Cachez cette surmortalité que je ne saurais voir
(Décoder l’éco)

[Note de l’administrateur de ce blog : l’excellent statisticien Pierre Lécot vient de publier hier 18 novembre une vidéo constituant une démonstration implacable de la volonté de nos autorités de santé de dissimuler les conséquences désastreuses de leurs actes.

Afin de bien en saisir le sens, je vous propose ici de visionner également en préambule la précédente, consacrée à l’augmentation “inexpliquée” de la mortalité toutes causes en France – en particulier chez les jeunes – mais aussi en Europe et plus généralement dans d’autres pays ayant bénéficié d’une campagne massive de “vaccination” anti-Covid avec des produits “sûrs et efficaces”.

J’ai par conséquent regroupé ces deux vidéos sous un titre commun qui n’est pas de lui mais de moi.]


Analyse et explications sur l’extraordinaire mortalité aux États-Unis depuis 2020 (Science en conscience)

[Note de l’administrateur de ce blog : comme je l’ai souvent souligné ici, l’analyse de la mortalité toutes causes est la seule façon de savoir quelle est la réelle gravité d’une pandémie, car elle permet de s’affranchir de toutes les erreurs de classification – voire de certaines fraudes – et elles sont nombreuses avec le Covid.

Jérémie Mercier, Marine Baudin et Denis Rancourt nous présentent ici le résultat de leurs recherches à partir des données de mortalité très officielles des États-Unis, et confirment ce que d’autres – comme Robert Kennedy Jr. – dénoncent : le Covid est avant tout, dans les faits, une guerre déclenchée contre les personnes vulnérables (à cause de l’âge, de l’état de santé ou de la situation sociale).

Les courageux – ou ceux qui veulent pouvoir consulter tranquillement tous les graphiques – pourront lire le détail de leur travail, en anglais, ici. Un résumé en français est également disponible en téléchargement sur le site de Jérémie Mercier. Et les très courageux pourront consulter l’intégralité de la production du professeur Rancourt relative au Covid sur cette page de son site internet.

Il existe une version en anglais de cet exposé, diffusé par les mêmes intervenants peu avant la version française, que l’on peut encore visionner – pour l’instant – sur YouTube. La version française a elle été retirée volontairement par Jérémie Mercier de cette plateforme peu après la diffusion en direct, vraisemblablement afin d’éviter à sa chaîne YouTube – qui est aussi un instrument de travail pour lui – des sanctions.]


Prof. Norman Fenton : Les dernières données sur l’efficacité et la sécurité des vaccins au Royaume-Uni

[Note de l’administrateur de ce blog : on le sait depuis longtemps, les statistiques du COVID-19 sont l’objet de multiples manipulations. On a commencé – avant les vaccins – à gonfler énormément le nombre de “décès COVID” en incluant dans la catégorie beaucoup de simples “tests PCR positifs” morts de toute autre chose, et en “oubliant” les avertissements de l’inventeur de la méthode PCR sur les risques de sa mauvaise utilisation.

Maintenant que des vaccins sont disponibles, pour ne pas dire obligatoires, on cherche à en enjoliver les performances et à en minimiser les risques. Il faut donc être très vigilant sur des illusions statistiques qui peuvent être très subtiles, surtout lorsque les populations de vaccinés et non-vaccinés varient rapidement dans le temps, comme l’explique ici le professeur Norman Fenton de la Queen Mary University à Londres.

C’est en évitant au maximum les catégories discutables et manipulables (comme “décès COVID” et “décès hors COVID”, ou même “vacciné” et “non-vacciné”, sachant qu’un vacciné peut être classé “non-vacciné” juste après l’injection) que la vérité finira par éclater. Et elle n’est pas forcément belle à voir.

Les principales planches de la présentation du professeur Fenton sont disponibles ici (en français !). Un grand merci à l’auteur de cette traduction.]


Le dessous des chiffres du Ministère de la Santé
(Décoder l’éco)

[Note de l’administrateur de ce blog : une mise au point nécessaire et un démontage en règle supplémentaire de l’imposture des “fact-checkers”.]


Efficacité de la vaccination :
Il manque plus de la moitié des décès ! (Décoder l’éco)

[Note de l’administrateur de ce blog : clair, net et précis. “Garbage in, garbage out”, comme disent les Yankees.

Il y en a encore pour croire sur parole des menteurs compulsifs multi-récidivistes ? Faudrait peut-être se réveiller un peu, au lieu de se fracasser toujours sur le même obstacle telle la mouche sur la vitre.]


La vérité si je mens !

Je le faisais remarquer très récemment, ce n’est pas parce qu’on vous ment en permanence qu’il faut croire systématiquement le contraire de tout ce qu’on vous dit. C’est bien sûr humain et compréhensible ; il y a même un proverbe pour cela : “chat échaudé craint l’eau froide”. Mais même les menteurs les plus compulsifs arrivent à dire des vérités… et surtout, les plus malins arrivent à tromper sans mentir au sens strict, généralement par omission, car ils sont suffisamment intelligents pour se préserver par tous les moyens des poursuites pénales que certains pourraient leur intenter s’ils mentaient de façon trop directe (il existe quand même des lois pour cela).

Le cas de l’efficacité des “vaccins” anti-COVID – dont je rappelais la définition dans cet article – est assez instructif sur cette façon de mentir tout en disant la vérité. Certains contestent en bloc qu’ils aient une quelconque efficacité, ou prétendent que les chiffres avancés par leurs fabricants sont grossièrement enjolivés ; certes, il est naïf de croire sur parole un dépliant publicitaire quel qu’il soit, et il est parfaitement légitime de se méfier de publications scientifiques sur un produit pharmaceutique qui sont financées par le fabricant même de ce produit.

Mais il faut aussi garder à l’esprit que ces grandes entreprises pharmaceutiques, si elles ont les moyens de corruption gigantesques qu’on leur connaît, ont aussi les moyens d’avoir des services juridiques de haut niveau capables d’orienter finement la communication de l’entreprise afin que les inévitables pertes pour l’entreprise que représentent les procès perdus restent à un niveau minimum – même si ce niveau paraît astronomique pour le commun des mortels, alors qu’il est juste à la mesure des profits bien plus astronomiques encaissés.

Il est donc assez vain de contester toute valeur aux chiffres d’efficacité annoncés, comme s’il s’agissait d’une simple et brutale fraude scientifique intéressée (ça existe, mais ce n’est pas systématique) ; il est plus intelligent, soit de privilégier les chiffres “de la vraie vie” par rapport à ceux des études (on l’a fait, et on le refera, à partir des données anglaises), soit de se poser la question de la signification réelle de chiffres qui, en eux-mêmes, peuvent être justes, tout en induisant totalement en erreur le public visé.

Continuer la lecture

Vaccins, ensembles et probabilités

Cet article est dédié à Gilbert Deray, qui a affirmé dans un tweet que je ne savais pas lire le rapport cité dans mon article du 21 juin.

Quand j’avais 5 ans, au cours préparatoire, mon institutrice nous enseignait les “mathématiques modernes” sur le sol en linoléum de notre salle de classe en préfabriqué en traçant à la craie des ensembles dans lesquels nous devions placer des objets en fonction de leur forme et de leur couleur. Nous y apprenions alors les notions de réunion et d’intersection : l’ensemble des carrés verts était l’intersection de l’ensemble des carrés et de celui des objets verts, mais l’ensemble des carrés était la réunion des ensembles de carrés rouges, de carrés verts et de carrés bleus (de mémoire, il n’y avait que 3 couleurs ; s’il y en avait aussi des jaunes il fallait évidemment les ajouter).

En dehors de considérations futiles du genre “j’ai envie de sortir en boîte” ou “j’ai envie de prendre l’avion pour les vacances”, les questions que chacun devrait se poser pour savoir s’il a intérêt ou non à se faire vacciner contre la COVID-19 sont :

  1. Le vaccin est-il sûr ?
  2. Le vaccin est-il efficace ?

Pour la question 1, nous avons déjà vu à la lumière des données du VAERS que rien n’est moins certain, particulièrement si l’on prend en compte l’absence de recul temporel sur les effets secondaires.

La question 2 mérite d’être précisée : s’agit-il d’éviter une infection (ou de minimiser la probabilité d’être infecté), même sous ses formes légères voire absolument impossibles à détecter sans moyens biochimiques (les fameux “cas asymptomatiques”), ou seulement d’éviter les formes graves de cette infection, et surtout bien évidemment, celles conduisant au décès ?

Vu la réponse expérimentale apportée à la question 1, il semble naturel de plutôt mettre l’accent sur les formes graves et les décès, car il paraît bien risqué de vouloir éviter quelques désagréments passagers au prix d’un remède préventif qui pourrait être pire que le mal.

Or, quand on juge de l’utilité d’une vaccination, on se pose implicitement, même si on est allergique aux mathématiques, une question de probabilité conditionnelle : on se demande si l’on a vraiment moins de (mal)chance de tomber gravement malade ou de décéder sachant qu’on est vacciné, par rapport à la même question, sachant qu’on n’est pas vacciné. Et il est souvent utile, pour résoudre ce genre de problème, de se représenter les différents cas possibles sous formes d’ensembles, comportant pour certains des parties communes (des intersections non vides).

Continuer la lecture

100 000 morts, vraiment ? (Décoder l’éco)

[Note de l’administrateur de ce blog : tout est dit, et bien dit… surtout la dernière phrase.

Les données brutes ne trompent pas, contrairement à celles qui font l’objet d’un classement préalable (subjectif, donc susceptible de manipulation), et les responsables de cette tromperie doublée d’un vrai désastre devront, tôt ou tard, payer. Très cher.]


Une jeune informaticienne ridiculise la triche
de la Maison Blanche

Il y a encore des gens qui croient que le tandem Biden/Harris a gagné à la régulière l’élection présidentielle américaine. Si si, ne riez pas. Et qui croient même qu’ils l’ont fait grâce à leurs idées “progressistes” face au vieux macho réac raciste et populiste qu’est Trump, soutenu par des néo-nazis (même si c’est Biden qui a un lourd passé de citations racistes derrière lui et si c’est encore Biden qui a trempé avec son fils junkie Hunter dans le coup d’État néo-nazi de 2014 en Ukraine).

Ce sont les mêmes qui soutiendront encore que les réunions de campagne désertes de Biden prouvaient juste le caractère responsable de ses électeurs en pleine pandémie covidienne, tandis que la foule rassemblée par Trump à chacun de ses déplacements était le signe du fanatisme de ces extrémistes incapables de s’incliner devant la Science1 et ses grand-prêtres, ayant déclaré la nécessité des règles de distanciation sociale.

Pourtant, de plus en plus de monde voit bien que quelque chose ne tourne pas rond à la présidence des USA, ne serait-ce qu’en raison du nombre d’avis négatifs recueillis par chaque vidéo publiée sur la chaîne YouTube de la Maison Blanche, toujours largement supérieur au nombre d’avis positifs. Étonnant pour un président triomphalement élu ayant pulvérisé les records de voix !

Oui mais… c’est en réalité bien pire que cela.

Des internautes attentifs ont remarqué que les comptages des votes négatifs avaient tendance à redescendre régulièrement ; il est certes possible pour tout un chacun de changer un vote initialement négatif en vote positif, mais le caractère systématique de ces “purges” d’avis défavorables avait, à l’œil nu, un aspect éminemment suspect. C’est alors qu’une jeune informaticienne, Zoe Phin, décida d’écrire un petit programme pour collecter automatiquement les statistiques de toutes les vidéos publiées par la Maison Blanche (nombre de vues, “likes” et “dislikes”) au cours du temps, toutes les 80 secondes pendant 24h.

Le résultat est sans appel et, présenté sous forme de graphiques, assez hilarant. Que des gens puissent être confortablement payés pour faire ce genre de triche digne d’un cancre d’école primaire, et qu’ils puissent le faire en espérant que cela ne se verra pas, en dit long sur la “qualité” du personnel politique en question.

Je vous propose ci-dessous la traduction de son article, qui à la rigueur pourrait s’en passer (c’est très visuel) mais j’ai pitié pour les allergiques à l’anglais.

Continuer la lecture

Raison garder

Cet article aurait fort bien pu s’intituler “la froideur des chiffres”. L’époque étant aux manipulations émotionnelles, j’ai pensé qu’il était de salubrité publique de présenter sous une forme graphique et aussi lisible que possible quelques données incontestables, à produire à tous les covidistes plus ou moins modérés qui sont prêts à appeler la police (ou à la faire eux-mêmes) dès qu’ils voient l’amorce d’une narine émerger d’un masque. À tous ceux qui arrêtent de vivre à force d’avoir peur de mourir. Et bien sûr, à nos gouvernants qui prennent pour notre bien des mesures qui font passer la Corée du Nord pour le pays de la douceur de vivre.

Les données, c’est bien mais ça se manipule, ça s’interprète en fonction du message que l’on veut faire passer. On l’a vu avec les chiffres des morts “de” la COVID-19, bien plus souvent des morts “avec” la COVID-19, puisque même l’administration américaine des Centers for Disease Control reconnaît très officiellement que pour seulement 6% des morts “classifiés COVID-19” aucune autre cause n’était indiquée. Cela fait quand même 94% des morts estampillés COVID-19 aux USA qui avaient d’autres raisons de mourir.

Grâce aux efforts pédagogiques de médecins et chercheurs intègres, tout le monde a également compris aujourd’hui que l’envolée “exponentielle” de l’épidémie depuis la fin de l’été n’était qu’une envolée de “cas positifs”, pas de malades, et que parmi ces cas beaucoup n’ont absolument aucune signification clinique, les tests étant à la fois imparfaitement spécifiques (il leur arrive de réagir à autre chose que ce à quoi ils devraient) et trop sensibles (poussée au maximum, la technique est capable de détecter des traces ne présentant plus aucun danger).

Oui, mais quand même, meugleront les covidés, on a connu une hécatombe en mars et avril, et il ne faudrait pas que ça recommence par la faute de dangereux laxistes prêts à sacrifier leur prochain pour le plaisir éphémère d’aller mater des matchs de foot entre potes au bar en éclusant des bières. Ah bon, une hécatombe d’ampleur inconnue en temps de paix, en êtes-vous sûrs ? La France n’a donc jamais connu de pareille crise sanitaire dans son histoire récente (depuis la deuxième guerre mondiale, pour faire simple) ? Vérifions-le, pour voir.

Continuer la lecture

1 2