“Des enfants de 6 ans font des tentatives de pendaison” : l’hôpital subit les effets du covid (actu Toulouse)

[Note de l’administrateur de ce blog : le plan se déroule comme prévu. En 2020, on a chassé du complotiste ; en 2021, cela continue encore mais le basculement s’opère inexorablement au fur et à mesure que leurs annonces se révèlent justes.

“Entendez-vous dans les campagnes
Mugir ces féroces soldats ?
Ils viennent jusque dans vos bras
Égorger vos fils, vos compagnes !”

À compléter, hélas, par cette alerte lancée par un pompier bouleversé (par des patients plus âgés), et par l’annonce du décès après vaccination (à l’AstraZeneca) du jeune mannequin Stéphanie Dubois.]


Lors d’une visite au CHU de Toulouse, vendredi 21 mai 2021, le secrétaire d’État chargé de l’Enfance a demandé des nouvelles concernant l’évolution de la santé mentale des jeunes.

Les équipes de l’hôpital des enfants tirent la sonnette d’alarme. Vendredi 21 mai 2021, Adrien Taquet, le secrétaire d’État chargé de l’Enfance et des Familles était en visite au CHU de Toulouse. L’occasion pour lui d’échanger avec les professionnels de santé sur le parcours spécifique des enfants nés prématurés et présentant des fragilités avec des besoins spécifiques en post-natal.

Lors d’un échange, Adrien Taquet a souhaité connaître l’avis des chefs de service sur l’évolution de la santé mentale des enfants et des adolescents dans le contexte de la crise du Covid-19. Et les nouvelles ne sont pas très bonnes…

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Etude Recovery : comment la fondation Bill Gates a financé le suicide des malades anglais à l’hydroxychloroquine (Patrice Gibertie)

Recovery[Note de l’administrateur de ce blog : et le mauvais feuilleton continue ! Alors que des journalistes qui ne savent pas lire (Patrick Cohen, par exemple) continuent à s’enfoncer – et entraînent du monde avec eux — en voulant à tout prix traiter l’un des meilleurs infectiologues au monde de charlatan et de dangereux apprenti-sorcier, ceux qui ont encore quelques neurones en fonctionnement en font usage et montrent que le scandale sanitaire est encore plus vaste qu’on ne le croit.

En effet, l’arrêt précipité du recrutement de volontaires pour tester l’hydroxychloroquine dans le cadre de l’étude clinique Recovery en Grande-Bretagne, censée apporter enfin une réponse “sérieuse” au traitement de la Covid-19 grâce à un protocole tout ce qu’il y a de plus scientifique, a réjoui de nombreux détracteurs du “protocole Raoult” dont l’omniscient Patrick Cohen qui affirme le débat sur l’hydroxychloroquine définitivement clos.

Or cette étude cache des dessous aussi glauques que l’activité “parallèle” de la directrice des ventes de Surgisphere. On apprend en effet – il suffit de lire le protocole, p. 9 — que les doses d’hydroxychloroquine administrées n’ont rien à voir avec celles préconisées par le Pr Raoult (3 fois 200 = 600 mg par jour), puisque les patients doivent d’abord avaler 800 mg 2 fois de suite à 6h d’intervalle, puis 400 mg 6h plus tard, puis encore 400 mg à l’issue des premières 24h, soit un surdosage massif en début du traitement (2000 mg le premier jour) !

Si avec ça certains ne comprennent toujours pas que certaines “élites”, y compris médicales, sont totalement perverties et criminelles, et qu’il est urgent — c’est, littéralement, une question de vie ou de mort — de les mettre hors d’état de nuire, alors plus personne ne peut rien pour eux.]


La plaisanterie macabre continue, au moment où éclate  le scandale de Surgisphère  et de ses études foireuses  , la presse se réjouit de l’arrêt de l’étude britannique « recovery ». Un autre scandale ; les Anglais ont suicidé les malades en donnant des doses considérés comme quasi létales en France.

Cette étude est entre autres financée par la Fondation Bill Gates, qui subventionnait également l’hôpital Brigham and Women’s à Boston (Lancetgate).

Les doses d’hydroxychloroquine données aux patients au protocole de l’étude Recovery, sont de 2400mg HCQ dans les premières 24h et 9600mg d’hydroxychloroquine pour l’ensemble du traitement. L’AMM en France considère le taux de surdosage est de 25mg/kg de HCQ soit pour un patient de 75kg, 1875mg pour une journée et impose une hospitalisation au service d’urgence. Cette posologie dans l’essai français hors AMM est de 600mg par jour pour un adulte testé positif au SRAS Cov2.

“Ce n’est pas la peine d’aller plus loin dans l’analyse de cette étude qui prescrit des quantités considérées comme sur-dosage par notre propre ANM et entrainent d’être hospitalisé immédiatement. Même sans être positif à la Covid 19 vous vous retrouverez directement à la case Urgence.”

Le professeur Perronne dit :

« la dose maximum autorisée par l’AMM (Autorisation de mise sur le marché) est de 3 comprimés à 200 mg par jour. Avec Recovery, c’est 12 comprimés le premier jour. »

4 fois plus !  Ce que prennent les candidats au suicide .

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