Débat – Manifestation contre le pass sanitaire :
« une mobilisation à contre-temps » ? (RT France)

[Note de l’administrateur de ce blog : voici une confrontation intéressante entre celui qui devra éternellement expliquer pourquoi il ne mange pas son chapeau et un jeune citoyen éveillé qui par contraste paraît étonnamment “normal”.

On appréciera la hauteur des arguments scientifiques de Laurent Alexandre pour nous convaincre qu’il n’existe pas de traitements médicamenteux contre la COVID-19 (même s’ils sont couronnés de succès partout où ils sont correctement appliqués, comme en Inde, si une association américaine de médecins publie et traduit en différentes langues plusieurs protocoles, ou si l’Association médicale métropolitaine de Tokyo a officiellement pris position en faveur de l’ivermectine) : “Les études dont vous parlez sont toutes des études pourries” (chacun pourra vérifier les sources à partir de cette page) ou encore “Il faudrait vraiment un complot gigantesque pour que tous les médecins du monde aient décidé de sacrifier leurs malades en ne leur prescrivant pas ces molécules”.

Les médecins sont-ils vraiment libres de prescrire, M. Alexandre ? Et de refuser une vaccination expérimentale ? Auriez-vous raté un épisode ? Mais patience, docteur, ce complot – déjà bien éventé par qui sait lire Klaus Schwab, par exemple – va bientôt être dévoilé de façon définitive par quelques infiltrés !

On notera également que Laurent Alexandre, croyant clouer le bec à son contradicteur à la fin de l’entrevue – en évitant soigneusement de faire la différence entre les pays africains traitant à l’ivermectine et les autres – admet en réalité que la vaccination est totalement inutile pour la population jeune ! Pourquoi s’entêter, cher docteur ? La peur que le chapeau reste en travers ?]


Scoop : Olivier Véran pense que l’ivermectine
peut avoir un effet (Dr Gérard Maudrux)

[Note de l’administrateur de ce blog : c’est aujourd’hui la journée mondiale de l’ivermectine, et peut-être le début d’une révolution…

On peut mentir à une personne tout le temps, à tout le monde occasionnellement, mais pas à tout le monde indéfiniment.

La “plandémie” est de plus en plus visible, d’où la panique qui s’empare de certains. Rien ne les sauvera.]


Olivier Véran pense que l’ivermectine a une présomption d’efficacité, mais il ne peut le dire. En tous cas, il ne veut pas dire le contraire.

En mai 2021, 1500 médecins ont fait un recours gracieux auprès du ministre de la Santé, conformément à l’article L.5322-2 du Code de la Santé Publique, pour faire réétudier la décision de l’ANSM, concernant le refus d’une RTU pour l’ivermectine.

Dans ce recours, une question simple et directe était posée au ministre, mais aussi au médecin, interpellé par ses confrères :

« En votre âme et conscience, pensez-vous honnêtement et sincèrement qu’il n’y a aucune présomption d’efficacité comme le prétend l’ANSM ?  Nous souhaitons une réponse claire à cette question. »

Le Ministre a « botté en touche », ce qui est clairement un aveu : il a refusé d’écrire au-dessus de sa signature qu’il n’y avait pas de présomption d’efficacité de l’ivermectine. S’il le pensait, il lui aurait été très facile de nous envoyer promener, s’appuyant sur les conclusions de ses services, ce qu’il n’a pas fait. Face à l’évidence des faits, il ne pouvait le faire. En ne reprenant pas à son compte ce refus, ses motifs, c’est aussi quelque part clairement un désaveu de la position de l’ANSM, que nous critiquons et qu’il n’a pas repris.

En effet, Monsieur le ministre a fui la question, demandant au Pr Salomon, non destinataire du recours, de répondre à sa place. Olivier Véran ne répond même pas sur le fond, mais sort une énormité : « pas de lien hiérarchique entre le Ministre des Solidarités et de la Santé, et l’ANSM » !!! Cet organisme ne dépendrait donc d’aucun ministère ? Et pourtant, le contrôle de la gestion de l’ANSM relève bien (et en toute logique) de ce ministère, comme on peut le lire ici, page 6 second paragraphe, signé du prédécesseur de Monsieur Véran : « Placée sous tutelle du ministre en charge de la Santé, l’ANSM est financée par une subvention pour charge de service public… ». Messieurs Véran et Salomon ne seraient pas au courant ?

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La vérité si je mens !

Je le faisais remarquer très récemment, ce n’est pas parce qu’on vous ment en permanence qu’il faut croire systématiquement le contraire de tout ce qu’on vous dit. C’est bien sûr humain et compréhensible ; il y a même un proverbe pour cela : “chat échaudé craint l’eau froide”. Mais même les menteurs les plus compulsifs arrivent à dire des vérités… et surtout, les plus malins arrivent à tromper sans mentir au sens strict, généralement par omission, car ils sont suffisamment intelligents pour se préserver par tous les moyens des poursuites pénales que certains pourraient leur intenter s’ils mentaient de façon trop directe (il existe quand même des lois pour cela).

Le cas de l’efficacité des “vaccins” anti-COVID – dont je rappelais la définition dans cet article – est assez instructif sur cette façon de mentir tout en disant la vérité. Certains contestent en bloc qu’ils aient une quelconque efficacité, ou prétendent que les chiffres avancés par leurs fabricants sont grossièrement enjolivés ; certes, il est naïf de croire sur parole un dépliant publicitaire quel qu’il soit, et il est parfaitement légitime de se méfier de publications scientifiques sur un produit pharmaceutique qui sont financées par le fabricant même de ce produit.

Mais il faut aussi garder à l’esprit que ces grandes entreprises pharmaceutiques, si elles ont les moyens de corruption gigantesques qu’on leur connaît, ont aussi les moyens d’avoir des services juridiques de haut niveau capables d’orienter finement la communication de l’entreprise afin que les inévitables pertes pour l’entreprise que représentent les procès perdus restent à un niveau minimum – même si ce niveau paraît astronomique pour le commun des mortels, alors qu’il est juste à la mesure des profits bien plus astronomiques encaissés.

Il est donc assez vain de contester toute valeur aux chiffres d’efficacité annoncés, comme s’il s’agissait d’une simple et brutale fraude scientifique intéressée (ça existe, mais ce n’est pas systématique) ; il est plus intelligent, soit de privilégier les chiffres “de la vraie vie” par rapport à ceux des études (on l’a fait, et on le refera, à partir des données anglaises), soit de se poser la question de la signification réelle de chiffres qui, en eux-mêmes, peuvent être justes, tout en induisant totalement en erreur le public visé.

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Focus n°4 avec le Dr Gérard Guillaume :
On a tout faux depuis le début ! (HOLD-UP Média)

[Note de l’administrateur de ce blog : la limpidité des raisons (à partir de 6:15) pour lesquelles il est impossible à certains d’admettre qu’il existe des traitements contre la COVID-19 est telle, qu’on se demande pourquoi il reste encore des gens pour ne pas les voir.]


Inde : Covid et Ivermectine, suite (Dr Gérard Maudrux)

[Note de l’administrateur de ce blog : le cas de l’Inde est un cas d’école à plus d’un titre. Comme le remarque le Dr Gérard Maudrux, il y a un mois tous les media de grand chemin se ruaient sur l’Inde afin d’alimenter la psychose covidienne et de maintenir le troupeau dans la peur. Cette précipitation était bien imprudente pour eux :

– si les chiffres absolus de contaminations et de morts pouvaient être impressionnants, c’était sans les ramener à la population gigantesque de l’Inde – qui de plus souffre de bien d’autres problèmes sanitaires plus graves – et quiconque sait comparer ce qui est comparable pouvait voir que la situation de l’Inde restait globalement bien meilleure que celle de pays “riches et avancés” ;

– la concomitance de cette hausse rapide de contaminations début avril avec l’essor d’une campagne de vaccination (restant encore très partielle, puisque n’atteignant pas aujourd’hui 12% de la population) devrait conduire les esprits curieux à se poser des questions ;

– enfin et surtout, tout comme les États “rebelles” (et généralement républicains) des USA ont démontré la totale inefficacité des mesures liberticides de confinement, de fermeture des commerces et de port du masque généralisé en décidant de les supprimer et en s’en portant très bien, les États indiens décidant de traiter les patients par l’ivermectine ont vu leur épidémie s’éteindre brutalement, alors que les autres voyaient la courbe continuer à augmenter de plus belle…

Les media de grand chemin croyaient nous faire peur, ils démontrent en réalité avec éclat leur malhonnêteté – pour ne pas dire criminalité – ainsi que celle de nos gouvernants, et le caractère manifestement organisé de la terreur covidienne. Chacun peut le vérifier par soi-même en consultant chiffres et courbes à sa guise, sans se départir bien sûr de son esprit critique, en privilégiant par exemple les chiffres bruts de mortalité à ceux étiquetés “COVID”, susceptibles de manipulation.]


Il y a un mois la totalité de nos « spécialistes Covid » et de la presse se ruaient sur l’Inde, comme les mouches sur le vinaigre. J’avais de suite pris le contrepied le 27 avril dans un billet, pour expliquer que d’une part leur situation épidémiologique (je ne parle pas de leur situation sanitaire, mauvaise, c’est un autre problème) n’était pas pire que la nôtre, au contraire, et d’autre part je disais qu’il fallait attendre un peu pour voir le résultat de l’utilisation de l’Ivermectine à grande échelle, face à une vague puissante, dont on disait en France (comme ici) que le pic ne serait pas atteint avant plusieurs semaines alors qu’il était déjà passé !

Qui avait raison ? Les alarmistes ? Les défenseurs de l’Ivermectine ? Le résultat est là, éclatant, indiscutable. Pourtant pas un mot dans la presse, pas un mot de nos spécialistes. Personne ne se demande comment les indiens, avec moins de moyens, ont fait dix fois mieux que nous. Personne ne cherche à savoir pour les copier ou s’en inspirer.

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Big Pharma est en train d’enterrer méthodiquement la très efficace ivermectine (Santé Corps Esprit)

[Note de l’administrateur de ce blog : cet article sera utile à ceux qui n’auraient pas encore compris que la France est dirigée par une oligarchie corrompue et criminelle… Voir aussi cet exposé du 2 mars à l’IHU Méditerranée-Infection par le Pr Philippe Brouqui.

2020 aura été l’année où furent traités de “complotistes” tous ceux qui refusaient de croire les mensonges officiels ; 2021 sera l’année où tout le monde prendra conscience de ces gigantesques complots et où les institutions de toute nature – agences de santé en premier – perdront tout crédit auprès du grand public. Il faut en passer par là pour que l’humanité accède à un niveau de conscience supérieure, mais, hélas, au prix d’un grand nombre de victimes.]


Cher(e) ami(e) de la Santé,

Si vous pensez encore qu’il n’y a pas de « complot » sur les traitements contre la Covid-19, lisez bien ce qui suit.

Il y a quelques jours, Emmanuel Macron a fait autoriser la prescription d’un médicament « innovant » à plus de 1 000 euros le traitement.

Ce médicament, appelé bamlanivimab, est très controversé :

  • Il n’a même pas passé la phase 2 des expérimentations (normalement un médicament doit avoir passé la phase 3 pour être autorisé) ;
  • Les tests préliminaires ne montrent pas d’efficacité probante… et on sait déjà que ce médicament sera inefficace contre les nouveaux variants ;
  • Il doit être prescrit à l’hôpital, donc bien après le début des symptômes, alors qu’il n’a de chances d’être efficace qu’au début de l’infection ;
  • Et pour couronner le tout, c’est le genre de médicament qui favorise l’apparition de nouveaux variants[1].

Bref, il n’y a vraiment aucune bonne raison d’accorder une « autorisation temporaire d’utilisation » à ce médicament.

Mais c’est pourtant ce que vient de faire l’Agence du Médicament.

« Une autorisation temporaire d’utilisation délivrée sur un niveau de preuve aussi faible, c’est probablement du jamais-vu »[2], a déclaré le Pr Mathieu Molimard, chef de service de pharmacologie clinique au CHU de Bordeaux.

Alors pourquoi avoir fait une chose pareille ?

Pour une seule raison : il y a derrière ce médicament un Big Pharma au lobbying puissant, le laboratoire Eli Lilly.

Les grands laboratoires comme Eli Lilly ont des relais chez les « grands pontes » de la médecine, les politiques et les hauts fonctionnaires bien placés.

Généralement, on ne sait pas trop qui a corrompu qui, qui a influencé qui.

Mais ici, on en a appris de belles !

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Ne serions-nous pas des cobayes ? l’ANSM donne son feu vert pour le Bamlanivimab dans le COVID
(IHU Méditerranée-Infection)

[Note de l’administrateur de ce blog : pour ceux qui n’auraient pas encore compris que ceux qui proposent des solutions sont en réalité le problème.

Et en bonus, une courte vidéo (4 min) de Nicolas Dupont-Aignan sur le scandale.]