Sa liberté de soigner (Ingrid Courrèges)

[Note de l’administrateur de ce blog : une résistance tout en finesse au mensonge ambiant, à la française.]


Etude Recovery : comment la fondation Bill Gates a financé le suicide des malades anglais à l’hydroxychloroquine (Patrice Gibertie)

Recovery[Note de l’administrateur de ce blog : et le mauvais feuilleton continue ! Alors que des journalistes qui ne savent pas lire (Patrick Cohen, par exemple) continuent à s’enfoncer – et entraînent du monde avec eux — en voulant à tout prix traiter l’un des meilleurs infectiologues au monde de charlatan et de dangereux apprenti-sorcier, ceux qui ont encore quelques neurones en fonctionnement en font usage et montrent que le scandale sanitaire est encore plus vaste qu’on ne le croit.

En effet, l’arrêt précipité du recrutement de volontaires pour tester l’hydroxychloroquine dans le cadre de l’étude clinique Recovery en Grande-Bretagne, censée apporter enfin une réponse “sérieuse” au traitement de la Covid-19 grâce à un protocole tout ce qu’il y a de plus scientifique, a réjoui de nombreux détracteurs du “protocole Raoult” dont l’omniscient Patrick Cohen qui affirme le débat sur l’hydroxychloroquine définitivement clos.

Or cette étude cache des dessous aussi glauques que l’activité “parallèle” de la directrice des ventes de Surgisphere. On apprend en effet – il suffit de lire le protocole, p. 9 — que les doses d’hydroxychloroquine administrées n’ont rien à voir avec celles préconisées par le Pr Raoult (3 fois 200 = 600 mg par jour), puisque les patients doivent d’abord avaler 800 mg 2 fois de suite à 6h d’intervalle, puis 400 mg 6h plus tard, puis encore 400 mg à l’issue des premières 24h, soit un surdosage massif en début du traitement (2000 mg le premier jour) !

Si avec ça certains ne comprennent toujours pas que certaines “élites”, y compris médicales, sont totalement perverties et criminelles, et qu’il est urgent — c’est, littéralement, une question de vie ou de mort — de les mettre hors d’état de nuire, alors plus personne ne peut rien pour eux.]


La plaisanterie macabre continue, au moment où éclate  le scandale de Surgisphère  et de ses études foireuses  , la presse se réjouit de l’arrêt de l’étude britannique « recovery ». Un autre scandale ; les Anglais ont suicidé les malades en donnant des doses considérés comme quasi létales en France.

Cette étude est entre autres financée par la Fondation Bill Gates, qui subventionnait également l’hôpital Brigham and Women’s à Boston (Lancetgate).

Les doses d’hydroxychloroquine données aux patients au protocole de l’étude Recovery, sont de 2400mg HCQ dans les premières 24h et 9600mg d’hydroxychloroquine pour l’ensemble du traitement. L’AMM en France considère le taux de surdosage est de 25mg/kg de HCQ soit pour un patient de 75kg, 1875mg pour une journée et impose une hospitalisation au service d’urgence. Cette posologie dans l’essai français hors AMM est de 600mg par jour pour un adulte testé positif au SRAS Cov2.

“Ce n’est pas la peine d’aller plus loin dans l’analyse de cette étude qui prescrit des quantités considérées comme sur-dosage par notre propre ANM et entrainent d’être hospitalisé immédiatement. Même sans être positif à la Covid 19 vous vous retrouverez directement à la case Urgence.”

Le professeur Perronne dit :

« la dose maximum autorisée par l’AMM (Autorisation de mise sur le marché) est de 3 comprimés à 200 mg par jour. Avec Recovery, c’est 12 comprimés le premier jour. »

4 fois plus !  Ce que prennent les candidats au suicide .

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Le confinement, tout ce que l’on ne vous a pas dit :
aberration humaine, sanitaire, économique (France Soir)

[Note de l’administrateur de ce blog : l’intérêt de cet article est non seulement de décrire avec justesse la crise sanitaire qui vient d’avoir lieu, mais aussi de prouver que la “grande” presse n’a maintenant plus peur d’aborder des questions qui fâchent, et de laisser enfin s’exprimer la véritable élite de ce pays, au lieu de la petite caste qui en a piraté les postes de commande.

Un parallèle me vient immédiatement à l’esprit dans la presse scientifique : le coup d’éclat de Europhysics News qui osa publier pour le quinzième anniversaire des attentats du 11-Septembre un article démontrant que l’effondrement ce jour-là des trois gratte-ciel du World Trade Center était nécessairement le résultat d’une démolition volontaire. Même si la “communauté scientifique” est encore bien loin d’avoir pris les responsabilités qui sont les siennes en ce domaine (nous y reviendrons, un certain virus ayant ces derniers temps un peu monopolisé l’attention), l’événement provoqua quand même une prise de conscience chez beaucoup d’endormis.

En touchant un public encore plus large — même s’il n’est que français — France Soir vient ici, grâce au docteur Gérard Delépine, de faire tomber une digue. Sachons apprécier l’importance de l’événement, et rappelons-nous que peu de temps avant la chute du mur de Berlin, un tas d’experts affirmaient encore qu’il n’avait aucune chance de tomber.]


par le Dr Gérard Delépine, chirurgien oncologue, statisticien, et Xavier Azalbert

ANALYSE : Le communiqué du 2 juin du conseil scientifique se décerne un satisfécit sans regarder les faits et tente par des scénarios improbables (issues de modélisation erronées) de faire perdurer la peur qui paralyse la population et l’empêche de défendre ses libertés.  Ainsi il prétend sans avoir étudié cette cinétique :

« La période du confinement a permis de ralentir la dynamique de l’épidémie de façon marquée »

L’utilisation des analyses de rupture de tendance lui aurait permis de constater que le confinement aveugle et policier à la française n’a été suivi du moindre ralentissement des contaminations dans aucun des pays qui l’a pratiqué et que la baisse des contaminations a été observée bien plus tard (5 semaines) et naturellement de la même manière dans les pays confinés ou pas.

La comparaison entre la Belgique et les Pays bas permet de suggérer même que le confinement strict accélère les contaminations.

 
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Didier Raoult, l’homme et le médecin

[Note de l’administrateur de ce blog : vous trouverez ci-dessous 2 vidéos permettant de mieux cerner le Pr. Raoult : la première, diffusée le 7 avril par la chaîne sénégalaise emedia-Invest, situe son parcours personnel et notamment son enfance à Dakar où son père était médecin militaire ; la seconde, datant du 8 avril et réalisée par l’IHU Méditerranée-Infection dont il est le directeur, fait le point sur la situation actuelle de la pandémie COVID-19, en pointant notamment la situation ubuesque de malades à qui l’on prescrit habituellement de l’hydroxychloroquine pour d’autres raisons (lupus, polyarthrite rhumatoïde…) et qui se voient de fait interdits de traitement, alors qu’il y a quelques mois il était disponible sans ordonnance !

Le Pr. Raoult se montre aussi inquiet pour les EHPAD (maisons de retraite, en ancien français) où il juge absurde de confiner sans distinction des personnes contaminées et d’autres qui ne le sont pas, avec la perspective de finir par contaminer tout le monde et ceci dans une population particulièrement à risque.

Les derniers chiffres publiés par l’IHU Méditerranée-Infection sur la pandémie COVID-19 sont sur cette page, et chacun pourra calculer que la mortalité parmi les patients traités dans cet institut — et donc pas calculée sur le nombre total de personnes infectées, nécessairement supérieur — est d’un peu moins de 0,5%.

Comme il le souligne, des gens en France — “experts” médicaux qui ne sont plus médecins ou ne l’ont jamais été — sont devenus fous, et le drame est qu’ils ont un réel pouvoir de nuisance. ]


Traitement Covid-19 : ne perdons plus de temps ! (pétition)

Nous vivons une crise sanitaire mondiale d’une grande ampleur et notre pays est fortement frappé par la vague épidémique de Covid-19.

Chaque jour, nous déplorons de nombreux décès. Contre cette maladie, nous ne disposons ni de vaccins, ni de traitement antiviral même si les données scientifiques actuelles sont parcellaires et discordantes.

Des données chinoises récentes ont suggéré l’efficacité de la chloroquine ou de l’hydroxychloroquine au laboratoire et chez les malades. Une étude publiée par Chen et coll. (Efficacy of hydroxychloroquine in patients with Covid-19 : results of a randomized clinical trial) montre l’efficacité de l’hydroxychloroquine chez les malades atteints par le Covid-19 souffrant de pneumonie moyennement sévère ; les quelques patients qui se sont aggravés ne recevaient pas le traitement.

Des cartes publiées par Santé Publique France montrent un taux de mortalité chez les personnes hospitalisées beaucoup plus faible à Marseille que dans le reste du territoire.

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Comment la France se prive de 150 000 à 300 000 tests par semaine (Le Point)

[Note de l’administrateur de ce blog : si même la presse “de grand chemin” se met à dézinguer ce gouvernement, où va-t-on ma brave dame ?]


Les biologistes médicaux sont des gens polis. Lorsque Le Point les a contactés il y a 10 jours, ils ont hésité à parler. « Nous sommes en contact avec le gouvernement, la situation va forcément se débloquer… » Et puis ? Et puis rien. Silence radio. Un silence « incompréhensible », pour plusieurs des directeurs de laboratoires départementaux que Le Point a entendus. Les Français les connaissent mal, mais ils sont un rouage essentiel de notre système de santé. Implantés sur tout le territoire, 75 laboratoires publics (et leurs 4 500 employés) dépendent des départements, et assument la lourde tâche d’effectuer les analyses de contrôle des eaux, d’hygiène alimentaire ou de santé animale. Contrairement aux laboratoires de santé humaine, qui ne traitent ordinairement qu’un faible nombre d’analyses, ils sont dimensionnés pour travailler « par troupeaux », à la chaîne : pendant les crises de la vache folle ou de la peste aviaire, ils ont réalisé des dizaines de milliers de tests… par jour ! Et justement : c’est cette spécificité qu’ils pensaient que le gouvernement prendrait en compte. « Les laboratoires de biologie humaine, qui réalisent les tests aujourd’hui, travaillent avec des machines très performantes, mais » fermées, « c’est-à-dire conçues pour ne travailler qu’avec un seul type de réactifs », décrypte Philippe Nicollet, directeur du laboratoire départemental de l’environnement et de l’alimentation de Vendée.

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Chloroquine : l’appel urgent d’un groupe de médecins
(Dr. Ménat)

Le 26 mars, le gouvernement a INTERDIT aux médecins de terrain de prescrire aux malades le médicament le plus prometteur contre le coronavirus.

Des médecins se révoltent et vous demandent d’agir vite – regardez cet appel et mobilisez-vous !

Pour ceux qui préfèrent lire un texte plutôt que regarder une vidéo, c’est ici.

Toxic Story

Le genre : thriller médical et récit d’un déniaisement.

Le professeur Romain Gherardi n’est pas n’importe qui : chef de service du centre expert en pathologie neuromusculaire de l’hôpital Henri-Mondor à Créteil, ce médecin et chercheur (de 2000 à 2014, il dirige une équipe à l’Inserm) a publié plus de 350 articles scientifiques et participé à de nombreux ouvrages collectifs. C’est donc une “pointure” du monde médical. Pourtant, si l’ouvrage (qualifié de “document” sur la page de titre intérieure) est bien truffé de raisonnements, de schémas et tableaux en annexes, et de références bibliographiques comme il sied à toute démonstration à caractère scientifique, le prologue plante le décor d’une tout autre manière. En voici un extrait :

“C’est l’histoire d’une nouvelle pathologie, devenue peu à peu l’histoire d’une longue traque. Si le coupable court depuis 1926, la première scène de crime n’est photographiée qu’en 1993, et il faudra attendre encore cinq ans avant qu’il soit identifié. En 2016, il circule toujours sans être inquiété alors que la liste de ses victimes ne cesse de s’allonger. Chacun de ses procès, toujours dans l’ombre d’un huis clos, s’est soldé jusqu’à aujourd’hui par un non-lieu. “Faute de preuves”, disent les autorités compétentes. Faute, surtout, de moyens. Car l’État, sidéré par la complexité de l’affaire, demeure en retrait.”

Déflorons tout de suite l’intrigue : ce coupable qui court toujours, c’est l’aluminium vaccinal, un adjuvant utilisé – évidemment pas dans le but de nuire1 – pour augmenter l’efficacité des vaccins. En 2018, cela fait donc 20 ans2 que ce coupable a été identifié par des méthodes scientifiques rigoureuses, ce qui n’empêche pas les autorités sanitaires de continuer à mentir sur son innocuité. Pourquoi ? C’est la partie déniaisement de ce livre qui le relate, tout aussi passionnante – mais en plus, révoltante – que la partie proprement scientifique, toutes deux intimement mêlées. Car si le prologue, peut-être pour ne pas effrayer le lecteur dès les premières pages, parle seulement de “manque de moyens”, on pourrait aussi après avoir lu l’ouvrage renverser l’argument et parler plutôt d’excès de moyens… pour la partie adverse, des industriels richissimes du monde pharmaceutique dont la seule loi est celle du profit maximal, et qui par leur “réussite” ont provoqué une corruption généralisée du milieu médical et des instances de santé gouvernementales ou internationales (AFSSAPS, OMS…). Et des industriels qui, contrairement au professeur Gherardi, ne voient pas les malades comme des êtres humains en souffrance voire en totale détresse, mais comme une ligne de statistiques dans un tableau Excel®.

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Levothyrox : personne ne parle du « vrai » scandale
(Santé Corps Esprit)

[Note de l’administrateur de ce blog : avoir un père mort d’un cancer de la thyroïde (et entièrement dépendant pour les dernières années de sa vie du Levothyrox) rend sensible aux problèmes rencontrés par les trois millions de malades français suite au changement de formule de ce médicament, dont les media ont abondamment parlé.

Mais cela n’implique pas de mettre en veilleuse son sens critique et de boire sans retenue le discours médiatique sur le “scandale sanitaire” en cours. Je relaie donc ici une lettre d’information de Santé Corps Esprit, qui a le mérite de poser clairement le problème et de montrer que le vrai scandale se trouve ailleurs, à commencer par l’incompétence de nos gouvernants.

Incompétence ou stratégie de diversion délibérée ? On peut se poser la question, quitte à être taxé – vous connaissez mon affection pour ce terme – de “complotiste”. Car c’est bien connu, la meilleure façon d’empêcher de parler d’un sujet, ce n’est pas de l’interdire directement, c’est soit de diaboliser ceux qui en parlent (des exemples par ici, par là et un brillant ouvrage sur le sujet) soit de créer des polémiques sur des sujets mineurs, que l’on fait mousser pour qu’elles occupent l’espace médiatique au détriment des sujets majeurs.

J’engage aussi mes lecteurs à lire sur le site de Santé Corps Esprit les nombreux commentaires suscités par cet article, émanant pour la plupart de personnes touchées directement par la “nouvelle formule”, et reprochant parfois à l’auteur de minimiser leurs souffrances. Je reproduis néanmoins sur ce blog l’intégralité de l’article que j’ai reçu par courriel, les références d’articles scientifiques ayant été oubliées sur celui du site.]


Si vous avez compris quelque chose à l’affaire du Levothyrox…

… eh bien vous avez toute mon admiration !

Quand on se contente de lire ou écouter les grands médias, on a vraiment du mal à y voir clair.

Pourtant, il y a un bien un vrai « scandale » dans cette affaire… mais ce n’est pas celui qu’on croit !

Les médias se trompent encore totalement de cible

Attention : je ne veux surtout pas faire comme notre Ministre et sous-estimer la souffrance des patients qui ne supportent pas le nouveau Levothyrox.

Mais tout de même.

D’après vous, qu’est-ce qui est pire ?

  • Un médicament utile comme le Levothyrox, dont le nouveau dosage entraîne quelques milliers d’effets indésirables très gênants mais temporaires ? ;
  • Ou les millions d’effets secondaires graves, irréversibles et parfois mortels de médicaments inutiles ?

Je peux comprendre que les médias s’excitent sur cette affaire du Levothyrox (vous allez voir pourquoi dans un instant)…

… Mais il est incompréhensible que, pendant ce temps-là, ils ne disent PAS UN MOT du scandale sanitaire à mon avis beaucoup plus grave que représentent :

  • Les médicaments anti-cholestérol (statines), pris par 7 millions de Français sans réel bénéfice pour leur santé… mais avec des conséquences gravissimes, comme d’augmenter le risque de diabète de 46 % ! [1]
  • Les médicaments anti-acides dit IPP (Inexium, Mopral, etc.) pris sur longue période par plusieurs millions de Français, et qui causent 10 000 morts chaque année d’après une étude récente [2], sans compter les cas d’Alzheimer, les crises cardiaques et les maladies rénales ; [3]
  • Ou encore des médicaments contre Alzheimer, que notre Ministre de la Santé persiste à rembourser (et que les neurologues continuent à prescrire), pour faire plaisir à Big Pharma, alors que la Haute Autorité de Santé elle-même les a déclarés « inutiles et dangereux » ! [4]

Et pourquoi les médias ne passent-ils pas ne serait-ce que la moitié du temps consacré au Levothyrox pour parler du drame de la myofasciite à macrophages, cette maladie causée par l’aluminium des vaccins ?

Contrairement aux effets indésirables du nouveau Levothyrox, cette maladie-là est incurable, irréversible, invalidante… et horriblement douloureuse !

Ceci étant dit, les effets secondaires de la nouvelle formule du Levothyrox sont un vrai problème et auraient dû être évités.

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Vaccins : comment la vérité est malmenée
(Santé Corps Esprit)

[Note de l’administrateur de ce blog : si vous pensez encore que le but premier de l’industrie pharmaceutique est d’œuvrer pour une meilleure santé, et que vous voyez en particulier toute critique de la vaccination comme un délire “complotiste” , je vous conseille vivement de commencer par regarder la vidéo ci-dessous, où l’ancien dirigeant de la multinationale britannique GlaxoSmithKline (GSK) Jean Stéphenne explique tranquillement à un parterre de businessmen, le sourire aux lèvres, la logique qui commande la réalisation de vaccins multivalents tels que l’Infanrix Hexa® de GSK. Une logique qui n’a rien de médical.

Et en lisant l’article de Santé Corps Esprit qui suit, vous apprendrez que le fameux “syndrome de la Guerre du Golfe” , dont souffrent de nombreux vétérans de guerre américains, et qui fut un peu rapidement attribué par des journalistes aux méchantes armes à uranium appauvri utilisées par les méchants Américains, est en réalité une conséquence directe… de la vaccination préventive et massive administrée aux militaires.

On retiendra également qu’après la vaste blague de la “concertation citoyenne sur la vaccination”, où on a bien pris soin d’écarter du débat toute personne ayant des choses intéressantes et scientifiquement prouvées à dire sur la dangerosité de certains vaccins (ou de la vaccination sur certaines personnes au profil génétique particulier), le rapport du Comité d’Orientation (anonyme…) ne propose rien de mieux, pour lutter contre la défiance grandissante du public envers la vaccination, que de rendre obligatoires des vaccins jusque-là conseillés en France, portant ainsi à 11 (onze) le nombre de vaccins obligatoires contre 3 aujourd’hui (mais en pratique au moins 5 ou 6, suite au lobbying intensif de GSK et ses concurrents) !

Enfin, puisqu’il est toujours intéressant de regarder ailleurs pour s’aérer l’esprit, on notera que la vaccination n’est pas obligatoire ni en Espagne, ni en Allemagne, ni au Royaume-Uni par exemple. Certainement par la faute d’une négligence coupable des autorités sanitaires des pays concernés, car “la vaccination, ça ne se discute pas !”, comme l’a proclamé la très incompétente Marisol Touraine, aussi à l’aise avec les arguments médicaux qu’une poule avec le maniement d’un couteau.]

Mise à jour 20 décembre : lien vers la pétition adressée à la Ministre de la Santé.


Vaccins : comment la vérité est étouffée

C’est un livre qui se lit comme un roman policier… et qui révèle au grand jour la stupéfiante corruption politico-médicale destinée à vous cacher les « effets indésirables » de certains vaccins.

Son auteur, le Pr Romain Gherardi, n’est pas n’importe qui.

Professeur de médecine à 38 ans, il est à la tête d’un prestigieux centre hospitalier français sur les maladies neuro-musculaires. Il a publié plus de 300 articles de recherche dans des revues médicales de premier plan (Lancet, New England Journal of Medicine, Brain, etc.).

Médecin rempli d’humanité et chercheur exigeant, il n’a rien d’un provocateur. Il ne manque jamais une occasion de rappeler que les vaccins ont sauvé des millions de vies.

Mais il refuse qu’on empêche le grand public de connaître certains effets indésirables évitables des vaccins contenant de l’aluminium.

Il n’accepte pas qu’on cherche à étouffer des recherches scientifiques d’utilité publique, qui pourraient éviter des milliers de maladies graves… et peut-être même soulager des millions de patients victimes du terrible « syndrome de fatigue chronique ».

Tout ce qu’il souhaite, c’est la vérité, y compris si elle dérange. Et il l’a payé au prix fort.

En quelques années, il est passé du statut de « star enviée de la médecine », consulté officiellement par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), à celui d’un homme que l’on évite, dont on refuse de financer les recherches.

Son seul crime : avoir mis au jour une vérité très embarrassante pour l’industrie du vaccin.

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