Covid : plainte déposée contre la France devant la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité (Anthropo-logiques)

[Note de l’administrateur de ce blog : ne comptons pas trop sur le cours “normal” de la justice, mais faisons tout comme si elle remplissait parfaitement son rôle. Car qui ne dit mot consent.]


Je viens de recevoir l’excellente nouvelle que le CSAPE (Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens) a déposé en date du 28 juin dernier devant la CPI une plainte pénale visant le président Emmanuel Macron, le gouvernement et les haut-fonctionnaires impliqués dans la gestion criminelle de l’épidémie de Covid.

Voici le communiqué reçu ce jour de son secrétaire général :

Le CSAPE vous informe qu’en suite de l’interpellation du 02 mars 2021, par mise en demeure restée sans réponse, une plainte contre des dirigeants français vient d’être déposée à la Cour pénale internationale (CPI) avec demande d’ouverture d’enquête pour crime contre l’humanité, atteinte à la dignité humaine, servitude et génocide, sous le numéro OTP-CR-271/21.

Nous rendons publique la plainte et nos découvertes au niveau mondial et nous vous incitons à vous associer à l’action du CSAPE en déposant également plainte avant que la situation ne devienne irréversible pour cause d’absence de résistance effective – (les actions devant les juridictions françaises étant vouées à l’échec pour les raisons d’ailleurs exposées dans la plainte).

Il s’agit de l’avenir de l’humanité dont nos enfants.

Vous pouvez prendre connaissance de la plainte jointe.

Continuer la lecture sur le blog de Jean-Dominique Michel →

Les racines du mal – entretien avec Vera Sharav
(traduction Humain Souverain)

[Note de l’administrateur de ce blog : j’ai préféré reprendre le titre de la vidéo originale (Die Wurzeln des Übels) en le traduisant en français plutôt que celui de la version française doublée et sous-titrée.

En raison de lois qui ôtent à la science ses outils de base que sont la libre discussion et l’argumentation logique – c’est parce que chacun est libre de dire que la Terre est plate que la démonstration qu’elle est ronde a une valeur – les événements de la seconde guerre mondiale sont encore aujourd’hui en France mal connus, mais l’eugénisme et les expérimentations médicales des nazis dont parle Vera Sharav ne font aucun doute, et engendrèrent le Code de Nuremberg dont certains – dont des auto-proclamés “vérificateurs” qui devront tôt ou tard répondre de leur désinformation – aimeraient bien se débarrasser aujourd’hui.

On notera quelques erreurs mineures de traduction, comme “physician” traduit par “physicien” alors qu’il s’agit de médecin (physicien se traduisant par physicist en anglais) ou encore “phylanthrope” au lieu de philanthrope. C’est évidemment insignifiant par rapport à l’utilité de ce travail de traduction bénévole qui devrait faire rougir de honte les journalistes qui n’en parlent pas.]


Mise en perspective

Beaucoup de gens se demandent ce qui se passe réellement aux États-Unis depuis cette élection présidentielle très particulière de novembre 2020. Laissons de côté l’interprétation canonique des mass media, selon lesquels il est tout à fait normal qu’un vieillard ne sachant plus où il habite et n’ayant même pas fait campagne établisse un nouveau record de voix en sa faveur. Ces media font partie du problème ; on ne demande pas à un ivrogne de donner des conseils en matière de sobriété.

C’est plutôt en allant glaner des messages sur les media sociaux “alternatifs”, comme Telegram, qui connaît une ascension fulgurante grâce à la censure brutale opérée par twitter envers tous les “mal-pensants”, qu’on rencontre parfois de petits résumés éclairants – même si l’on peut  aussi  souvent tomber sur n’importe quoi. L’esprit critique est aussi indispensable pour s’aventurer dans l’information “libre” qu’une bonne carte pour randonner en montagne et en territoire inconnu.

Un des avocats médiatiques de Donald Trump, Rudy Giuliani, a le 30 janvier transféré un message du compte “Drain The Swamp News” (lisible ici sur un navigateur), que je traduis ci-dessous. Il a l’avantage de donner une cohérence à un ensemble de phénomènes en apparence déconnectés ou illogiques, et en particulier les réactions simultanées et rivalisant d’inefficacité d’un grand nombre de pays, pourtant “riches” et “techniquement avancés”, face à la “pandémie” de COVID-19 – dont Didier Raoult a récemment rappelé qu’elle n’avait, en France, causé aucune surmortalité chez les moins de 65 ans. Même si je n’ai pas vérifié le détail des arguments relayés par Giuliani – et notamment les influences respectives des différentes familles citées dans la Réserve Fédérale américaine1 et la Banque des Règlements Internationaux – la vue d’ensemble proposée me semble qualitativement correcte et cohérente.

Bien entendu, cette mise en perspective d’événements mondiaux récents sera taxée de “complotiste” par ceux qui ne pensent plus par eux-mêmes (ou veulent que vous ne pensiez pas par vous-mêmes). Mais qui se soucie encore de ce genre d’argument aujourd’hui ?

——— Début de la traduction ———

Mettons un peu d’ordre et de noms dans le marais de Washington DC. La FED2 est une banque privée. Elle appartient à huit familles. Quatre de ces familles vivent aux États-Unis. Il s’agit de Goldman Sachs, Rockefeller, Lehman et Kuhn Loeb de New York. Les familles étrangères appartenant à la FED sont les Rothschild de Paris et de Londres, les Warburg de Hambourg, les Lazard de Paris et la famille Israel Moses Seif de Rome. 80% de la FED appartient à ces familles.

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Rappel : Bill Gates et l’acte vaccinatoire

Transcription :

“We’re taking, you know, things that are genetically modified organisms that we’re injecting in little kids’ arms, we just shoot them right into the vein.”

Remarque : L’auteur du tweet a traduit avec beaucoup de bienveillance “to shoot” par “balancer“, mais je vous propose de jeter un œil aux différentes traductions que me propose le site Reverso pour ce verbe :

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Philanthropes, escrocs et tueurs à gages (Antipresse)

[Note de l’administrateur de ce blog : on a déjà évoqué ici la fondation Bill (& Melinda) Gates ici, dans une tentative de couler l’alternative principale au vaccin-que-tout-le-monde-attend (puisqu’on vous dit que c’est pour votre bien !), l’hydroxychloroquine. Ici Slobodan Despot traite de façon plus générale, et avec style, de la notion de philanthropie à la mode Gates, et par extension de la notion de courage à la mode journalistique. Article paru aujourd’hui même dans l’Antipresse : si vous l’appréciez, abonnez-vous !]


Photo de Jametlene Reskp sur Unsplash

Photo de Jametlene Reskp sur Unsplash

Dans la série «Fringe», nous découvrons un univers parallèle, tout proche du nôtre, mais avec des lois différentes. L’action réelle des «philanthropes» globalistes tient elle aussi d’un autre monde. L’illusion est si massive qu’elle s’impose comme la réalité de référence. Celui qui la conteste au nom de la raison est logiquement traité de fou.

(Petit rappel du précédent épisode. En investissant des centaines de millions de dollars dans des dizaines d’entités médiatiques, la fondation Bill & Melinda Gates s’est entourée d’une «garde prétorienne» médiatique occupée soit à chanter ses louanges, soit à éconduire les curieux. En conclusion de son importante étude sur les relais médiatiques de Bill Gates, Tim Schwab souligne que «dans la mesure où les journalistes sont censés surveiller les riches et les puissants, M. Gates devrait probablement être l’une des personnes les plus surveillées sur terre, et non la plus admirée.»)

Un vrai premier communiant

L’ingénuité avec laquelle les institutions internationales ainsi que les autorités de divers pays coopèrent avec les programmes sanitaires de Bill Gates est justifiée le plus souvent par l’argument de la philanthropie. Il est normal, après tout, qu’un des hommes les plus riches de la planète veuille consacrer une part de son immense fortune au bien de tous. La feuille de vigne, en l’occurrence, est bien mince. Il n’y a que les journalistes de garde pour ne rien vouloir voir derrière ce cache-sexe. Pour peu qu’on soit un peu curieux, le spectacle est pourtant fascinant.

De manière générale, la « philanthropie » à la mode américaine est à manier avec une longue cuiller. C’est pourtant le premier « titre » qu’on accole dans les médias de perdition aux capitaines du capitalisme financier.

Or à quoi rime une « bienfaisance » qui non seulement ne coûte rien au «bienfaiteur» mais contribue au contraire à l’enrichir encore davantage ? Comme le note, de manière un peu lapidaire, la journaliste indépendante Caitlin Johnstone, « ce mot n’est qu’une étiquette qu’on attache aux ploutocrates parasites qui donnent un très petit pourcentage de leur richesse à des organismes de bienfaisance exonérés d’impôt afin que le petit peuple ne s’aperçoive pas qu’il vit sous une ploutocratie et ne se mette à fourbir les guillotines ».

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Marcel s’occupe de Bill Gates et de l’OMS (Marcel D.)

[Note de l’administrateur de ce blog : c’est propre, net et sans bavure. Cette vidéo vient en complément — dans un autre style, mais toujours avec le même sérieux sur le fond — de l’article “Nous avons (encore) le choix : néo-féodalisme ou démocratie constitutionnelle ?” publié récemment.]