé en janvier 2021 le mode d’emploi de cette usine à gaz.

On vous l’a dit et répété, les vaccins anti-COVID, ayant battu tous les records de rapidité pour leur mise au point, et autorisés exceptionnellement en raison de l’urgence de la situation et de l’absence de traitements pour la COVID-19, sont sûrs et efficaces. Mais il est bien de confronter les annonces avec la réalité, or la campagne de vaccination massive débutée aux États-Unis fin 2020, qui aujourd’hui aboutit à 45 % de la population totalement vaccinée et 53 % ayant reçu au moins une dose, nous fournit des renseignements précieux du monde réel qu’aucune étude randomisée en double aveugle – a fortiori si elle est financée par les fabricants de vaccins – ne pourra jamais fournir.

Le VAERS ne nous apprend rien sur les effets positifs des vaccins, mais nous donne des indications sur leurs effets négatifs, légers ou graves, mort comprise. Certes, un effet indésirable signalé à la suite d’une vaccination ne signifie pas qu’il est dû à cette vaccination – corrélation temporelle n’est pas causalité – mais inversement, on sait par expérience que ces effets indésirables réellement imputables à une vaccination sont largement sous-déclarés, un problème que le VAERS lui-même signale. Par définition difficile à évaluer, cette sous-déclaration a par exemple été étudiée pour les chocs anaphylactiques et les syndromes de Guillain-Barré (donc des effets indésirables graves) suite à certains vaccins, et les auteurs de l’étude ont conclu qu’entre 13 et 76 % des anaphylaxies étaient déclarées, et entre 12 et 64 % des syndromes de Guillain-Barré, suivant les vaccins.

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Combien de morts causées par les vaccins expérimentaux ? (Xavier Bazin)

[Note de l’administrateur de ce blog : Xavier Bazin est l’auteur du livre Big Pharma démasqué ! De la chloroquine aux vaccins, la face noire de notre système de santé, sorti le 21 avril dernier et actuellement meilleure vente dans la catégorie médecine sur amazon.

Ce qu’il décrit ici, comme ce que décrit le Dr Gérard Delépine dans un article mettant en lumière la corrélation entre vaccination anti-COVID et contamination ou décès de cette même maladie, est parfaitement objectif et vérifiable par tout un chacun, sur des ressources en ligne publiques (souvent en anglais).

En 1945 et 1946, beaucoup d’accusés au procès de Nuremberg se défendirent en prétendant qu’ils ne savaient pas et ne faisaient qu’obéir aux ordres. Bien qu’il n’existât pas d’internet à l’époque, cette défense fut bien souvent insuffisante.

Remarque : la date de parution indiquée sur l’article de Xavier Bazin (23 février) est manifestement fausse, preuve qu’il ne faut pas croire aveuglément tout ce qui est écrit et garder son esprit critique en éveil.]


Cher(e) ami(e) de la Santé,

Le 18 mars dernier, un jeune Français de 24 ans est mort à cause du vaccin AstraZeneca.

Il s’appelait Anthony, il était étudiant en médecine… et était en parfaite santé.

Quelques jours après s’être fait vacciner, il a développé une thrombose à l’estomac, et est décédé d’une grave hémorragie.

L’autopsie a confirmé que c’est bien le vaccin qui a causé sa mort 1.

C’est tragique, car il n’avait strictement aucun risque de mourir du coronavirus.

Et il n’est pas le seul dans ce cas.

Le 29 mars, une assistante sociale toulousaine de 38 ans est morte d’une thrombose, quelques jours après avoir été vaccinée par AstraZeneca.

Sa famille a porté plainte pour « homicide involontaire ». Le Pôle de santé du parquet de Paris a été saisi 2.

Combien y a-t-il de cas comme ceux-là ?

On ne sait pas.

Mais ces deux cas ne sont que la partie émergée de l’iceberg.

Car il ne faut pas croire que le vaccin AstraZeneca est le seul vaccin en cause.

On a toutes les raisons de penser que Pfizer et Moderna causent autant de morts, car ce sont des vaccins basés sur la protéine S, comme AstraZeneca – et cette protéine cause des dégâts sanguins et cardiaques à elle-seule 3 4.

Ainsi, une étude a trouvé autant de thromboses suite à AstraZeneca que suite aux vaccins Pfizer/Moderna 5.

Récemment, les Israéliens ont détecté un lien entre le vaccin Pfizer et les myocardites, l’inflammation du cœur, chez les moins de 30 ans 6.

Donc, ces vaccins peuvent causer des morts, liées à des dégâts cardiaques.

Le problème est que les autorités font TOUT pour ne pas les détecter.

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