Le lynchage républicain de Thierry Casasnovas
(François Belliot)

[Note de l’administrateur de ce blog : écartons-nous un instant de la terreur covidienne… pour mieux y revenir. La terreur ne fonctionne en effet que lorsque les terrorisés croient le discours des terroristes. Qu’ils adhèrent au récit de la nouvelle peste noire, invincible sauf par le vaccin universel, et à la diffamation en bande organisée dirigée contre tous ceux qui le remettent en cause en plaçant le serment d’Hippocrate (pour les médecins) ou tout simplement l’honnêteté intellectuelle (pour les autres) au-dessus de leurs perspectives de carrière ou de gains financiers.

Ici François Belliot réalise un article très détaillé (donc long…) sur le cas Thierry Casasnovas, attaqué en meute par un “gang d’escrocs intellectuels” parmi lesquels nombre de “journalistes”, mais pas seulement. Le cas de la Miviludes, une officine publique – c’est-à-dire payée par les contribuables – de police politique se cachant derrière la lutte anti-sectes, comme la Licra ou le CRIF cachent leur allégeance à l’ultra-racisme israélien derrière la lutte contre le racisme, est ici détaillé, et plus encore dans cet autre article plus récent que je vous recommande également.

Beaucoup de gens hésitent encore à regarder la réalité en face parce qu’elle ébranle tellement leur cadre de pensée qu’ils ont l’impression, comme les Gaulois d’Astérix, que le ciel va leur tomber sur la tête. Qu’ils se rassurent : ce qui va leur tomber dessus, c’est juste le décor branlant et moisi d’un monde de manipulations et de mensonges servant à réserver à quelques-uns ce qui doit appartenir à tous ; une sorte d’Ancien Régime républicain qui s’accroche encore à l’illusion de sa puissance.

Je connais bien Thierry Casasnovas pour avoir suivi en 2018 un de ses stages à Miramont de Guyenne. Si ce bavard invétéré peut parfois dire des bêtises à force de parler – comme tout le monde – c’est aujourd’hui (je ne me prononcerai pas pour ses premières vidéos, je ne suis pas un Casanovavore) quelqu’un qui a une connaissance profonde de la physiologie humaine et qui base toujours ses cours, contrairement à ce que certains “journalistes” racontent, sur de solides publications scientifiques (qui sont parfois en déphasage avec ce que les media de masse présentent de la science, car ceux-ci sont généralement en retard).

C’est aussi l’anti-gourou par excellence, qui répète inlassablement de ne pas le croire sur parole mais d’expérimenter soi-même ses conseils, avec toujours le leitmotiv : “ça dépend !” (de vous, chaque corps humain étant différent). Et les résultats sont là, pour ceux qui savent faire la différence entre une paille et une poutre.

J’ai déjà signalé sur ce blog le témoignage de Constance dont parle François Belliot, qui devrait achever de convaincre les incrédules que oui, hélas, le monde des media de grand chemin est profondément pourri. Et qu’il faut par conséquent s’en libérer.]


Dans le cadre de la parution de mon ouvrage Le massacre de Charlie Hebdo : l’enquête impossible, aux éditions Le Retour aux Sources, je publie une série d’articles et études abordant le sujet de près ou de loin, que je n’ai pas jugé indispensable d’intégrer à un ensemble qui le temps passant et le travail avançant a pris des proportions que je n’imaginais pas au départ (360 pages). Dans ce second addendum, je reviens sur « le lynchage républicain de Thierry Casasnovas », chef de l’entreprise RGNR et très influent youtubeur dans le domaine de la santé et du bien-être. Je me suis intéressé à ce personnage, son parcours, et les persécutions multiples et croissantes dont il est la cible depuis le début de la grande réinitialisation, en me rendant compte que le conseil d’orientation de la principale instance servant de caution à son lynchage, la Miviludes, était présidée par l’ancien député George Fenech, qui fut le président de la commission d’enquête parlementaire sur les attentats de 2015, vaste opération d’enfumage à laquelle toute la troisième partie de Massacre de Charlie Hebdo, l’enquête impossible est consacrée. A ces deux postes clés, George Fenech a démontré son savoir-faire républicain dans la manipulation des faits et la défense inconditionnelle du régime.

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Emmanuel Macron : acteur, banquier et peut-être
Président… (Géopolintel)

[Note de l’administrateur de ce blog : j’ai déjà évoqué Macron et son mouvement politique “En marche”, pure baudruche médiatique, dans cet article. Il est néanmoins fascinant de voir comment ce très mauvais acteur (voir la vidéo hilarante de son discours dans l’article complet de Géopolintel), au-delà du ridicule, a néanmoins des chances non négligeables de devenir le prochain Président de la République, et donc de parfaire l’œuvre de destruction et de soumission de la nation française entreprise depuis bien longtemps, mais singulièrement accélérée sous Sarkozy puis Hollande.

Ces chances d’accéder à la tête de l’État sont évidemment fortement dépendantes du lynchage médiatique en cours de François Fillon, que Francis Cousin analyse comme un assassinat symbolique nécessaire à la promotion de Macron, présenté comme le “laboratoire le plus extrémiste du devenir du Capital pour casser les luttes de classes”. 

Et pour parfaire la noirceur du portrait de notre fausse démocratie française, qui n’est plus qu’un décor branlant, on pourra comparer l’essor fulgurant du “parti” de Macron (parti de rien il y a quelques mois… pour arriver à rien jusqu’à présent, puisque son programme demeure inconnu), propulsé par un battage médiatique inouï, avec la censure totale subie par l’Union Populaire Républicaine depuis maintenant dix ans, alors que ce parti de 15 000 adhérents (soit plus que n’en compte le MoDem de François Bayrou) propose un programme qui se révèle chaque jour un peu plus en accord avec les problèmes du moment, au premier rang desquels figure la perte de souveraineté due à l’Union Européenne.]


Pendant que les candidats à la présidentielle s’étripent, Emmanuel Macron est « En Marche » pour le Palais des Festivals de Cannes ou bien pour celui de l’Elysée. Mais n’est pas Ronald Reagan qui veut !

Emmanuel Macron a été surreprésenté dans la presse française, notamment celle de Patrick Drahi, ami de Bernard Mourad, Conseiller spécial chargé du financement de sa campagne du mouvement « En Marche ». Le rôle qui lui a été attribué n’efface pas son passé de banquier d’affaire. Pour des professionnels de la communication, c’est raté, et nous en avons pour preuve la caricaturale expression de rage de son discours de Paris. Si les américains ont élu un « acteur cowboy » en 1980, les français vont-ils voter pour un acteur peu convainquant dans le rôle du « révolutionnaire » ?

Pourquoi les hommes « derrière » Macron continuent-t-ils à persister dans cette stratégie grossière ?

Et bien l’enjeu est important, puisque la France, tout comme les Etats Unis, peut élire un Président qui échappe au « système ».

Le contexte, c’est l’imbroglio politique et financier de cette fin d’année 2016, avec l’abdication de François Hollande et sa soumission à la finance, son ennemie déclarée lors de sa campagne des présidentielles de 2012. Hollande a reçu dans le plus grand secret, selon le Wall Street Journal, le PDG de la JP Morgan lui faisant miroiter de rapatrier les emplois de la City de Londres à Paris en raison du « Brexit ». Le « deal » étant de casser les lois du Code du travail en France. A cela Hollande a exprimé l’assurance que ce serait fait, soit sous son mandat, soit avec le prochain gouvernement de 2017.

Macron sera-t-il celui qui, comme tout bon « révolutionnaire libéral », cassera les derniers remparts de notre pays face à la dérégulation des banquiers internationaux ?

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