Témoignage du Dr Hertoghe, victime du vaccin Moderna : accident vasculaire cérébral dans le cervelet

[Note de l’administrateur de ce blog : répétez après moi “les vaccins sont sûrs et efficaces”. Les vaccins sont sûrs et efficaces. Les vaccins sont sûrs…]


Témoignage sur des effets négatifs importants du vaccin Moderna : accident vasculaire cérébral dans le cervelet

• En février 2021, j’ai reçu une injection du vaccin Moderna en fin d’après-midi. Quatre jours et demi après l’injection de vaccin, tôt matin, pendant six heures, j’ai, à l’âge de 63 ans, eu des troubles importants de la parole (dysarthrie) constatés par au moins une vingtaine de personnes. Le surlendemain, un accident vasculaire cérébral (AVC, une zone de nécrose) dans le cervelet a été visualisé à la résonnance magnétique (IRM), compatible avec mes troubles de dysarthrie.

• Une épreuve d’effort sur la bicyclette une semaine après l’épisode de dysarthrie montrait à sa fin une ischémie des ongles, indiquant une probabilité de microthromboses dans les poumons. Si des thromboses sont présentes dans le cerveau et les poumons, la possibilité qu’il y ait eu d’autres thromboses dans d’autres organes est élevée.

• Les autres investigations (CT scan du cerveau, doppler des artères carotides, Holter de 24 heures de la tension artérielle, Holter de 24 heures du rythme cardiaque, échographie du cœur, recherche de varices dans les jambes, etc.) n’ont rien montré d’anormal. Au contraire, ils ont montré un état vasculaire (des vaisseaux sanguins) proche de l’excellence tant dans le cerveau que dans les autres parties du corps investiguées : aucune sténose (rétrécissement) des artères, aucune plaque d’athérome, une tension artérielle et un rythme cardiaque normaux. La matière blanche du cerveau ne montrait aucune saleté, contrairement à ce qui est normalement le cas chez des personnes de mon âge. Rien qui pouvait expliquer cet AVC, hormis le vaccin.

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Covid 19 : vaccins et autopsies – Dr. Ryan Cole

[Note de l’administrateur de ce blog : on ne peut plus dire que l’on ne connaît pas les dangers de la protéine spike. Combien de victimes innocentes avant la fin de l’expérience ? Les sacrifices humains sont-ils encore au programme des civilisations se considérant les plus avancées ?]


Pas de paracétamol dans la Covid, erreur thérapeutique
majeure ! (Jean Umber, ENS pour l’AIMSIB)

[Note de l’administrateur de ce blog : aujourd’hui, ce sont les sciences dures à la rescousse des cerveaux mous. Quoi que l’on puisse penser du positivisme d’Auguste Comte, sa classification des sciences reste d’actualité, même et surtout si elle prend à rebrousse-poil tous les chasseurs de complotistes vaseux et les autoproclamés “fact-checkers” qui vérifient surtout la conformité des discours au dogme oligarchique. Et même si René Thom aimait à dire que part rapport aux mathématiques, “ça commence à branler sérieusement dans le manche”, la chimie est quand même à des années-lumière du marketing gouvernemental pour collabos demeurés en matière de puissance de démonstration.

Accrochez-vous. Remarque pour les fainéants : même sans notions de chimie, il est assez facile de comprendre que le paracétamol est contre-indiqué pour… à peu près toutes les infections, dans la mesure où il fait baisser la fièvre et que la fièvre est un symptôme traduisant une lutte du corps contre cette même infection.

Les esprits complotistes remarqueront aussi que le paracétamol (en vente libre) est bien plus dangereux que l’hydroxychloroquine (qui fut en vente libre jusqu’à l’arrêté du 13 janvier 2020 signé par Jérôme Salomon) : il est bien plus facile de se tuer avec.]


Attention, cet article est complexe mais pourtant absolument fondamental pour qui souhaite comprendre que la médecine ne se décrète pas sur les bancs de l’Assemblée Nationale. Non, en cas de Covid, le paracétamol ne doit pas être utilisé « en attendant d’aller mieux », car vous « irez » en vous aggravant. Merci au remarquable Jean Umber, ancien chimiste à l’ENS St Cloud, de nous en démontrer factuellement le mécanisme. On précise immédiatement que les références constantes à wikipédia sont intentionnelles, ce site démontre un sérieux sans faille en matière de chimie. Alors pourquoi l’absurde antienne gouvernementale Doliprane-domicile-dodo peut mener à … Décès ? Bonne lecture…

Introduction

A la lecture de l’article du 6 janvier 2021 publié par France-Soir 1: « Le paracétamol aurait-il tué ? » , j’ai voulu approfondir mes propres connaissances à son sujet, et essayer d’étayer de manière plus rationnelle leur thèse, qui, à mon avis, n’allait pas jusqu’au bout des questions posées. Mon étude porte à penser que la paracétamol a favorisé l’apparition de difficultés respiratoires au bout du temps nécessaire pour que la quantité de glutathion cellulaire devienne insuffisante pour gérer le métabolisme d’absorption de l’oxygène. Tout ce qui suit étant connu dès 2018, on peut se demander quel a été le motif (obscur) de l’ordre de prescription du paracétamol, exclusivement à tout autre AINS.

Continuer la lecture sur le site de l’Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante →

 

Que savait la FDA des vaccins qu’elle vient d’autoriser ?

Le 23 août 2021, la Food and Drug Administration (FDA), autorité de santé fédérale des États-Unis, a approuvé officiellement pour les personnes de 16 ans et plus – à moins que l’histoire soit plus complexe qu’il n’y paraît, ce que Robert Malone semble nous suggérer – le vaccin Comirnaty de Pfizer / BioNTech, qui jusque là ne bénéficiait que d’une autorisation d’utilisation d’urgance. Cette autorisation ouvre notamment la voie à de possibles obligations de vaccination. Après une telle décision, deux réactions sont possibles :

  • celle des éternels confiants : “si la FDA autorise ce vaccin, c’est qu’il est sûr et efficace” ;
  • celle des indécrottables complotistes : “c’est bien la preuve que la FDA est corrompue”.

Laquelle est la plus réaliste ?

Le 22 octobre 2020, donc avant l’autorisation d’utilisation d’urgence émise précédemment, se tenait une réunion du Comité consultatif sur les vaccins et les produits biologiques connexes (Vaccines and Related Biological Products Advisory Committee). Lors de cette réunion une présentation fut faite par Steven Anderson, directeur du Bureau de biostatistiques et d’épidémiologie au Centre d’évaluation et de recherche sur les produits biologiques (Center for Biologics Evaluation and Research, CBER).

La vidéo de cette présentation peut être consultée ci-dessous :

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L’affaire Wakefield : où est la vraie fraude ?
(Massimo Mazzucco)

[Note de l’administrateur de ce blog : vous n’avez pas été suffisamment dégoûté par le lynchage médiatique de Thierry Casasnovas détaillé par François Belliot ? Vous avez déjà entendu parler du Dr Wakefield, l’auteur principal de l’étude rétractée par le Lancet qui avait tenté de faire croire à un lien entre vaccination ROR (rougeole-oreillons-rubéole) et autisme en manipulant des données ? Voire de s’enrichir personnellement grâce à un brevet sur un vaccin concurrent ?

Dans ce cas cette vidéo d’une demi-heure est faite pour vous. Quand on pense avoir atteint le fond de l’ignominie, on se rend compte qu’il y a encore des réserves. Le virus le plus dangereux, c’est le mensonge.

La publication de 1998 ayant fait scandale peut encore être téléchargée sur le site du Lancet, ou encore ici pour une lecture plus facile sans le gribouillage rouge.]


Témoignage d’un médecin belge sur les effets secondaires des “vaccins” anti-COVID

[Note de l’administrateur de ce blog : la médecine de terrain face aux analystes de bureau et leurs relais médiatiques, ou l’éternel retour du concret.

Ce témoignage est-il contradictoire avec l’article “rassurant” que je viens de traduire ? Absolument pas, et il est important de le reconnaître pour comprendre les manipulations en cours.]


(Source : facebook, dimanche 22 août)

Données israéliennes : comment l’efficacité du vaccin
contre les formes graves peut-elle être élevée quand
60 % des hospitalisés sont vaccinés ?

Je l’avais déjà évoqué sur ce blog parce que Didier Raoult l’avait fait dans une de ses vidéos, le paradoxe de Simpson est un piège statistique qui peut survenir lorsque des données présentent une distribution particulière telle que celle représentée schématiquement à gauche. Généralement, toute recherche de causalité entre deux phénomènes est précédée d’une recherche de corrélation car, si une corrélation n’implique pas un lien de causalité, en revanche une absence de corrélation implique l’absence de relation de cause à effet.

Pour ce faire, un des moyens les plus simples consiste à représenter sur un graphe une variable en fonction de l’autre et de constater si le nuage de points formé révèle une corrélation (s’il est allongé suivant une diagonale ascendante ou descendante) ou non. Le cas le plus flagrant étant bien sûr lorsque les points s’alignent parfaitement suivant une courbe (qui peut être une droite). Mais il arrive que le nuage de points présente deux tendances, parfois même opposées, suivant qu’on le considère globalement ou en le décomposant en deux sous-ensembles (illustration de gauche).

Parce que nombre d’arguments sommaires contre les “vaccins” anti-COVID tombent dans ce piège, il est important de l’expliquer – ce qui ne signifie pas qu’il est nécessaire et “scientifique” de se prononcer en faveur de cette vaccination, ni même d’admettre une bonne fois pour toutes son efficacité ou son rapport bénéfice / risque favorable. Comme l’a montré Robert Malone (c’est lui qui a attiré mon attention sur l’article dont je vous propose la traduction ci-dessous), il est tout à fait possible – et même parfaitement logique – de dénoncer avec force les méthodes d’apprenti-sorcier imposées pour (prétendument) lutter contre une pandémie tout en dénonçant parallèlement des arguments faibles voire faux utilisés par certaines critiques.

Voici donc la traduction d’un article de Jeffrey Morris qui, s’il n’aborde qu’un aspect du problème – ce qui est nettement insuffisant pour justifier une vaccination massive de la population – le fait correctement et de façon pédagogique. Avis à ceux qui penseraient que cet article est une invitation à baisser les armes contre une campagne de vaccination “non obligatoire” mais imposée de façon particulièrement vicieuse : ils n’ont rien compris, il s’agit au contraire de laisser tomber les pistolets à bouchon et de préférer l’artillerie lourde. Qui se trouve ailleurs que dans cet article1, certes, mais chaque chose en son temps.

Remarque : la traduction française de SARS-CoV-2 (severe acute respiratory syndrome coronavirus 2) est parfois SRAS-CoV-2 (syndrome respiratoire aigu sévère, coronavirus 2). Mais elle est bancale, une traduction “complète” devant être CoV-2-SRAS (coronavirus 2 d’un syndrome respiratoire aigu sévère), c’est pourquoi j’ai jusqu’à présent gardé le terme anglais dans les articles, et continuerai à le faire.

——— Début de la traduction ———

Une recrudescence du variant Delta, plus contagieux, dans des pays fortement vaccinés, a donné lieu à de nombreuses critiques selon lesquelles les vaccins ne sont pas efficaces contre le variant Delta ou que l’efficacité du vaccin diminue après 4 à 6 mois. Cette situation a alimenté un sentiment anti-vaccin, suggérant que les vaccins ne fonctionnent pas, et a provoqué un grand stress chez les personnes vaccinées qui ne sont pas aussi protégées qu’elles le pensaient.

Dans ce billet, je me concentrerai sur l’efficacité des vaccins2 par rapport à la maladie grave ou l’hospitalisation, qui est le facteur clé pour la santé publique. Je ne traiterai pas ici de l’efficacité des vaccins par rapport à la maladie symptomatique ou asymptomatique [NdT : une maladie sans symptôme est-elle encore une maladie ?] – cela nécessite des nuances que je garderai pour un prochain billet.

Un résultat inquiétant qui a été repris à plusieurs endroits est qu’une forte proportion des patients hospitalisés pour la COVID-19 sont vaccinés. Par exemple, nous pouvons voir à partir des données du gouvernement israélien que près de 60 % de tous les patients actuellement hospitalisés pour la COVID-19 (au 15 août 2021) sont vaccinés (les données téléchargées et les détails se trouvent au bas de cet article). Sur les 515 patients actuellement hospitalisés pour des cas graves en Israël, 301 (58,4 %) d’entre eux étaient entièrement vaccinés, c’est-à-dire qu’ils avaient reçu deux doses du vaccin Pfizer.

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Comment rester dans le noir et tomber dans des cercles
vicieux conduit inévitablement à des décisions erronées

Geert Vanden Bossche est un spécialiste de virologie originaire de Belgique. Selon la notive biographique de son site internet personnel, “il a obtenu son diplôme de vétérinaire à l’Université de Gand, en Belgique, et son doctorat en virologie à l’Université de Hohenheim, en Allemagne. Il a occupé des postes de professeur adjoint dans des universités en Belgique et en Allemagne. Après sa carrière dans le monde universitaire, il a rejoint plusieurs entreprises de vaccins (GSK Biologicals, Novartis Vaccines, Solvay Biologicals) pour occuper divers rôles dans la R&D sur les vaccins ainsi que dans le développement final des vaccins. Il a ensuite rejoint l’équipe Global Health Discovery de la Fondation Bill & Melinda Gates à Seattle (USA) en tant que Senior Program Officer ; il a ensuite travaillé avec l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination (GAVI) à Genève en tant que Senior Ebola Program Manager. À GAVI, il a suivi les efforts de développement d’un vaccin contre le virus Ebola. Il a également représenté GAVI dans des forums avec d’autres partenaires, dont l’OMS, afin d’examiner les progrès de la lutte contre Ebola et d’élaborer des plans de préparation à une pandémie mondiale. En 2015, Geert a examiné et remis en question la sécurité du vaccin contre le virus Ebola utilisé dans les essais de vaccination en anneau menés par l’OMS en Guinée. Son analyse scientifique critique et son rapport sur les données publiées par l’OMS dans le Lancet en 2015 ont été envoyés à toutes les autorités sanitaires et réglementaires internationales impliquées dans le programme de vaccination contre Ebola. Après avoir travaillé pour GAVI, Geert Vanden Bossche a rejoint le Centre allemand de recherche sur les infections à Cologne en tant que chef du bureau de développement des vaccins. À l’heure actuelle, il travaille principalement en tant que consultant en biotechnologie et en vaccins, tout en menant ses propres recherches sur les vaccins basés sur les cellules tueuses naturelles.”

Nous avons donc affaire à un des spécialistes mondiaux des virus et des vaccins les plus pointus, ayant même occupé un poste élevé à la très fameuse Bill & Melinda Gates Foundation, avec un CV long comme un jour sans pain, mais que les ignorants et les propagandistes de bas étage se sont néanmoins empressés de traiter d’anti-vax et d’obscurantiste anti-science à partir du moment où il a commencé à avertir contre les risques sanitaires d’une campagne de vaccination massive, en particulier via une lettre ouverte à l’OMS.

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Les données, rien que les données

Suivons les conseils du professeur Raoult et ne prêtons pas attention ni aux opinions, ni aux dépliants publicitaires des fabricants de médicaments ou de vaccins et contentons-nous d’analyser les données du monde réel – en supposant, bien sûr, qu’elles ont été établies de façon objective.

J’ai déjà signalé sur ce blog les rapports hebdomadaires de Public Health England sur la crise “sanitaire” du SARS-CoV2, analysant spécifiquement le problème des “variants”, et vais encore une fois m’y référer, plus précisément au rapport n°20 du 6 août (le dernier disponible au moment où j’écris), traitant des données courant du 1er février au 2 août 2021.

Aux pages 18 et 19 de ce rapport on trouve le tableau 5 énumérant, entre autres données, le nombre de morts victimes du variant delta, et classant ces morts en fonction de leur statut vaccinal : non vacciné, vacciné une dose ou vacciné 2 doses. De plus, ils sont classés en deux groupes d’âge : moins et plus de 50 ans. Les personnes les plus âgées étant les plus concernées par la dangerosité du virus, commençons par les plus de 50 ans.

Population âgée de plus de 50 ans

Il y avait en 2020 au Royaume-Uni 25,746 millions de personnes de plus de 50 ans,1 soit 37,9 % de la population totale.

La proportion de la population complètement vaccinée au Royaume-Uni était au 2 août de 56,8 %, mais cette proportion est nettement plus élevée pour la population adulte (plus de 18 ans : 72,9 % entièrement vaccinés au 2 août selon le gouvernement britannique) et encore davantage pour les plus de 50 ans : selon les archives de vaccination pour l’Angleterre, qui représente 82,9 % de la population du Royaume-Uni2, au 2 août 19,932 millions de secondes doses ont été distribuées aux plus de 50 ans3. En supposant une structure par âge de la population identique en Angleterre et dans l’ensemble du Royaume-Uni, ce sont donc 19,932 millions de doses qui ont été distribuées pour une population de (25,746 × 0,829 = 21,343) millions de personnes âgées de 50 ans et plus en Angleterre, ce qui fait une couverture vaccinale de 93,4 % (19,932 / 21,343) dans cette tranche d’âge et pour les deux doses.

Les personnes non vaccinées s’obtiennent en retranchant celles ayant reçu au moins une dose à la classe d’âge dans son ensemble ; selon le fichier de données des archives vaccinales, 20 493 089 premières doses ont été distribuées aux plus de 50 ans (somme des cases M16 à S16), il reste donc 21,343 – 20,493 = 0,850 million de personnes non vaccinées, soit 3,98 % de cette population.

Selon notre rapport n°20, 205 personnes non vaccinées de plus de 50 ans sont mortes du variant delta en Angleterre, sur 3 440 cas identifiés.

Selon notre rapport n°20, 389 personnes entièrement vaccinées de plus de 50 ans sont mortes du variant delta en Angleterre, sur 21 472 cas identifiés.

Ces données permettent déjà de tirer les conclusions suivantes :

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Vaccin et variant Delta (IHU Méditerranée-Infection)

[Note de l’administrateur de ce blog : le professeur Raoult est têtu, autant que les chiffres. Sur l’efficacité de la vaccination à lutter contre les formes graves de la COVID-19, on peut en donner deux en provenance d’Israël :

proportion des hospitalisés avec une forme grave de COVID-19 (au 11 août 2021) qui sont entièrement vaccinés contre la COVID-19 : 64 % ;

proportion de la population entièrement vaccinée contre la COVID-19 au 11 août 2021 : 62,5 %.]


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