Le gros problème des vaccins contre la Covid-19 – partie 1 (Santé Corps Esprit)

[Note de l’administrateur de ce blog : nous avons déjà vu que le Code de Nuremberg énumérait des conditions à respecter pour que des expériences médicales sur des êtres humains soient moralement acceptables. Parmi celles-ci, la deuxième stipule que “L’expérience doit être telle qu’elle produise des résultats avantageux pour le bien de la société, impossibles à obtenir par d’autres méthodes ou moyens d’étude, et pas aléatoires ou superflus par nature”.

On comprend donc la nécessité, pour les promoteurs de remèdes chers, inefficaces et dangereux ou de vaccins “révolutionnaires”, de démolir la réputation de traitements efficaces et éprouvés s’ils ne veulent pas finir par être comparés à des Mengele. Dans l’article suivant, des chercheurs turcs montrent pourtant que même de simples compléments alimentaires (la quercétine et la vitamine C) semblent avoir un effet protecteur sur la COVID-19 aussi important que celui annoncé pour les premiers vaccins… avec évidemment beaucoup moins de risques.

On rappellera certes que The Lancet, qui publie cet article en “preprint” pour l’instant, s’est distingué dans la crise du couillonavirus par un “Lancetgate” retentissant, démontrant par l’absurde qu’il serait déraisonnable de croire sur paroles tout ce qu’il publie. Mais il serait tout aussi déraisonnable de faire l’inverse, et lorsqu’une piste intéressante est lancée, c’est à la communauté scientifique de la mettre à l’épreuve de façon méthodique.

Si ces informations réjouissantes sont confirmées, et si les “autorités” veulent vraiment notre bien, elles sauteront sur l’occasion pour diminuer la TVA sur les câpres, la livèche, le piment, le sureau et le chocolat noirs (riches en quercétine), ainsi que sur les aliments riches en vitamine C, tout en faisant une petite campagne de publicité sur ces sources naturelles. Peut-être même pourront-elles financer, pour un coût modeste, une campagne de distribution gratuite de compléments alimentaires.

Pour l’instant, le premier sinistre Jean Castex annonce que la France, pays de 67 millions d’habitants, a précommandé de quoi vacciner 100 millions de personnes.]


Cher(e) ami(e) de la Santé,

Début novembre, le laboratoire Pfizer annonce un vaccin anti-coronavirus efficace à 90 %.

C’est l’enthousiasme général, les Bourses du monde entier montent en flèche.

Quelques jours après, la start-up Moderna annonce un vaccin efficace à 94,5 %.

A nouveau, les cours de Bourse s’enflamment.

Pfizer surenchérit alors en déclarant que, finalement, son vaccin est efficace à 95 % !

A peu près au même moment, le 16 novembre, il s’est produit quelque chose d’assez extraordinaire, passé totalement inaperçu.

Une équipe de chercheurs turcs publie une étude sidérante, en preprint, sur le site de The Lancet1.

Eux aussi auraient trouvé une sorte de « vaccin » préventif contre le coronavirus, efficace lui aussi à plus de 90 %.

Mais la solution turque est très différente des vaccins de Pfizer, Moderna ou Sanofi :

Elle n’a pas coûté des milliards au contribuable pour l’inventer : en fait, elle a coûté zéro euro à mettre au point, car on la connaît depuis des dizaines d’années ;
Elle n’a pas besoin d’être injectée, et encore moins conservée dans un frigo à -70 degrés, ni même à -20 degrés : c’est une simple pilule à avaler ;
Elle ne cause strictement aucun effet indésirable, et personne ne s’inquiète de ses répercussions sur le système immunitaire ou le patrimoine génétique, contrairement aux vaccins à ARN messager en préparation ;
Elle est distribuable immédiatement à la totalité de la population mondiale, pour un coût minime, alors que les nouveaux vaccins ne seront pas disponibles massivement avant 6 ou 12 mois.

Sur le papier, cette solution turque est donc largement supérieure aux « vrais » vaccins qu’on nous annonce.

Mais bizarrement elle n’a fait l’objet d’aucun grand titre médiatique.

Les cours de Bourse n’ont pas bougé d’un pouce lors de la publication de ces résultats.

Car ce n’est pas un vaccin high-tech, mais un simple complément alimentaire, contenant trois molécules naturelles : la quercétine, la vitamine C et la bromélaïne.

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Note d’expertise grand public sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM (Dr Christian Vélot, CRIIGEN)

[Note de l’administrateur de ce blog : au moment où toutes les “instances sanitaires” vous expliquent que rien ne pourra revenir à la normale sans vaccination massive, et où les annonces tonitruantes des différents laboratoires se succèdent au mépris des règles les plus élémentaires de la prudence scientifique, il est bon de revenir aux fondamentaux et de faire l’effort de s’informer de façon objective.

J’avais déjà rappelé ici, via un cours de vaccinologie adressé à des médecins, que la science vaccinale était loin, dans la réalité, de la haute technologie parfaitement maîtrisée présentée dans les discours médiatiques et les brochures sur papier glacé des laboratoires. J’avais également relaté tous les obstacles rencontrés par un grand chercheur français pour faire reconnaître ses travaux, dont il pensait naïvement qu’ils seraient accueillis avec enthousiasme, lorsqu’il avait élucidé le mécanisme qui produisait chez certaines personnes de graves effets secondaires à cause de l’aluminium contenu dans beaucoup de vaccins.

Ceci devrait déjà conduire à la plus extrême prudence lorsqu’on parle de vacciner en masse une population au moyen de vaccins développés en quelques mois, alors que l’échelle de temps habituelle pour de telles découvertes est plutôt la décennie. Mais lorsqu’il s’agit d’une technologie entièrement nouvelle… le but recherché est-il vraiment la santé humaine ? Surtout lorsqu’il s’agit d’une maladie à la mortalité très faible1 et pour laquelle il existe des traitements éprouvés et peu chers ?

Mais peut-être est-ce justement là le “problème”…]


Le règlement européen 2020/1043 vient modifier la règlementation OGM. Il permet à tout essai clinique de médicaments contenant des OGM, ou consistant en de tels organismes destinés à traiter ou à prévenir la Covid-19, d’échapper aux évaluations préalables sur la santé et l’environnement. Six associations et groupes de citoyens, représentés par Maitre TUMERELLE, ont déposé un recours en annulation de ce règlement. En appui à cette procédure, le Dr VÉLOT, généticien moléculaire à l’Université-Paris-Saclay et Président du Conseil scientifique du CRIIGEN, a rédigé un rapport d’expertise grand public sur les risques sanitaires et environnementaux que peuvent présenter les candidats vaccins contre la Covid-19 actuellement en cours d’essais cliniques. Il montre ainsi en quoi ce règlement européen est dangereux. Nous tenons à préciser qu’il ne s’agit là d’aucune prise de position anti ou pro-vaccinale, mais simplement d’une analyse objective des risques en fonction des différents types de vaccins à l’étude. Au regard d’une future campagne de vaccination qui se veut massive et mondiale, une telle carence d’évaluation est en total désaccord avec le principe de précaution qui devrait s’imposer en termes de santé publique.

Télécharger le rapport (10 pages + références bibliographiques) sur le site du CRIIGEN.

Hold-Up : retour sur un chaos (Tprod / Tomawak)

[Note de l’administrateur de ce blog : sortie ce 11 novembre à 11 h du long documentaire (2 h 50 min) de Pierre Barnérias sur ce qui restera sans nul doute pendant longtemps comme le plus grand scandale politico-sanitaire de l’histoire de l’humanité. On notera que le projet, réalisé en financement participatif, a obtenu 914% de l’objectif initial fixé sur Ulule, avec des dons moyens de 35 € de la part de 5432 contributeurs (dont votre serviteur).

C’est très encourageant et devrait faire prendre conscience à chacun que, même avec peu de moyens, un groupe de personnes relativement réduit (qu’est-ce que 5432 individus par rapport à l’enjeu soulevé par cette crise ?) peut faire de grandes choses. La participation à l’effort d’information n’est pas terminée, vous pouvez vous rendre sur Tipeee pour permettre maintenant sa diffusion gratuite et internationale via des traductions dans de nombreuses langues.

Mise à jour du 13 novembre : Tprod a décidé de mettre la version complète en libre accès sur Odyssée (et elle est également disponible sur vimeo pour l’instant, contrairement à ce que je pensais). Prenez le temps de la visionner, en plusieurs fois car elle fait 2 h et 50 min !

Deuxième mise à jour du 13 novembre : panique dans toutes les sphères qui veulent vous empêcher de comprendre, voir ci-dessous. Le film est retiré d’Odyssée, mais évidemment il a entre temps été téléchargé par suffisamment d’utilisateurs pour pouvoir être rediffusé… ci-dessous une version en basse définition sur YouTube. Le documentaire est également téléchargeable en plusieurs définitions sur archive.org.

Mise à jour du 14 novembre : pour ceux qui seraient effrayés par la longueur du documentaire Hold-Up, la vidéo “un vaccin sur la tempe” de Jeffrey Goines, de 12 min et 37 s, est une alternative possible et moins chronophage. Je l’ai rajoutée en fin d’article. Et pour ceux qui préfèrent lire un texte, je conseille celui d’Éric Montana, reprenant cette vidéo, où il est question des 8 critères de torture psychologique selon Biederman.

Mise à jour du 15 novembre : attention ! Toutes les versions du documentaire que l’on peut trouver sur la toile ne correspondent pas à la version définitive (c’est en particulier le cas de la version basse définition sur YouTube reprise ci-dessous). La version définitive est longue de 2 h 50 min et peut être téléchargée ici sur archive.org, ou encore là sur Odyssée. En cas de doute ou de lien brisé, se référer à la page de Tprod qui l’a produit.]


Et pour ceux qui voudraient juste un aperçu avant de se lancer :

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EN VÉRITÉ (épisode 4) : Approches naturelles en danger / la lutte active contre les Fakemed (Thierry Casasnovas)

[Note de l’administrateur de ce blog : dernier épisode de la série, où Thierry Casasnovas élargit le propos aux attaques concertées du lobby pharmaceutique envers les approches alternatives de la médecine, dépeignant un totalitarisme scientiste avançant masqué derrière des prétextes sanitaires.

On notera la splendide inversion accusatoire suivante de la part du “collectif FakeMed” : “Les connaissances scientifiques ne peuvent pas se plier aux intérêts économiques de quelques-uns, surtout si cela implique de tromper les patients et de violer leurs droits.” Ils veulent parler de la propagande sur la dangerosité de l’hydroxychloroquine et de l’interdiction faite aux médecins de l’utiliser pour soigner leurs patients, sans doute ? Ou du scandale absolu de l’autorisation du Roaccutane (isotrétinoïde) dont parle Thierry, une infâme saloperie dont, en tant que patient, j’ai pu observer les effets dans les années 1990 ?

“Il y a des époques où le non-positionnement vaut positionnement”, dit Thierry : je le rejoins tout à fait. Ceux qui n’ont rien dit et rien fait en octobre 1940 en France ne peuvent pas dire qu’ils n’ont rien dit et rien fait, mais qu’ils ont collaboré.]


EN VÉRITÉ (épisodes 2 et 3) :
Manipulation et guerre médiatique /
Débunker les débunkeurs (Thierry Casasnovas)

[Note de l’administrateur de ce blog : après la première vidéo de la série qui exposait les tactiques d’intimidation et de harcèlement employées contre l’association Régénère et son fondateur, Thierry Casasnovas creuse dans ces deux épisodes le “cas” de “L’extracteur” alias Krapo alias Clément Bastie, trentenaire visiblement perturbé qui consacre beaucoup d’énergie à alimenter une chaîne YouTube dont la seule raison d’être est de démolir la réputation de Thierry Casasnovas, voire de le faire passer pour un gourou dangereux ayant de nombreux crimes à son actif.

L’épisode 2 expose qui est “L’extracteur” (un dessinateur trentenaire “prof de SVT en REP+”), quel est son passé, et quels sont ses soutiens ; on y apprendra notamment la grande perméabilité entre “L’extracteur” et différentes associations qui prétendent “lutter contre la haine” ou “lutter contre le conspirationnisme”, et qui dans les faits passent leur temps à entretenir la haine envers certaines personnes au travers de conspirations très organisées. Rien qui étonnera votre serviteur, bien entendu, mais d’aucuns pourraient être surpris d’apprendre (à 1:10:08) que le Mémorial de la Shoah finance, via “Conspiracy Watch“, des publicités sur Google pour diffamer Thierry Casasnovas et le traiter de charlatan. WTF?!?

L’épisode 3 détaille sur quelques exemples les techniques de montage et de manipulation utilisées par Clément Bastie (mais aussi par des “journalistes” qui semblent agir en meute organisée) pour faire croire que Thierry Casasnovas gagne beaucoup d’argent avec ses vidéos (alors que chacun sait qu’une vidéo sur YouTube ne peut en rapporter que si elle contient des publicités, ce qui n’est pas le cas ici), qu’il se contredit, ment comme un arracheur de dents, pousse des malades au suicide ou donne des conseils extrêmement dangereux pour la santé, voire que c’est un affreux misogyne se réjouissant des fausses couches d’une jeune femme. Toute personne ayant l’habitude des techniques audiovisuelles n’y verra là que des montages grossiers (les techniques de ralenti et de superposition de musique angoissante pourront même les faire rire), mais il est utile pour les autres de rappeler que le problème numéro un de notre époque est la croyance dans le discours médiatique.

Une grande partie de nos problèmes actuels se résoudra comme par enchantement lorsque chacun aura compris qu’au delà de son expérience personnelle et d’une application rigoureuse de la raison à quelques données fiables, il ne connaît pas grand-chose : répéter n’est pas savoir, même quand la grande majorité du troupeau répète la même chose.

Remarque : je reproduis sous les vidéos (cliquer sur “continuer la lecture”) les chapitrages disponibles sur YouTube, permettant d’accéder directement aux différentes parties.]


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EN VÉRITÉ (épisode 1) : Le grand renouveau de RGNR (Thierry Casasnovas)

[Note de l’administrateur de ce blog : au moment où le psychopathe de l’Élysée décide d’achever le pays qu’on l’a chargé de détruire (voir ici et également là pour les détails) il est urgent de revenir à une vision de la santé ancrée dans l’expérience et le rationnel, plutôt que dans l’idéologie et l’hystérie.

Comme Thierry commence à l’expliquer dans cette première vidéo, la guerre médiatique envers lui a redoublé de violence (une chaîne YouTube ayant même été créée dans le seul but de lui nuire, ce qui témoigne d’un état d’esprit… “particulier”), pour la simple raison qu’il s’attaque à deux lobbies particulièrement puissants, celui de l’industrie agro-alimentaire et celui de l’industrie pharmaceutique, n’hésitant pas à maintenir l’humanité en situation de maladie et de dépendance pour augmenter leurs profits. Et bien sûr, parce que sa notoriété est maintenant suffisamment importante pour les inquiéter.

Ayant pu assister, au printemps 2018, à un stage d’une semaine organisée par son association à Miramont de Guyenne, j’ai pu constater à quel point les accusations de sectarisme et de charlatanisme que l’on tente de lui coller sont mensongères et calomnieuses. Tous les matins lors de ce stage, Thierry donnait un cours de physiologie humaine basé exclusivement sur l’expérience et les connaissances scientifiques les plus pointues – dont certaines remettent radicalement en cause des dogmes médicaux tenaces, mais c’est le propre de la recherche ! – références bibliographiques à l’appui, dans des journaux internationaux de haut niveau “à comité de lecture”. Même si tout le monde sait aujourd’hui, avec le Lancetgate, que le “prestige” scientifique d’une revue ne saurait en aucun cas tenir lieu de démonstration !

Ayant pu également discuter avec de nombreux participants à ce stage, pour beaucoup “esquintés par la médecine”, une forme de médecine particulièrement ignorante et sectaire qui finit par renforcer la maladie ou en créer de nouvelles à force de vouloir faire disparaître les symptômes (qui sont des signaux d’alarme), j’invite chacun à prendre connaissance de ces témoignages, simples et humains mais aussi très révélateurs sur l’impasse d’une médecine scientiste (et a-scientifique) en regardant cette vidéo.

Remarque : je reproduis sous la vidéo (cliquer sur “continuer la lecture”) le chapitrage disponible sur YouTube, permettant d’accéder directement aux différentes parties de la vidéo. On s’attardera particulièrement, à partir de 24:05, sur les méthodes journalistiques de dénonciation calomnieuse, s’abstenant de tout correctif lorsque que la justice donne intégralement raison à l’intéressé, quatre ans plus tard…]


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Le cœur du problème (bis)

[Note de l’administrateur de ce blog : extrait de l’émission “Le grand Oral” avec Christian Perronne le 31 août 2020 sur RMC. L’Organisation Mondiale de la Santé mérite-t-elle encore son nom ?]


Le cœur du problème

[Note de l’administrateur de ce blog : en moins de deux minutes, l’entrepreneur Marc Simoncini, fondateur (entre autres) du site de rencontres Meetic, nous fait comprendre à partir de son expérience d’investisseur pour l’étude SU.VI.MAX pourquoi il n’est pas raisonnable de s’en remettre à de grandes entreprises capitalistes ayant le profit comme seul horizon pour améliorer notre santé.

Extrait de l’émission “Qui veut être mon associé ?” sur M6.]


(source : chaîne YouTube MAD)

Les Pieds nickelés font de la science (IHU Méditerranée-Infection) + bonus UPR : étude du Lancet probablement
totalement falsifiée

[Note de l’administrateur de ce blog : qu’est-ce qu’on se marre ! L’étude du Lancet était censée remettre à leur place de dangereux apprentis-sorciers (voire charlatans) tels que le Pr Raoult qui feraient courir des risques mortels à leurs patients en leur prescrivant de l’hydroxychloroquine et de l’azithromycine, elle explose en plein vol et vire au mauvais gag avec une société à l’origine de la prouesse informatique (Surgisphere) qui a tout de la coquille vide reposant entièrement sur les talents de bonimenteur de foire de son PDG, Sapan Desai. Cerise pourrie sur le pile of shit : la directrice des ventes de cette très petite société, Ariane Anderson, se trouve être une ancienne actrice porno (attention lien compromettant), connue sous le pseudo de Skye Daniels. N’en jetez plus !

Mais comme il faut quand même savoir rester sérieux, on ne se contentera pas de rigoler grassement sur un PDG — pardon, CEO — qui n’a rien trouvé de mieux pour asseoir sa crédibilité que de recruter une ex-star du X (mais peut-être a-t-elle aussi une fonction récréative au sein de l’entreprise ?) et on lira avec attention l’analyse d’un statisticien australien traduite par l’UPR, qui nous rappelle une fois de plus que même pour une start-up, produire de la richesse à partir de rien, ça finit toujours en gag.

Mise à jour 20h58 : Et ce soir le sketch continue puisque l’OMS annonce la reprise des essais cliniques sur l’hydroxychloroquine…

Mise à jour 5 juin : Et le feuilleton continue encore avec la rétractation de 3 des 4 auteurs, qui s’avouent incapables de vérifier les données… il ne reste plus que Sapan Desai, le fondateur de Surgisphere, pour tenter de sauver le navire en perdition !]



(article UPR)

Selon l’analyse très minutieuse d’un statisticien australien, L’ÉTUDE PUBLIÉE PAR LE “LANCET” CONTRE L’HYDROXYCHLOROQUINE EST PROBABLEMENT ENTIÈREMENT FALSIFIÉE.

Nous publions ci-dessous la traduction (avec les réserves d’usage) des principaux extraits d’une analyse longue et minutieuse, réalisée par un blogueur australien, de l’étude publiée le 22 mai 2020 par le Lancet contre l’utilisation de l’hydroxychloroquine contre la Covid-19.

Cette analyse a été publiée hier, 30 mai 2020, par Peter Ellis, un statisticien professionnel australien, sur son blog qui a été récompensé comme faisant partie des 50 meilleurs blogs de statisticiens au monde.

Peter Ellis analyse de façon très précise les conditions absolument nécessaires pour qu’une étude scientifique puisse récolter plus de 96 000 dossiers médicaux dans 671 hôpitaux à travers le monde, et en un temps limité.

Comme c’est l’une de ses spécialités professionnelles, il attire l’attention du lecteur sur toute une série de conditions – de nature juridique, financière, organisationnelle, temporelle, etc. – qu’il serait impératif de réunir pour mener à bien une semblable opération qui n’a aucun précédent.

Or l’auteur, qui a étudié de très près la société Surgisphere qui est censée avoir procédé à cette opération en quelques semaines, grâce à un prétendu logiciel de traitement de données QuartzClinical, est formel : il s’agit d’une minuscule start-up – de 4 ou 5 salariés – qui n’a ni les ressources financières, ni la notoriété, ni les nombreuses équipes pluridisciplinaires, ni les références, ni aucune preuve de quelque nature que ce soit, qui permettrait de penser de façon rationnelle qu’elle a pu réaliser un pareil tour de force.

L’auteur – qui pointe aussi rapidement les incohérences et les impossibilités de l’article publié par le Lancet et qui découvre au passage que le PDG de Surgisphere, Sapan Desai, n’a pas hésité à se prévaloir de prétendus prix scientifiques qu’il n’a jamais obtenus – en conclut que l’explication la plus probable de l’étude publiée par The Lancet est qu’il s’agit d’une escroquerie et que les données statistiques qu’elle invoque sont entièrement inventées.

Si tel se révèle bien être le cas, il s’agit d’un scandale mondial.

Continuer la lecture sur le site de l’UPR →

Hydroxychloroquine : The Lancet dans de sales draps… (Anthropo-logiques)

Mortalité hebdomadaire en Suisse, 2015-2020. Malgré les efforts des autorités helvétiques pour mal gérer la crise, on peine à distinguer la catastrophe Covid-19 de, par exemple, la grippe saisonnière 2016-2017 (qui occasionna en France une surmortalité d'environ 21 000 décès).

Mortalité hebdomadaire en Suisse, 2015-2020.
Malgré les efforts des autorités helvétiques pour mal gérer la crise, on peine à distinguer la catastrophe Covid-19 de, par exemple, la grippe saisonnière 2016-2017 (qui occasionna en France une surmortalité d’environ 21 000 décès contre un peu plus de 28 000 à ce jour pour la Covid-19).

[Note (longue) de l’administrateur de ce blog : en lançant une offensive à coups de millions de dollars, Big Pharma pensait avoir la peau de l’hydroxychloroquine, ce médicament gênant car ne rapportant rien. Grossière erreur : la fameuse étude du Lancet, dont on n’arrête pas d’entendre parler depuis quelques jours, et qui a même poussé Olivier Véran — dont le ministère avait qualifié les propos du Pr Raoult de “fake news” avant de se rétracter — à interdire le 27 mai par décret la prescription d’hydroxychloroquine pour le traitement de la Covid-19, s’avère finalement une fraude des plus grossières, dont les auteurs — ayant comme il se doit des conflits d’intérêts majeurs avec l’industrie pharmaceutique — n’ont même pas pris soin de masquer de façon crédible leurs manipulations. Ce qui pourra rappeler quelque chose, dans un autre domaine, aux lecteurs de ce blog.

Comme il ne cesse de le faire depuis le début de cette crise sanitaire, Jean-Dominique Michel a publié le 24 mai un article montrant une fois de plus la profondeur de la corruption dans le monde médical, presque entièrement sous le contrôle de grands groupes pharmaceutiques — ce que le rédacteur en chef du Lancet lui-même a déjà déploré. Mais cette analyse, qui en d’autres temps serait restée confinée au petit milieu des anthropologues médicaux, est aujourd’hui largement partagée par beaucoup de praticiens, et diffusée même dans de “grands” media, comme par exemple l’a fait l’ancien ministre de la santé Philippe Douste-Blazy sur BFM TV (voir vidéo ci-dessous). Celui-ci a formulé les bonnes remarques et posé les bonnes questions : comment peut-on encore guérir lorsque ceux qui ont le pouvoir pensent d’abord dollars là où le médecin fidèle à sa mission pense d’abord traitement et soin des malades ?

C’est bien le problème central en effet, et dont il faudra examiner sans tabou toutes les implications ; chasser les marchands du temple reste un programme d’actualité, même et surtout quand ce temple s’appelle le corps humain. Le “Big Data” dont l’étude du Lancet est un cas typique présente pour l’industrie pharmaceutique deux avantages : nécessitant beaucoup de moyens, ce genre d’études n’est par définition accessible qu’à ceux qui en ont, et permet ainsi d’interdire la contestation à la petite recherche indépendante ; en outre, la simple vérification des données est concrètement impossible, ce qui en fait une version moderne et scientiste, mais pas épistémologiquement supérieure pour autant, de la bonne vieille boule de cristal. Quand la fraude est trop grossière, ce qui est le cas ici, cela se voit quand même… mais pour le reste des études, menées dans une moindre urgence ?

Il faudra aussi s’intéresser aux auto-proclamés “chasseurs de pseudo-sciences”, comme le faux esprit critique et vrai dogmatique scientiste Thomas C. Durand — alias Acermendax — qui a traité Jean-Dominique Michel d’“imposteur de l’anthropologie médicale” et cru pouvoir régler son compte au professeur Raoult du haut de sa profonde ignorance de ce qu’est réellement la médecine (qui ne se fonde pas sur les statistiques, mais sur l’observation clinique et l’empirisme). Mais dans ce cas comme dans d’autres du même acabit, et contrairement au Lancet, il n’est sans doute pas nécessaire de chercher d’où vient le financement corrupteur : il s’agit plus probablement d’un enfermement de bonne foi dans une pseudo-rigueur scientifique qui n’est que la conséquence d’un formatage mental particulier. Car en développant, parfois à outrance, les outils techniques — en particulier mathématiques — pour la résolution des problèmes, la science arrive aussi à produire de nouvelles formes d’ignorance au lieu de la faire reculer.

En complément de la lecture du blog de Jean-Dominique Michel, j’invite donc chacun à écouter cette entrevue avec Philippe Douste-Blazy du 23 mai sur BFM TV, ainsi qu’une autre parue sur RT France le 26 mai où Alain Houpert, radiologue, fait à peu près le même constat.

Réjouissons-nous, malgré tout, des aspects positifs de cette crise sanitaire : un discours qui était auparavant limité à quelques lanceurs d’alerte rapidement traités de “complotistes” — je pense en particulier au professeur Gherardi ou au docteur de Lorgeril1 dans le domaine des vaccins — devient maintenant largement partagé et discuté, même si la Grosse Bertha médiatique tente encore de pilonner la vérité… ce qui aura pour conséquence inéluctable de détruire le peu de crédibilité qui lui restait.]


Les revues médicales nagent en pleine schizophrénie : d’un côté, elles font acte de contrition depuis plusieurs années quant à la médiocre qualité des recherches qu’elles publient (souvent jusqu’à en être fausses) et reconnaissent le rôle qu’elles-mêmes jouent dans ce préoccupant état de fait. Et de l’autre, elles récidivent à la première occasion, d’une manière si grossière qu’elles en viennent à se mettre, comme The Lancet actuellement, dans de sales draps. Politics make strange bedfellows disent les Anglais avec leur sens imparable de l’observation et leur humour dévastateur…

En ce qui concerne l’hydroxychloroquine, franchement, je crois que nous en avons tous un peu marre. Nous sommes actuellement dans une situation où toute certitude raisonnable est hors d’atteinte : études et contre-études se succèdent, chaque “camp” réagissant à celles qui servent sa cause comme des supporters d’un club de foot à un but marqué par leur équipe et incriminant l’arbitre à chaque but encaissé…  tout ceci ne ressemblant plus beaucoup à de la science.

Chaque camp accuse l’autre de partialité voire de tricherie, notre bonne presse suisse (toujours inféodée aux intérêts dominants) ne parle que des études concluant à une absence d’efficacité du remède et une chienne n’y reconnaîtrait pas ses petits.

Tout ceci démontre, si besoin était, que nous avons perdu la capacité de la controverse intelligente : comme l’affirme avec beaucoup de finesse Arnaud Stimec, professeur à Sciences Po (Rennes), spécialiste en gestion des conflits et médiation, les désaccords et les points de vue divergents sont naturels, inévitables… et potentiellement féconds si on sait les rendre tels.

Comme j’annonçais que ce serait le cas dès début avril, nous pataugeons désormais hélas dans les scories et les dérives de la “recherche scientifique” médicale, qui permet de confusionner à l’infini et de manière stérilisante une vraie question de recherche. Qu’en plus de deux mois et demi aucun essai clinique intègre, impartial, et indiscutable n’ait été produit laisse entrevoir quelque chose de la religiosité qui aura prévalu au débat… et de l’évidente absence de volonté réelle à établir des données probantes de la part des autorités sanitaires et scientifiques.

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et écouter en complément :

Pourquoi je remets en cause l'étude du Lancet

Publiée par Philippe Douste-Blazy sur Samedi 23 mai 2020

 

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