Robert Kennedy Jr,
discours historique du 29 août 2020 à Berlin

[Note de l’administrateur de ce blog : les “grands” media en ont-il parlé ? Vous ont-ils montré cette foule immense venu l’écouter (et en écouter d’autres) ?]


Philanthropes, escrocs et tueurs à gages (Antipresse)

[Note de l’administrateur de ce blog : on a déjà évoqué ici la fondation Bill (& Melinda) Gates ici, dans une tentative de couler l’alternative principale au vaccin-que-tout-le-monde-attend (puisqu’on vous dit que c’est pour votre bien !), l’hydroxychloroquine. Ici Slobodan Despot traite de façon plus générale, et avec style, de la notion de philanthropie à la mode Gates, et par extension de la notion de courage à la mode journalistique. Article paru aujourd’hui même dans l’Antipresse : si vous l’appréciez, abonnez-vous !]


Photo de Jametlene Reskp sur Unsplash

Photo de Jametlene Reskp sur Unsplash

Dans la série «Fringe», nous découvrons un univers parallèle, tout proche du nôtre, mais avec des lois différentes. L’action réelle des «philanthropes» globalistes tient elle aussi d’un autre monde. L’illusion est si massive qu’elle s’impose comme la réalité de référence. Celui qui la conteste au nom de la raison est logiquement traité de fou.

(Petit rappel du précédent épisode. En investissant des centaines de millions de dollars dans des dizaines d’entités médiatiques, la fondation Bill & Melinda Gates s’est entourée d’une «garde prétorienne» médiatique occupée soit à chanter ses louanges, soit à éconduire les curieux. En conclusion de son importante étude sur les relais médiatiques de Bill Gates, Tim Schwab souligne que «dans la mesure où les journalistes sont censés surveiller les riches et les puissants, M. Gates devrait probablement être l’une des personnes les plus surveillées sur terre, et non la plus admirée.»)

Un vrai premier communiant

L’ingénuité avec laquelle les institutions internationales ainsi que les autorités de divers pays coopèrent avec les programmes sanitaires de Bill Gates est justifiée le plus souvent par l’argument de la philanthropie. Il est normal, après tout, qu’un des hommes les plus riches de la planète veuille consacrer une part de son immense fortune au bien de tous. La feuille de vigne, en l’occurrence, est bien mince. Il n’y a que les journalistes de garde pour ne rien vouloir voir derrière ce cache-sexe. Pour peu qu’on soit un peu curieux, le spectacle est pourtant fascinant.

De manière générale, la « philanthropie » à la mode américaine est à manier avec une longue cuiller. C’est pourtant le premier « titre » qu’on accole dans les médias de perdition aux capitaines du capitalisme financier.

Or à quoi rime une « bienfaisance » qui non seulement ne coûte rien au «bienfaiteur» mais contribue au contraire à l’enrichir encore davantage ? Comme le note, de manière un peu lapidaire, la journaliste indépendante Caitlin Johnstone, « ce mot n’est qu’une étiquette qu’on attache aux ploutocrates parasites qui donnent un très petit pourcentage de leur richesse à des organismes de bienfaisance exonérés d’impôt afin que le petit peuple ne s’aperçoive pas qu’il vit sous une ploutocratie et ne se mette à fourbir les guillotines ».

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Onze bébés MORTS car leurs mamans ont pris du Viagra® (AISNSH)

[Note de l’administrateur de ce blog : je diffuse cet article qui date du 10 septembre 2018, d’une lettre d’information de l’Association Internationale pour une Santé Naturelle, Scientifique et Humaniste, car il constitue un bon exemple de la dangerosité de certaines pratiques médicales, en particulier en matière de recherche.

Au moment où certains “médecins” voudraient imposer de force un vaccin pour une maladie émergente qu’on commence tout juste à connaître, tout en continuant inlassablement à désinformer de façon grossière sur les traitements connus et disponibles à peu de frais pour cette maladie, c’est un drame à méditer.]


Notre système médical est devenu fou.

Dans le cadre d’une « étude scientifique », des médecins ont prescrit du V..gra (la pilule bleue qui facilite l’érection) à des femmes enceintes.

Le résultat est tombé, terrible, fin juillet 2018 : cette « expérimentation » a causé la mort de 11 bébés.1

Ces 11 bébés seraient encore en vie si leur maman n’avait pas avalé du V (je suis obligé d’utiliser cette initiale plutôt que le nom du médicament, sinon mon email risque d’être classé comme « spam » et ne vous atteindra jamais).

Si je vous parle de cette tragédie, c’est qu’elle est hélas très révélatrice.

Il ne s’agit pas d’un « malheureux accident », causé par les « besoins de la recherche scientifique ».

Ces 11 bébés sont morts sur l’autel d’un système à la dérive, centré sur la recherche du profit (Big Pharma) et aggravé par l’illusion de « toute-puissance » de la médecine moderne.

Vous allez voir pourquoi :

Ce qui s’est vraiment passé dans cette étude tragique

L’étude a été lancée en 2015, au Pays-Bas.

183 femmes enceintes ont été « enrôlées » par des chercheurs du CHU d’Amsterdam.

Ces femmes avaient toutes une grossesse difficile : leurs bébés à naître avaient un grave retard de croissance.

Alors les chercheurs ont voulu voir si le V pouvait stimuler leur croissance.

Comme vous allez le comprendre, c’était une idée d’une imprudence criminelle.

Mais sur le plan strictement médical, l’hypothèse n’était pas absurde.

Le V agit sur les hommes en dilatant les vaisseaux sanguins : cela améliore la circulation du sang… et facilite le « garde-à-vous » de leur organe préféré, qui se gonfle de sang.

Pour les femmes enceintes, l’objectif était similaire : le V (sildénafil) était censé améliorer le débit sanguin vers le placenta, et apporter au bébé les nutriments et l’oxygène dont il semblait cruellement manquer.

Continuer la lecture sur le site de l’Association Internationale pour une Santé Naturelle, Scientifique et Humaniste →

Et pour ceux qui pensent que la science des vaccins est une discipline très bien contrôlée, voir les propos d’un vaccinologue et consultant virologiste à l’OMS, qui s’adresse à des médecins dans le cadre d’un cours qui leur est destiné.

Masques, 2e vague : le Pr Toussaint démolit les mensonges du Conseil scientifique (E&R)

[Note de l’administrateur de ce blog : la pédagogie est l’art de la répétition ; j’encourage donc chacun à répéter ces propos du Pr. Jean-François Toussaint à son entourage jusqu’à ce que ça rentre : il n’y a pas, il n’y a jamais eu jusqu’à présent de deuxième vague, et une personne testée positive au SARS-CoV2 n’est pas un(e) malade.]


Après la démonstration brutale et sans faille du Pr Toussaint, l’animateur de CNews sur le plateau de Quoi de news le 18 août 2020 tombe de sa chaise (à 4’14). Ou quand l’esprit vient aux journalistes…

CNews  : « Écoutez, franchement cette explication déjà elle était suffisamment claire et on voit ces chiffres, mais là quand je vous entends j’ai très peur, je suis en train de me dire, déjà un : est-ce qu’on fait peur aux gens pour rien ? ; la deuxième chose c’est à charge aussi pour les politiques et pour les personnes qui sont au plus haut sommet de l’État qui aujourd’hui nous disent “il faut porter le masque en extérieur”. En septembre, le Conseil scientifique vous en parliez, le Conseil scientifique qui dit à l’automne “on risque d’avoir une seconde vague”, donc vous êtes en train de balayer en disant “mais attendez, là les faits sont bien présents, il n’y a ni rebond de l’épidémie, il y a ni même un frémissement, il y a des nouveaux cas qui sont confirmés, mais ce ne sont pas des cas graves”. »

Toussaint  : « C’est absolument le cas, et qui plus est le Conseil scientifique, lorsqu’il nous annonce la énième deuxième vague la semaine dernière, un certain nombre de ses membres sont sur leur site de vacances. Si je le dis c’est parce qu’ils l’annoncent publiquement sur les radios publiques. »

CNews  : « C’est gravissime ce que vous êtes en train de dire. »

 

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(et comprendre un peu mieux d’où vient cette apparente liberté de parole, en réalité très encadrée)