Note d’expertise grand public sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM (Dr Christian Vélot, CRIIGEN)

[Note de l’administrateur de ce blog : au moment où toutes les “instances sanitaires” vous expliquent que rien ne pourra revenir à la normale sans vaccination massive, et où les annonces tonitruantes des différents laboratoires se succèdent au mépris des règles les plus élémentaires de la prudence scientifique, il est bon de revenir aux fondamentaux et de faire l’effort de s’informer de façon objective.

J’avais déjà rappelé ici, via un cours de vaccinologie adressé à des médecins, que la science vaccinale était loin, dans la réalité, de la haute technologie parfaitement maîtrisée présentée dans les discours médiatiques et les brochures sur papier glacé des laboratoires. J’avais également relaté tous les obstacles rencontrés par un grand chercheur français pour faire reconnaître ses travaux, dont il pensait naïvement qu’ils seraient accueillis avec enthousiasme, lorsqu’il avait élucidé le mécanisme qui produisait chez certaines personnes de graves effets secondaires à cause de l’aluminium contenu dans beaucoup de vaccins.

Ceci devrait déjà conduire à la plus extrême prudence lorsqu’on parle de vacciner en masse une population au moyen de vaccins développés en quelques mois, alors que l’échelle de temps habituelle pour de telles découvertes est plutôt la décennie. Mais lorsqu’il s’agit d’une technologie entièrement nouvelle… le but recherché est-il vraiment la santé humaine ? Surtout lorsqu’il s’agit d’une maladie à la mortalité très faible1 et pour laquelle il existe des traitements éprouvés et peu chers ?

Mais peut-être est-ce justement là le “problème”…]


Le règlement européen 2020/1043 vient modifier la règlementation OGM. Il permet à tout essai clinique de médicaments contenant des OGM, ou consistant en de tels organismes destinés à traiter ou à prévenir la Covid-19, d’échapper aux évaluations préalables sur la santé et l’environnement. Six associations et groupes de citoyens, représentés par Maitre TUMERELLE, ont déposé un recours en annulation de ce règlement. En appui à cette procédure, le Dr VÉLOT, généticien moléculaire à l’Université-Paris-Saclay et Président du Conseil scientifique du CRIIGEN, a rédigé un rapport d’expertise grand public sur les risques sanitaires et environnementaux que peuvent présenter les candidats vaccins contre la Covid-19 actuellement en cours d’essais cliniques. Il montre ainsi en quoi ce règlement européen est dangereux. Nous tenons à préciser qu’il ne s’agit là d’aucune prise de position anti ou pro-vaccinale, mais simplement d’une analyse objective des risques en fonction des différents types de vaccins à l’étude. Au regard d’une future campagne de vaccination qui se veut massive et mondiale, une telle carence d’évaluation est en total désaccord avec le principe de précaution qui devrait s’imposer en termes de santé publique.

Télécharger le rapport (10 pages + références bibliographiques) sur le site du CRIIGEN.

Onze bébés MORTS car leurs mamans ont pris du Viagra® (AISNSH)

[Note de l’administrateur de ce blog : je diffuse cet article qui date du 10 septembre 2018, d’une lettre d’information de l’Association Internationale pour une Santé Naturelle, Scientifique et Humaniste, car il constitue un bon exemple de la dangerosité de certaines pratiques médicales, en particulier en matière de recherche.

Au moment où certains “médecins” voudraient imposer de force un vaccin pour une maladie émergente qu’on commence tout juste à connaître, tout en continuant inlassablement à désinformer de façon grossière sur les traitements connus et disponibles à peu de frais pour cette maladie, c’est un drame à méditer.]


Notre système médical est devenu fou.

Dans le cadre d’une « étude scientifique », des médecins ont prescrit du V..gra (la pilule bleue qui facilite l’érection) à des femmes enceintes.

Le résultat est tombé, terrible, fin juillet 2018 : cette « expérimentation » a causé la mort de 11 bébés.1

Ces 11 bébés seraient encore en vie si leur maman n’avait pas avalé du V (je suis obligé d’utiliser cette initiale plutôt que le nom du médicament, sinon mon email risque d’être classé comme « spam » et ne vous atteindra jamais).

Si je vous parle de cette tragédie, c’est qu’elle est hélas très révélatrice.

Il ne s’agit pas d’un « malheureux accident », causé par les « besoins de la recherche scientifique ».

Ces 11 bébés sont morts sur l’autel d’un système à la dérive, centré sur la recherche du profit (Big Pharma) et aggravé par l’illusion de « toute-puissance » de la médecine moderne.

Vous allez voir pourquoi :

Ce qui s’est vraiment passé dans cette étude tragique

L’étude a été lancée en 2015, au Pays-Bas.

183 femmes enceintes ont été « enrôlées » par des chercheurs du CHU d’Amsterdam.

Ces femmes avaient toutes une grossesse difficile : leurs bébés à naître avaient un grave retard de croissance.

Alors les chercheurs ont voulu voir si le V pouvait stimuler leur croissance.

Comme vous allez le comprendre, c’était une idée d’une imprudence criminelle.

Mais sur le plan strictement médical, l’hypothèse n’était pas absurde.

Le V agit sur les hommes en dilatant les vaisseaux sanguins : cela améliore la circulation du sang… et facilite le « garde-à-vous » de leur organe préféré, qui se gonfle de sang.

Pour les femmes enceintes, l’objectif était similaire : le V (sildénafil) était censé améliorer le débit sanguin vers le placenta, et apporter au bébé les nutriments et l’oxygène dont il semblait cruellement manquer.

Continuer la lecture sur le site de l’Association Internationale pour une Santé Naturelle, Scientifique et Humaniste →

Et pour ceux qui pensent que la science des vaccins est une discipline très bien contrôlée, voir les propos d’un vaccinologue et consultant virologiste à l’OMS, qui s’adresse à des médecins dans le cadre d’un cours qui leur est destiné.