Nombre de décès quotidiens (INSEE)

[Mise à jour du 19 décembre : cet article a été initialement publié le 6 novembre 2020. Je reprends ci-contre le graphe des dernières données publiées le 18 décembre (et arrêtées le 7). L’augmentation de la mortalité totale amorcée à la mi-octobre octobre a été significative, a atteint un pic début novembre et est revenue aux niveaux habituels de la saison le 7 décembre. À force de rendre les gens malades (psychiquement et physiquement) par des contraintes aussi arbitraires qu’inefficaces – se tenir à une barre recouverte de virus dans un bus ou un métro bondés c’est BIEN, respirer l’air pur dans une promenade en montagne c’est MAL – il ne faut pas s’en étonner.

Note de l’administrateur de ce blog : comme je le disais dans l’article “Raison garder”, seuls les chiffres de mortalité totale ne sont pas susceptibles de manipulation, ceux de “mortalité COVID” étant systématiquement truqués en faisant passer des morts ayant eu un test positif au SARS-CoV2 (et même pas toujours !) pour des “morts de la COVID-19”, alors que beaucoup étaient très âgés ou avaient des comorbidités graves (quelquefois invisibles aux naïfs). Ceci, bien sûr, afin d’alimenter la psychose ambiante et de mettre en place une dictature sur des prétextes sanitaires.

Que ceux qui ont des yeux pour voir et un cerveau pour penser s’en servent !]


Ce graphique représente le nombre de décès quotidiens survenus chaque jour pour les années 2015 à 2020, ainsi qu’en moyenne sur la période 2015-2019. On y voit la très vive accélération des décès à partir de la mi-mars 2020 jusqu’au 1er avril, puis la décrue jusque fin avril. Sur la période mai-juin 2020, les décès sont proches de ceux survenus au cours de la même période les années précédentes. Au cours de l’été 2020, un pic des décès a été observé du 10 au 12 août. Plusieurs épisodes de grippe saisonnière récents ayant entraîné une surmortalité importante sont visibles : l’épidémie de l’hiver 2016-2017 dont le pic a été atteint en janvier 2017 ; un peu plus loin dans le passé, l’épidémie de l’hiver 2014-2015 avec un pic en février 2015 ; plus récemment, l’épidémie de grippe de l’hiver 2017-2018 qui a duré jusqu’en mars 2018 et a entraîné un surcroît important de mortalité. Le graphique permet aussi de visualiser le pic de mortalité bref et intense dû à la canicule de l’été 2003.

Continuer la lecture (et télécharger éventuellement les données) sur le site de l’INSEE →

Le Dr Louis Fouché récuse l’utilité du confinement
(Réinfo Covid)

[Note de l’administrateur de ce blog : où l’on apprend qu’un suicidé par pendaison peur entrer dans les statistiques “morts de la COVID-19”. Ce qui, à vrai dire, est peut-être seulement à moitié faux : il est possible qu’il soit mort de la psychose sur la COVID-19.

N’oubliez pas de consulter et de faire connaître le site Réinfo Covid pour d’autres analyses et chiffres visant à rétablir de la raison et du lien social au milieu de cette propagande morbide et perverse.]


Pour s’affranchir de la téléréalité sanitaire globale, revoyons d’urgence le film Truman Show (Christian Combaz)

[Note de l’administrateur de ce blog : ceux qui ne connaissent pas ce film pourront en regarder des extraits dans la deuxième vidéo, qui l’analyse et le commente. Et ceux qui trouveraient alors le rapprochement un peu osé devraient lire le document téléchargeable à la suite, publié en 2010 par la Rockefeller Foundation, et en particulier l’un des quatre scénarios proposés, “Lockstep”, présenté à partir de la page 18.

Les non-anglophones pourront en lire une traduction ici.]


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Adresse à M. Olivier Véran Ministre de la santé
(Jean-Dominique Michel)

[Note de l’administrateur de ce blog : quand les fous ont pris les clés de l’asile, la meilleure façon de régler le problème n’est pas de se trouver des raisons pour leur ressembler.]


Dictature sanitaire (Silvano Trotta)

[Note de l’administrateur de ce blog : on rappellera comme les intervenants de cette vidéo que la grippe “ordinaire” fait, selon les années, de quelques milliers jusqu’à près de 15 000 morts supplémentaires en France (hiver 2016-2017, la surmortalité toutes causes confondues atteignant plus de 21 000 décès).

Début 2017, la grippe fut responsable de l’essentiel de la surmortalité ; la mortalité totale monta jusqu’à 2 200 décès par jour (en moyenne mensuelle pour le mois de janvier, soit une surmortalité d’environ 700 décès/jour en moyenne par rapport aux mois de l’été suivant) quand la COVID-19 en fait actuellement de l’ordre de 50, et en fit au maximum de l’épidémie (4 avril) jusqu’à 2 000 ou, pour prendre les chiffres plus représentatifs de moyennes sur 7 jours, 1 100 le 10 avril… Avec un total toutes causes confondues de 66 800 décès, le mois d’avril 2020 (pic de l’épidémie en France) se situe par ailleurs très légèrement en dessous du mois de janvier 2017 (68 145  décès).

Ces données sont vérifiables aisément par exemple sur le site de l’INSEE, celui de Santé Publique France ou le site Our World In Data dont deux copies d’écran sont à consulter en dessous de la vidéo (cliquer sur les images pour obtenir de plus grandes versions).

Rappelons enfin qu’une augmentation des infections respiratoires et des symptômes grippaux à l’entrée dans la saison froide est une chose parfaitement normale dont il n’y a pas lieu de s’inquiéter, mais dont on peut se protéger avec un peu de bon sens (habillement, hygiène de vie et d’alimentation, dont le sommeil qui est un atout souvent négligé…).]


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