[Note de l’administrateur de ce blog : après la première vidéo de la série qui exposait les tactiques d’intimidation et de harcèlement employées contre l’association Régénère et son fondateur, Thierry Casasnovas creuse dans ces deux épisodes le “cas” de “L’extracteur” alias Krapo alias Clément Bastie, trentenaire visiblement perturbé qui consacre beaucoup d’énergie à alimenter une chaîne YouTube dont la seule raison d’être est de démolir la réputation de Thierry Casasnovas, voire de le faire passer pour un gourou dangereux ayant de nombreux crimes à son actif.
L’épisode 2 expose qui est “L’extracteur” (un dessinateur trentenaire “prof de SVT en REP+”), quel est son passé, et quels sont ses soutiens ; on y apprendra notamment la grande perméabilité entre “L’extracteur” et différentes associations qui prétendent “lutter contre la haine” ou “lutter contre le conspirationnisme”, et qui dans les faits passent leur temps à entretenir la haine envers certaines personnes au travers de conspirations très organisées. Rien qui étonnera votre serviteur, bien entendu, mais d’aucuns pourraient être surpris d’apprendre (à 1:10:08) que le Mémorial de la Shoah finance, via “Conspiracy Watch“, des publicités sur Google pour diffamer Thierry Casasnovas et le traiter de charlatan. WTF?!?
L’épisode 3 détaille sur quelques exemples les techniques de montage et de manipulation utilisées par Clément Bastie (mais aussi par des “journalistes” qui semblent agir en meute organisée) pour faire croire que Thierry Casasnovas gagne beaucoup d’argent avec ses vidéos (alors que chacun sait qu’une vidéo sur YouTube ne peut en rapporter que si elle contient des publicités, ce qui n’est pas le cas ici), qu’il se contredit, ment comme un arracheur de dents, pousse des malades au suicide ou donne des conseils extrêmement dangereux pour la santé, voire que c’est un affreux misogyne se réjouissant des fausses couches d’une jeune femme. Toute personne ayant l’habitude des techniques audiovisuelles n’y verra là que des montages grossiers (les techniques de ralenti et de superposition de musique angoissante pourront même les faire rire), mais il est utile pour les autres de rappeler que le problème numéro un de notre époque est la croyance dans le discours médiatique.
Une grande partie de nos problèmes actuels se résoudra comme par enchantement lorsque chacun aura compris qu’au delà de son expérience personnelle et d’une application rigoureuse de la raison à quelques données fiables, il ne connaît pas grand-chose : répéter n’est pas savoir, même quand la grande majorité du troupeau répète la même chose.
Remarque : je reproduis sous les vidéos (cliquer sur “continuer la lecture”) les chapitrages disponibles sur YouTube, permettant d’accéder directement aux différentes parties.]