[Note de l’administrateur de ce blog : Mathieu Fontenelle est un sportif de haut niveau, marathonien et davantage (ici sa page facebook). Il a relaté hier sur twitter le calvaire qu’il subit depuis sa “vaccination anti-COVID” (deuxième dose Pfizer), et l’aveuglement ou la mauvaise foi de certains médecins lorsqu’il s’agit de faire le lien entre ses problèmes de santé et la vaccination. Je reproduis ci-dessous l’ensemble du témoignage qu’il a rapporté dans une série de 16 tweets.
On pourra également consulter l’histoire similaire d’un coach sportif de 26 ans, ayant déjà attrapé le Covid en mars 2020 et ayant gardé beaucoup d’anticorps, mais “obligé” (pour raisons économiques) de se faire vacciner.
Et pendant ce temps, les media aux abois continuent avec leurs histoires de non-vaccinés qui tuent par inconscience des vaccinés…]
Aujourd’hui j’aimerais juste vous faire un retour d’expérience sur les effets secondaires du vaccin et les conséquences rares que cela peut entraîner. Après 2 nuits à l’hôpital, je ne sais pas quand je retrouverai la forme d’avant.
Avant tout, je tiens à préciser que je ne suis pas contre le vaccin et on a bien pu en voir les bénéfices dans notre société.
Contexte : lundi 18 octobre 8:30, je fais cette seconde dose Pfizer. Pour info, je suis runner depuis déjà quelques années, je m’entraîne 8-10h par semaine, mange sainement donc plutôt en bonne forme.
Lundi j’enchaîne une journée normale de travail, un petit tour à vélo le soir très léger et je rentre me reposer. Vers 21h les premiers symptômes débutent avec de la fatigue, courbatures et surtout un essoufflement très suspect.
Mardi 19 : nuit cauchemardesque et ceux qui ont subi la seconde dose peuvent deviner. Frissons, montées de chaleur, douleurs dans tout le corps, mal de tête, diarrhée et ce souffle court. La journée est longue, je fonds en larmes rien qu’en faisant un A/R dans la cuisine.
La douleur est dans tout le corps, je tourne de l’œil à chaque effort. Jusque là je me dis que c’est les effets secondaires annoncés. Doliprane pris, je souffre sévère mais je dois l’accepter. Je suis incapable de vous dire la dernière fois où j’ai été si mal en point…
J’écris à mes proches, après plusieurs conseils, c’est vers 21h que je décide d’appeler les urgences et faire part de mon cas. Dommage, j’ai manqué le doublé de Messi. L’ambulance arrive 1h plus tard, j’ai une pression, gêne sur le cœur depuis 2h environ, le souffle court.
Je passe l’étape d’entrée aux urgences, test PCR obligatoire et longue attente because process. Franchement je commence à avoir peur, mais vraiment du pire. J’attends plusieurs heures et les premiers résultats tombent : TOUT en ordre à part 2 taux sur la prise de sang : RAS
Radio poumon ok Électrocardiogramme ok Taux d’oxygénation parfait Alors expliquez moi pourquoi j’ai le souffle si court ? Le moindre effort est compliqué. Je passe la nuit en observation à cause des gênes au cœur. Prendre un repas est comme courir un 400m en sprint…
Mercredi matin, nouvelle prise de sang. J’ai attendu 6 ou 7h le cardiologue qui me diagnostique finalement une péricardite : inflammation de la membrane du cœur. Un des effets secondaires très rare du vaccin. La suite ?
Je débute hier soir un traitement à base d’aspirine pour une durée indéterminée. Cette « complication » peut se résorber en quelques jours, semaines. Actuellement, encore à l’hôpital, j’attends de sortir et me reposer à la maison.
Le personnel a été au petit soin même avec le manque de moyens dont ils parlent à longueur de journée (et oui la triste réalité du terrain @gouvernementFR). Encore merci. Aujourd’hui je suis en colère évidement, c’est dur à encaisser moralement.
Passer d’un semi marathon en pleine forme le dimanche, à être incapable de manger un repas sans être essoufflé c’est dur, très dur mentalement. Je ne sais pas quand tout reviendra à la normale. Je ne viens pas pour la pitié mais clairement je n’étais pas prêt à tout ça.
J’aurais aimé plus de transparence, les médecins eux mêmes découvrent chaque jour les effets secondaires. Comme le dit l’infirmière « vous me faites vraiment de la peine à voir, à votre âge ». Quelle est donc la suite à tout ça ? @ARSPaca ?
Je ne veux pas rentrer dans un débat politique sur « l’obligation » et la contrainte vaccinale. Je suis jeune, j’étais en forme et dans 10 jours, j’irai sans doute mieux. Mais @olivierveran qui prend en charge ses complications ? Quels sont nos droits ?
Étant auto entrepreneur je perds actuellement mes revenus à ne pas travailler. Si vous connaissez des associations pour « m’aider » dans cet après merci d’avance. @gouvernementFR ? @NiceMatinEco ? Je ne veux pas attiser la haine, je le répète, je veux juste prévenir.
Ce n’est pas la première fois qu’un sportif de haut niveau fait part de ses problèmes de santé suite à l’injection anti-covid. Peut-être ont-ils tout simplement plus de visibilité.
Mais, ce pourrait-il que les sportifs de haut niveau imposent trop de contraintes à leur corps? Ils sont en forme mais peut-être pas en si bonne santé. Ils vivent dans l’excès, pas l’équilibre, et je soupçonne que cela peut amener des prédispositions qui ont des effets négatifs sur l’organisme. De plus, certains athlètes peuvent prendre des produits dopants dommageables, ce qui pourrait les rendre plus sensibles aux effets indésirables des vaccins. Voilà, c’est juste mon grain de sel.
Parmi les sportifs de haut niveau, il y a :
– ceux qui constatent une baisse de performances, mais ne se sentent pas malades pour autant ; mais étant très pointus sur leur niveau de performances ils peuvent plus facilement détecter un changement qu’une personne ordinaire
– ceux pour qui ça tourne vraiment mal, et c’est clairement le cas ici. Il y a eu aussi le cas d’une équipe de cyclisme belge décimée par des malaises cardiaques à l’entraînement ; il est vrai que les cyclistes sont particulièrement exigeants pour leur cœur mais c’est néanmoins parfaitement anormal d’avoir des épidémies de ce genre chez des jeunes gens en parfaite santé.
C’est une lapalissade de dire que les sportifs de haut niveau imposent à leur corps des contraintes supérieures à la moyenne ; cependant, sauf exception (essentiellement due au surmenage physique) ils sont en parfaite santé car sinon ils seraient incapables de donner le meilleur de leurs performances.
Il y a évidemment le cas particulier des dopés, que je mettrai à part ; là on est dans une autre catégorie et il est clair que la santé en prend un coup. J’avais d’ailleurs fait un article sur un “décès COVID” médiatisé, d’une personne jeune et en “apparente bonne santé” mais qui avait de grandes chances d’être un utilisateur de produits “améliorants”, puisque son activité consistait surtout à faire admirer ses beaux muscles… dans ce genre de milieu il est clair que les adeptes de l’eau claire ne sont pas majoritaires.
Dans le cas de Mathieu Fontenelle, que je ne connais pas personnellement, je n’ai aucune raison de le soupçonner de dopage, mais j’ai par contre toutes les raisons de soupçonner les injections expérimentales qu’il a reçues d’être la cause de ses malheurs.