“BIG PHARMA (Poison Légal)” (Assassin & Rockin’ Squat)

[Note de l’administrateur de ce blog : ne désespérons pas, il n’y a pas qu’Eric Clapton, il existe aussi du rap français engagé. Les paroles pourront être consultées dans la description de la vidéo sur YouTube.]


Eric Clapton – This Has Gotta Stop

[Note de l’administrateur de ce blog : ils sont où, les artistes “engagés” ? À part Francis Lalanne en France, et certainement d’autres mais qui n’ont pas la chance d’être ou d’avoir été médiatiquement promus (n’est-ce pas Talaverra ?), c’est le calme plat, un peu comme pour les syndicats qui n’ont rien dit depuis que Macron & co. font sauter le droit du travail à la bombe H.

Mais il y a en Grande-Bretagne la légende Eric Clapton, déjà auteur en 2020 (avec Van Morrison) du remarqué Stand and Deliver où il s’opposait aux confinements et aux masques, qui récidive aujourd’hui après avoir été vacciné et en avoir beaucoup souffert (voir le quatrième couplet).]


Paroles :

This has gotta stop
Enough is enough
I can’t take this BS any longer

It’s gone far enough
If you wanna claim my soul
You’ll have to come and break down this door

I knew that something was going on wrong
When you started laying down the law

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Pas de paracétamol dans la Covid, erreur thérapeutique
majeure ! (Jean Umber, ENS pour l’AIMSIB)

[Note de l’administrateur de ce blog : aujourd’hui, ce sont les sciences dures à la rescousse des cerveaux mous. Quoi que l’on puisse penser du positivisme d’Auguste Comte, sa classification des sciences reste d’actualité, même et surtout si elle prend à rebrousse-poil tous les chasseurs de complotistes vaseux et les autoproclamés “fact-checkers” qui vérifient surtout la conformité des discours au dogme oligarchique. Et même si René Thom aimait à dire que part rapport aux mathématiques, “ça commence à branler sérieusement dans le manche”, la chimie est quand même à des années-lumière du marketing gouvernemental pour collabos demeurés en matière de puissance de démonstration.

Accrochez-vous. Remarque pour les fainéants : même sans notions de chimie, il est assez facile de comprendre que le paracétamol est contre-indiqué pour… à peu près toutes les infections, dans la mesure où il fait baisser la fièvre et que la fièvre est un symptôme traduisant une lutte du corps contre cette même infection.

Les esprits complotistes remarqueront aussi que le paracétamol (en vente libre) est bien plus dangereux que l’hydroxychloroquine (qui fut en vente libre jusqu’à l’arrêté du 13 janvier 2020 signé par Jérôme Salomon) : il est bien plus facile de se tuer avec.]


Attention, cet article est complexe mais pourtant absolument fondamental pour qui souhaite comprendre que la médecine ne se décrète pas sur les bancs de l’Assemblée Nationale. Non, en cas de Covid, le paracétamol ne doit pas être utilisé « en attendant d’aller mieux », car vous « irez » en vous aggravant. Merci au remarquable Jean Umber, ancien chimiste à l’ENS St Cloud, de nous en démontrer factuellement le mécanisme. On précise immédiatement que les références constantes à wikipédia sont intentionnelles, ce site démontre un sérieux sans faille en matière de chimie. Alors pourquoi l’absurde antienne gouvernementale Doliprane-domicile-dodo peut mener à … Décès ? Bonne lecture…

Introduction

A la lecture de l’article du 6 janvier 2021 publié par France-Soir 1: « Le paracétamol aurait-il tué ? » , j’ai voulu approfondir mes propres connaissances à son sujet, et essayer d’étayer de manière plus rationnelle leur thèse, qui, à mon avis, n’allait pas jusqu’au bout des questions posées. Mon étude porte à penser que la paracétamol a favorisé l’apparition de difficultés respiratoires au bout du temps nécessaire pour que la quantité de glutathion cellulaire devienne insuffisante pour gérer le métabolisme d’absorption de l’oxygène. Tout ce qui suit étant connu dès 2018, on peut se demander quel a été le motif (obscur) de l’ordre de prescription du paracétamol, exclusivement à tout autre AINS.

Continuer la lecture sur le site de l’Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante →

 

Que savait la FDA des vaccins qu’elle vient d’autoriser ?

Le 23 août 2021, la Food and Drug Administration (FDA), autorité de santé fédérale des États-Unis, a approuvé officiellement pour les personnes de 16 ans et plus – à moins que l’histoire soit plus complexe qu’il n’y paraît, ce que Robert Malone semble nous suggérer – le vaccin Comirnaty de Pfizer / BioNTech, qui jusque là ne bénéficiait que d’une autorisation d’utilisation d’urgance. Cette autorisation ouvre notamment la voie à de possibles obligations de vaccination. Après une telle décision, deux réactions sont possibles :

  • celle des éternels confiants : “si la FDA autorise ce vaccin, c’est qu’il est sûr et efficace” ;
  • celle des indécrottables complotistes : “c’est bien la preuve que la FDA est corrompue”.

Laquelle est la plus réaliste ?

Le 22 octobre 2020, donc avant l’autorisation d’utilisation d’urgence émise précédemment, se tenait une réunion du Comité consultatif sur les vaccins et les produits biologiques connexes (Vaccines and Related Biological Products Advisory Committee). Lors de cette réunion une présentation fut faite par Steven Anderson, directeur du Bureau de biostatistiques et d’épidémiologie au Centre d’évaluation et de recherche sur les produits biologiques (Center for Biologics Evaluation and Research, CBER).

La vidéo de cette présentation peut être consultée ci-dessous :

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L’affaire Wakefield : où est la vraie fraude ?
(Massimo Mazzucco)

[Note de l’administrateur de ce blog : vous n’avez pas été suffisamment dégoûté par le lynchage médiatique de Thierry Casasnovas détaillé par François Belliot ? Vous avez déjà entendu parler du Dr Wakefield, l’auteur principal de l’étude rétractée par le Lancet qui avait tenté de faire croire à un lien entre vaccination ROR (rougeole-oreillons-rubéole) et autisme en manipulant des données ? Voire de s’enrichir personnellement grâce à un brevet sur un vaccin concurrent ?

Dans ce cas cette vidéo d’une demi-heure est faite pour vous. Quand on pense avoir atteint le fond de l’ignominie, on se rend compte qu’il y a encore des réserves. Le virus le plus dangereux, c’est le mensonge.

La publication de 1998 ayant fait scandale peut encore être téléchargée sur le site du Lancet, ou encore ici pour une lecture plus facile sans le gribouillage rouge.]


Témoignage d’un médecin belge sur les effets secondaires des “vaccins” anti-COVID

[Note de l’administrateur de ce blog : la médecine de terrain face aux analystes de bureau et leurs relais médiatiques, ou l’éternel retour du concret.

Ce témoignage est-il contradictoire avec l’article “rassurant” que je viens de traduire ? Absolument pas, et il est important de le reconnaître pour comprendre les manipulations en cours.]


(Source : facebook, dimanche 22 août)

Données israéliennes : comment l’efficacité du vaccin
contre les formes graves peut-elle être élevée quand
60 % des hospitalisés sont vaccinés ?

Je l’avais déjà évoqué sur ce blog parce que Didier Raoult l’avait fait dans une de ses vidéos, le paradoxe de Simpson est un piège statistique qui peut survenir lorsque des données présentent une distribution particulière telle que celle représentée schématiquement à gauche. Généralement, toute recherche de causalité entre deux phénomènes est précédée d’une recherche de corrélation car, si une corrélation n’implique pas un lien de causalité, en revanche une absence de corrélation implique l’absence de relation de cause à effet.

Pour ce faire, un des moyens les plus simples consiste à représenter sur un graphe une variable en fonction de l’autre et de constater si le nuage de points formé révèle une corrélation (s’il est allongé suivant une diagonale ascendante ou descendante) ou non. Le cas le plus flagrant étant bien sûr lorsque les points s’alignent parfaitement suivant une courbe (qui peut être une droite). Mais il arrive que le nuage de points présente deux tendances, parfois même opposées, suivant qu’on le considère globalement ou en le décomposant en deux sous-ensembles (illustration de gauche).

Parce que nombre d’arguments sommaires contre les “vaccins” anti-COVID tombent dans ce piège, il est important de l’expliquer – ce qui ne signifie pas qu’il est nécessaire et “scientifique” de se prononcer en faveur de cette vaccination, ni même d’admettre une bonne fois pour toutes son efficacité ou son rapport bénéfice / risque favorable. Comme l’a montré Robert Malone (c’est lui qui a attiré mon attention sur l’article dont je vous propose la traduction ci-dessous), il est tout à fait possible – et même parfaitement logique – de dénoncer avec force les méthodes d’apprenti-sorcier imposées pour (prétendument) lutter contre une pandémie tout en dénonçant parallèlement des arguments faibles voire faux utilisés par certaines critiques.

Voici donc la traduction d’un article de Jeffrey Morris qui, s’il n’aborde qu’un aspect du problème – ce qui est nettement insuffisant pour justifier une vaccination massive de la population – le fait correctement et de façon pédagogique. Avis à ceux qui penseraient que cet article est une invitation à baisser les armes contre une campagne de vaccination “non obligatoire” mais imposée de façon particulièrement vicieuse : ils n’ont rien compris, il s’agit au contraire de laisser tomber les pistolets à bouchon et de préférer l’artillerie lourde. Qui se trouve ailleurs que dans cet article1, certes, mais chaque chose en son temps.

Remarque : la traduction française de SARS-CoV-2 (severe acute respiratory syndrome coronavirus 2) est parfois SRAS-CoV-2 (syndrome respiratoire aigu sévère, coronavirus 2). Mais elle est bancale, une traduction “complète” devant être CoV-2-SRAS (coronavirus 2 d’un syndrome respiratoire aigu sévère), c’est pourquoi j’ai jusqu’à présent gardé le terme anglais dans les articles, et continuerai à le faire.

——— Début de la traduction ———

Une recrudescence du variant Delta, plus contagieux, dans des pays fortement vaccinés, a donné lieu à de nombreuses critiques selon lesquelles les vaccins ne sont pas efficaces contre le variant Delta ou que l’efficacité du vaccin diminue après 4 à 6 mois. Cette situation a alimenté un sentiment anti-vaccin, suggérant que les vaccins ne fonctionnent pas, et a provoqué un grand stress chez les personnes vaccinées qui ne sont pas aussi protégées qu’elles le pensaient.

Dans ce billet, je me concentrerai sur l’efficacité des vaccins2 par rapport à la maladie grave ou l’hospitalisation, qui est le facteur clé pour la santé publique. Je ne traiterai pas ici de l’efficacité des vaccins par rapport à la maladie symptomatique ou asymptomatique [NdT : une maladie sans symptôme est-elle encore une maladie ?] – cela nécessite des nuances que je garderai pour un prochain billet.

Un résultat inquiétant qui a été repris à plusieurs endroits est qu’une forte proportion des patients hospitalisés pour la COVID-19 sont vaccinés. Par exemple, nous pouvons voir à partir des données du gouvernement israélien que près de 60 % de tous les patients actuellement hospitalisés pour la COVID-19 (au 15 août 2021) sont vaccinés (les données téléchargées et les détails se trouvent au bas de cet article). Sur les 515 patients actuellement hospitalisés pour des cas graves en Israël, 301 (58,4 %) d’entre eux étaient entièrement vaccinés, c’est-à-dire qu’ils avaient reçu deux doses du vaccin Pfizer.

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Le lynchage républicain de Thierry Casasnovas
(François Belliot)

[Note de l’administrateur de ce blog : écartons-nous un instant de la terreur covidienne… pour mieux y revenir. La terreur ne fonctionne en effet que lorsque les terrorisés croient le discours des terroristes. Qu’ils adhèrent au récit de la nouvelle peste noire, invincible sauf par le vaccin universel, et à la diffamation en bande organisée dirigée contre tous ceux qui le remettent en cause en plaçant le serment d’Hippocrate (pour les médecins) ou tout simplement l’honnêteté intellectuelle (pour les autres) au-dessus de leurs perspectives de carrière ou de gains financiers.

Ici François Belliot réalise un article très détaillé (donc long…) sur le cas Thierry Casasnovas, attaqué en meute par un “gang d’escrocs intellectuels” parmi lesquels nombre de “journalistes”, mais pas seulement. Le cas de la Miviludes, une officine publique – c’est-à-dire payée par les contribuables – de police politique se cachant derrière la lutte anti-sectes, comme la Licra ou le CRIF cachent leur allégeance à l’ultra-racisme israélien derrière la lutte contre le racisme, est ici détaillé, et plus encore dans cet autre article plus récent que je vous recommande également.

Beaucoup de gens hésitent encore à regarder la réalité en face parce qu’elle ébranle tellement leur cadre de pensée qu’ils ont l’impression, comme les Gaulois d’Astérix, que le ciel va leur tomber sur la tête. Qu’ils se rassurent : ce qui va leur tomber dessus, c’est juste le décor branlant et moisi d’un monde de manipulations et de mensonges servant à réserver à quelques-uns ce qui doit appartenir à tous ; une sorte d’Ancien Régime républicain qui s’accroche encore à l’illusion de sa puissance.

Je connais bien Thierry Casasnovas pour avoir suivi en 2018 un de ses stages à Miramont de Guyenne. Si ce bavard invétéré peut parfois dire des bêtises à force de parler – comme tout le monde – c’est aujourd’hui (je ne me prononcerai pas pour ses premières vidéos, je ne suis pas un Casanovavore) quelqu’un qui a une connaissance profonde de la physiologie humaine et qui base toujours ses cours, contrairement à ce que certains “journalistes” racontent, sur de solides publications scientifiques (qui sont parfois en déphasage avec ce que les media de masse présentent de la science, car ceux-ci sont généralement en retard).

C’est aussi l’anti-gourou par excellence, qui répète inlassablement de ne pas le croire sur parole mais d’expérimenter soi-même ses conseils, avec toujours le leitmotiv : “ça dépend !” (de vous, chaque corps humain étant différent). Et les résultats sont là, pour ceux qui savent faire la différence entre une paille et une poutre.

J’ai déjà signalé sur ce blog le témoignage de Constance dont parle François Belliot, qui devrait achever de convaincre les incrédules que oui, hélas, le monde des media de grand chemin est profondément pourri. Et qu’il faut par conséquent s’en libérer.]


Dans le cadre de la parution de mon ouvrage Le massacre de Charlie Hebdo : l’enquête impossible, aux éditions Le Retour aux Sources, je publie une série d’articles et études abordant le sujet de près ou de loin, que je n’ai pas jugé indispensable d’intégrer à un ensemble qui le temps passant et le travail avançant a pris des proportions que je n’imaginais pas au départ (360 pages). Dans ce second addendum, je reviens sur « le lynchage républicain de Thierry Casasnovas », chef de l’entreprise RGNR et très influent youtubeur dans le domaine de la santé et du bien-être. Je me suis intéressé à ce personnage, son parcours, et les persécutions multiples et croissantes dont il est la cible depuis le début de la grande réinitialisation, en me rendant compte que le conseil d’orientation de la principale instance servant de caution à son lynchage, la Miviludes, était présidée par l’ancien député George Fenech, qui fut le président de la commission d’enquête parlementaire sur les attentats de 2015, vaste opération d’enfumage à laquelle toute la troisième partie de Massacre de Charlie Hebdo, l’enquête impossible est consacrée. A ces deux postes clés, George Fenech a démontré son savoir-faire républicain dans la manipulation des faits et la défense inconditionnelle du régime.

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Comment rester dans le noir et tomber dans des cercles
vicieux conduit inévitablement à des décisions erronées

Geert Vanden Bossche est un spécialiste de virologie originaire de Belgique. Selon la notive biographique de son site internet personnel, “il a obtenu son diplôme de vétérinaire à l’Université de Gand, en Belgique, et son doctorat en virologie à l’Université de Hohenheim, en Allemagne. Il a occupé des postes de professeur adjoint dans des universités en Belgique et en Allemagne. Après sa carrière dans le monde universitaire, il a rejoint plusieurs entreprises de vaccins (GSK Biologicals, Novartis Vaccines, Solvay Biologicals) pour occuper divers rôles dans la R&D sur les vaccins ainsi que dans le développement final des vaccins. Il a ensuite rejoint l’équipe Global Health Discovery de la Fondation Bill & Melinda Gates à Seattle (USA) en tant que Senior Program Officer ; il a ensuite travaillé avec l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination (GAVI) à Genève en tant que Senior Ebola Program Manager. À GAVI, il a suivi les efforts de développement d’un vaccin contre le virus Ebola. Il a également représenté GAVI dans des forums avec d’autres partenaires, dont l’OMS, afin d’examiner les progrès de la lutte contre Ebola et d’élaborer des plans de préparation à une pandémie mondiale. En 2015, Geert a examiné et remis en question la sécurité du vaccin contre le virus Ebola utilisé dans les essais de vaccination en anneau menés par l’OMS en Guinée. Son analyse scientifique critique et son rapport sur les données publiées par l’OMS dans le Lancet en 2015 ont été envoyés à toutes les autorités sanitaires et réglementaires internationales impliquées dans le programme de vaccination contre Ebola. Après avoir travaillé pour GAVI, Geert Vanden Bossche a rejoint le Centre allemand de recherche sur les infections à Cologne en tant que chef du bureau de développement des vaccins. À l’heure actuelle, il travaille principalement en tant que consultant en biotechnologie et en vaccins, tout en menant ses propres recherches sur les vaccins basés sur les cellules tueuses naturelles.”

Nous avons donc affaire à un des spécialistes mondiaux des virus et des vaccins les plus pointus, ayant même occupé un poste élevé à la très fameuse Bill & Melinda Gates Foundation, avec un CV long comme un jour sans pain, mais que les ignorants et les propagandistes de bas étage se sont néanmoins empressés de traiter d’anti-vax et d’obscurantiste anti-science à partir du moment où il a commencé à avertir contre les risques sanitaires d’une campagne de vaccination massive, en particulier via une lettre ouverte à l’OMS.

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