[Note de l’administrateur de ce blog : cet article sera utile à ceux qui n’auraient pas encore compris que la France est dirigée par une oligarchie corrompue et criminelle… Voir aussi cet exposé du 2 mars à l’IHU Méditerranée-Infection par le Pr Philippe Brouqui.
2020 aura été l’année où furent traités de “complotistes” tous ceux qui refusaient de croire les mensonges officiels ; 2021 sera l’année où tout le monde prendra conscience de ces gigantesques complots et où les institutions de toute nature – agences de santé en premier – perdront tout crédit auprès du grand public. Il faut en passer par là pour que l’humanité accède à un niveau de conscience supérieure, mais, hélas, au prix d’un grand nombre de victimes.]
Cher(e) ami(e) de la Santé,
Si vous pensez encore qu’il n’y a pas de « complot » sur les traitements contre la Covid-19, lisez bien ce qui suit.
Il y a quelques jours, Emmanuel Macron a fait autoriser la prescription d’un médicament « innovant » à plus de 1 000 euros le traitement.
Ce médicament, appelé bamlanivimab, est très controversé :
- Il n’a même pas passé la phase 2 des expérimentations (normalement un médicament doit avoir passé la phase 3 pour être autorisé) ;
- Les tests préliminaires ne montrent pas d’efficacité probante… et on sait déjà que ce médicament sera inefficace contre les nouveaux variants ;
- Il doit être prescrit à l’hôpital, donc bien après le début des symptômes, alors qu’il n’a de chances d’être efficace qu’au début de l’infection ;
- Et pour couronner le tout, c’est le genre de médicament qui favorise l’apparition de nouveaux variants[1].
Bref, il n’y a vraiment aucune bonne raison d’accorder une « autorisation temporaire d’utilisation » à ce médicament.
Mais c’est pourtant ce que vient de faire l’Agence du Médicament.
« Une autorisation temporaire d’utilisation délivrée sur un niveau de preuve aussi faible, c’est probablement du jamais-vu »[2], a déclaré le Pr Mathieu Molimard, chef de service de pharmacologie clinique au CHU de Bordeaux.
Alors pourquoi avoir fait une chose pareille ?
Pour une seule raison : il y a derrière ce médicament un Big Pharma au lobbying puissant, le laboratoire Eli Lilly.
Les grands laboratoires comme Eli Lilly ont des relais chez les « grands pontes » de la médecine, les politiques et les hauts fonctionnaires bien placés.
Généralement, on ne sait pas trop qui a corrompu qui, qui a influencé qui.
Mais ici, on en a appris de belles !