Les vaccins COVID résumés en 7 minutes
(Jeanne Traduction)

[Note de l’administrateur de ce blog : vous trouverez aussi sous la vidéo doublée en français la vidéo originale, et ici la transcription de la traduction fournies sur le compte Odysee de Jeanne Traduction. Le Dr Scott Youngblood témoignait ici le 3 novembre 2021 dans le compté de San Diego en Californie.

La présentation de la FDA dont il est fait mention – et plus précisément la page affichée, non pas une seconde comme affirmé ici à 4:50, mais un tiers de seconde – a déjà été signalée dans cet article ainsi qu’un lien pour la télécharger.]


Un ancien responsable de Pfizer et un ancien directeur de la santé allemand demandent l’arrêt d’urgence des tests
cliniques de vaccination contre la COVID-19

Une des raisons de leur inquiétude : la possibilité que les vacciné(e)s deviennent stériles.

Le Dr Michael Yeadon est un ancien directeur scientifique du géant pharmaceutique Pfizer, où il était responsable de l’unité de recherche sur les maladies allergiques et respiratoires, dirigeant jusqu’à 200 personnes. Le Dr Wolfgang Wodarg est un ancien directeur du département de la santé (Gesundheitsamt) de la ville de Flensburg et un ancien président du Comité santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

Tous deux viennent de signer, le 1er décembre 2020, une requête en urgence auprès de l’Agence Européenne des Médicaments afin de demander la suspension immédiate des essais en phase III du vaccin contre la COVID-19 développé par BioNTech (une société spécialisée dans les traitements à base d’ARN messager, travaillant en partenariat avec Pfizer depuis septembre 2020), mais aussi de “tout autre essai clinique en cours visant à mettre fin à la transmission du virus de la personne vaccinée à d’autres personnes et/ou à prévenir la COVID-19 ou à en atténuer les symptômes, pour lesquels les résultats de tests PCR sont la première preuve de l’infection par le SARS-CoV-2.1.

Parmi les nombreux points soulevés justifiant cette requête, les auteurs soulignent – comme l’a fait le Dr Doshi dans un article du British Medical Journal – que, d’une part, aucun des principaux essais cliniques de vaccin contra la COVID-19 n’est conçu de manière à tester l’efficacité contre les formes graves de la maladie, conduisant à l’hospitalisation, voire aux soins intensifs ou au décès – d’ailleurs, il semble même que le rapport de Pfizer reconnaisse une contre-performance sur ce point précis ; et d’autre part, ils ne sont pas non plus conçus pour tester l’influence du vaccin sur la transmission du virus.

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Un volontaire de l’essai clinique brésilien d’AstraZeneca pour la COVID-19 décède, l’essai continue

Je traduis ci-dessous une dépêche de Reuters du 21 octobre 2020 tout en commentant juste après les informations pour le moins incomplètes et “bizarres” qu’elle contient.

Cette dépêche soulève en effet de nombreuses questions :

  • qu’est-ce réellement qu’un essai clinique de vaccin ?
  • le secret médical peut-il servir de prétexte à la dissimulation de données d’intérêt public ?
  • un précédent fâcheux sur ce genre d’essai est-il suffisant pour contraindre une entreprise ayant misé gros sur un vaccin, et dont les actionnaires attendent que leur argent rapporte, à abandonner une voie qui se révèle dangereuse ?

———————————— Début de la traduction ————————————

SAO PAULO / FRANKFURT (Reuters) – L’autorité sanitaire brésilienne Anvisa a déclaré mercredi qu’un volontaire pour un essai clinique du vaccin contre la COVID-19 développé par AstraZeneca et l’Université d’Oxford était décédé, mais a ajouté que l’essai se poursuivrait.

Oxford a confirmé son intention de continuer les tests, déclarant dans un communiqué qu’après une évaluation minutieuse, « il n’y avait pas eu de problèmes de sécurité de l’essai clinique ».

AstraZeneca a refusé de commenter immédiatement.

Une source proche du dossier a déclaré à Reuters que l’essai aurait été suspendu si le volontaire décédé avait reçu le vaccin COVID-19, suggérant que la personne faisait partie du groupe témoin qui a reçu un vaccin contre la méningite.

L’Université fédérale de Sao Paulo, qui aide à coordonner les essais cliniques de phase 3 au Brésil, a déclaré qu’un comité d’examen indépendant avait également recommandé la poursuite de l’essai. L’université a confirmé plus tôt que le volontaire était brésilien, mais n’a donné aucun autre détail personnel.

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L’incroyable REFUS DE SOIGNER le coronavirus
(pas vu à la télé !) — Florian Philippot

[Note de l’administrateur de ce  blog : très bonne synthèse de Florian Philippot sur la corruption du système de santé par les grands groupes pharmaceutiques, et en particulier dans le cas de la Covid-19, par Gilead, dont les premiers actionnaires sont des fonds d’investissement peu connus pour leur philanthropie ou leur humanisme désintéressé.

Tout usage normal de la raison doit conduire au même alarmant constat : nos “instances de santé” sont devenues des instances de mort en faisant passer l’intérêt financier de quelques-uns devant l’intérêt général de la population. Organisation Mondiale de la Santé comprise.]


Etude Recovery : comment la fondation Bill Gates a financé le suicide des malades anglais à l’hydroxychloroquine (Patrice Gibertie)

Recovery[Note de l’administrateur de ce blog : et le mauvais feuilleton continue ! Alors que des journalistes qui ne savent pas lire (Patrick Cohen, par exemple) continuent à s’enfoncer – et entraînent du monde avec eux — en voulant à tout prix traiter l’un des meilleurs infectiologues au monde de charlatan et de dangereux apprenti-sorcier, ceux qui ont encore quelques neurones en fonctionnement en font usage et montrent que le scandale sanitaire est encore plus vaste qu’on ne le croit.

En effet, l’arrêt précipité du recrutement de volontaires pour tester l’hydroxychloroquine dans le cadre de l’étude clinique Recovery en Grande-Bretagne, censée apporter enfin une réponse “sérieuse” au traitement de la Covid-19 grâce à un protocole tout ce qu’il y a de plus scientifique, a réjoui de nombreux détracteurs du “protocole Raoult” dont l’omniscient Patrick Cohen qui affirme le débat sur l’hydroxychloroquine définitivement clos.

Or cette étude cache des dessous aussi glauques que l’activité “parallèle” de la directrice des ventes de Surgisphere. On apprend en effet – il suffit de lire le protocole, p. 9 — que les doses d’hydroxychloroquine administrées n’ont rien à voir avec celles préconisées par le Pr Raoult (3 fois 200 = 600 mg par jour), puisque les patients doivent d’abord avaler 800 mg 2 fois de suite à 6h d’intervalle, puis 400 mg 6h plus tard, puis encore 400 mg à l’issue des premières 24h, soit un surdosage massif en début du traitement (2000 mg le premier jour) !

Si avec ça certains ne comprennent toujours pas que certaines “élites”, y compris médicales, sont totalement perverties et criminelles, et qu’il est urgent — c’est, littéralement, une question de vie ou de mort — de les mettre hors d’état de nuire, alors plus personne ne peut rien pour eux.]


La plaisanterie macabre continue, au moment où éclate  le scandale de Surgisphère  et de ses études foireuses  , la presse se réjouit de l’arrêt de l’étude britannique « recovery ». Un autre scandale ; les Anglais ont suicidé les malades en donnant des doses considérés comme quasi létales en France.

Cette étude est entre autres financée par la Fondation Bill Gates, qui subventionnait également l’hôpital Brigham and Women’s à Boston (Lancetgate).

Les doses d’hydroxychloroquine données aux patients au protocole de l’étude Recovery, sont de 2400mg HCQ dans les premières 24h et 9600mg d’hydroxychloroquine pour l’ensemble du traitement. L’AMM en France considère le taux de surdosage est de 25mg/kg de HCQ soit pour un patient de 75kg, 1875mg pour une journée et impose une hospitalisation au service d’urgence. Cette posologie dans l’essai français hors AMM est de 600mg par jour pour un adulte testé positif au SRAS Cov2.

“Ce n’est pas la peine d’aller plus loin dans l’analyse de cette étude qui prescrit des quantités considérées comme sur-dosage par notre propre ANM et entrainent d’être hospitalisé immédiatement. Même sans être positif à la Covid 19 vous vous retrouverez directement à la case Urgence.”

Le professeur Perronne dit :

« la dose maximum autorisée par l’AMM (Autorisation de mise sur le marché) est de 3 comprimés à 200 mg par jour. Avec Recovery, c’est 12 comprimés le premier jour. »

4 fois plus !  Ce que prennent les candidats au suicide .

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