Le Pr. Toussaint révèle ce qui se cache derrière
la propagande de la 2ème vague (CNews)

(source)

Et pour mettre un exemple concret sur ce que dit le Pr. Toussaint, voici un témoignage de mère d’élève :

C… a raté sa rentrée en khâgne à XXX hier. Pour être certaine qu’elle n’avait plus rien (faibles traces avec juste perte d’odorat  il y a une semaine et traitement zinc+plaquenil+zythromax), elle a voulu vérifier avant d’aller en cours.
Devant les centaines de queues en labos débordés, nous avons fait le test gratuit public de la mairie au stade Emile Antoine. Quelle erreur !!!!
Le lendemain matin le labo m’appelle en me disant qu’elle a de très faibles traces d’ARN et n’est pas contagieuse. Mais elle est comptabilisée tout de même positive.
La lettre du ministère de la Santé tombe : confinement, traçage contacts et appli StopCovid.
Pas de maladie + masques généralises pour tous, le tour est joué !

 

Comment la France se prive de 150 000 à 300 000 tests par semaine (Le Point)

[Note de l’administrateur de ce blog : si même la presse “de grand chemin” se met à dézinguer ce gouvernement, où va-t-on ma brave dame ?]


Les biologistes médicaux sont des gens polis. Lorsque Le Point les a contactés il y a 10 jours, ils ont hésité à parler. « Nous sommes en contact avec le gouvernement, la situation va forcément se débloquer… » Et puis ? Et puis rien. Silence radio. Un silence « incompréhensible », pour plusieurs des directeurs de laboratoires départementaux que Le Point a entendus. Les Français les connaissent mal, mais ils sont un rouage essentiel de notre système de santé. Implantés sur tout le territoire, 75 laboratoires publics (et leurs 4 500 employés) dépendent des départements, et assument la lourde tâche d’effectuer les analyses de contrôle des eaux, d’hygiène alimentaire ou de santé animale. Contrairement aux laboratoires de santé humaine, qui ne traitent ordinairement qu’un faible nombre d’analyses, ils sont dimensionnés pour travailler « par troupeaux », à la chaîne : pendant les crises de la vache folle ou de la peste aviaire, ils ont réalisé des dizaines de milliers de tests… par jour ! Et justement : c’est cette spécificité qu’ils pensaient que le gouvernement prendrait en compte. « Les laboratoires de biologie humaine, qui réalisent les tests aujourd’hui, travaillent avec des machines très performantes, mais » fermées, « c’est-à-dire conçues pour ne travailler qu’avec un seul type de réactifs », décrypte Philippe Nicollet, directeur du laboratoire départemental de l’environnement et de l’alimentation de Vendée.

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