[Note de l’administrateur de ce blog : nous avons déjà vu que le Code de Nuremberg énumérait des conditions à respecter pour que des expériences médicales sur des êtres humains soient moralement acceptables. Parmi celles-ci, la deuxième stipule que “L’expérience doit être telle qu’elle produise des résultats avantageux pour le bien de la société, impossibles à obtenir par d’autres méthodes ou moyens d’étude, et pas aléatoires ou superflus par nature”.
On comprend donc la nécessité, pour les promoteurs de remèdes chers, inefficaces et dangereux ou de vaccins “révolutionnaires”, de démolir la réputation de traitements efficaces et éprouvés s’ils ne veulent pas finir par être comparés à des Mengele. Dans l’article suivant, des chercheurs turcs montrent pourtant que même de simples compléments alimentaires (la quercétine et la vitamine C) semblent avoir un effet protecteur sur la COVID-19 aussi important que celui annoncé pour les premiers vaccins… avec évidemment beaucoup moins de risques.
On rappellera certes que The Lancet, qui publie cet article en “preprint” pour l’instant, s’est distingué dans la crise du couillonavirus par un “Lancetgate” retentissant, démontrant par l’absurde qu’il serait déraisonnable de croire sur paroles tout ce qu’il publie. Mais il serait tout aussi déraisonnable de faire l’inverse, et lorsqu’une piste intéressante est lancée, c’est à la communauté scientifique de la mettre à l’épreuve de façon méthodique.
Si ces informations réjouissantes sont confirmées, et si les “autorités” veulent vraiment notre bien, elles sauteront sur l’occasion pour diminuer la TVA sur les câpres, la livèche, le piment, le sureau et le chocolat noirs (riches en quercétine), ainsi que sur les aliments riches en vitamine C, tout en faisant une petite campagne de publicité sur ces sources naturelles. Peut-être même pourront-elles financer, pour un coût modeste, une campagne de distribution gratuite de compléments alimentaires.
Pour l’instant, le premier sinistre Jean Castex annonce que la France, pays de 67 millions d’habitants, a précommandé de quoi vacciner 100 millions de personnes.]
Cher(e) ami(e) de la Santé,
Début novembre, le laboratoire Pfizer annonce un vaccin anti-coronavirus efficace à 90 %.
C’est l’enthousiasme général, les Bourses du monde entier montent en flèche.
Quelques jours après, la start-up Moderna annonce un vaccin efficace à 94,5 %.
A nouveau, les cours de Bourse s’enflamment.
Pfizer surenchérit alors en déclarant que, finalement, son vaccin est efficace à 95 % !
A peu près au même moment, le 16 novembre, il s’est produit quelque chose d’assez extraordinaire, passé totalement inaperçu.
Une équipe de chercheurs turcs publie une étude sidérante, en preprint, sur le site de The Lancet.
Eux aussi auraient trouvé une sorte de « vaccin » préventif contre le coronavirus, efficace lui aussi à plus de 90 %.
Mais la solution turque est très différente des vaccins de Pfizer, Moderna ou Sanofi :
Elle n’a pas coûté des milliards au contribuable pour l’inventer : en fait, elle a coûté zéro euro à mettre au point, car on la connaît depuis des dizaines d’années ;
Elle n’a pas besoin d’être injectée, et encore moins conservée dans un frigo à -70 degrés, ni même à -20 degrés : c’est une simple pilule à avaler ;
Elle ne cause strictement aucun effet indésirable, et personne ne s’inquiète de ses répercussions sur le système immunitaire ou le patrimoine génétique, contrairement aux vaccins à ARN messager en préparation ;
Elle est distribuable immédiatement à la totalité de la population mondiale, pour un coût minime, alors que les nouveaux vaccins ne seront pas disponibles massivement avant 6 ou 12 mois.
Sur le papier, cette solution turque est donc largement supérieure aux « vrais » vaccins qu’on nous annonce.
Mais bizarrement elle n’a fait l’objet d’aucun grand titre médiatique.
Les cours de Bourse n’ont pas bougé d’un pouce lors de la publication de ces résultats.
Car ce n’est pas un vaccin high-tech, mais un simple complément alimentaire, contenant trois molécules naturelles : la quercétine, la vitamine C et la bromélaïne.
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