Le deuxième procès pour impeachment de Donald Trump, comme si on y croyait

[Note de l’administrateur de ce blog : un petit dessin vaut mieux qu’un long discours, une petite vidéo aussi. On reproche à Donald Trump d’avoir incité à la violence voire à l’émeute le 6 janvier 2020 à Washington DC.

Ci-dessous, l’attitude héroïque de la police du Capitole repoussant des hordes d’assaillants armés fanatisés par le nouvel Hitler blond, au péril de leur vie, afin de protéger le lieu le plus sacré de la Démocratie américaine. Enjoy.

Mise à jour : comme on pouvait s’y attendre vu l’ampleur de la farce, Donald Trump a été acquitté par le Sénat, avec 57 sénateurs ayant voté coupable et 43 non coupable. Il fallait les 2/3, soit 67 voix, pour qu’il soit condamné. Il y a quand même eu 7 Républicains pour voter coupable : Burr, Collins, Cassidy, Murkowski, Romney, Sasse et Toomey. On leur souhaite bonne chance pour les prochaines élections.

Deuxième mise à jour et correction : la vidéo ci-dessous n’a PAS été prise au Capitole de Washington DC mais à celui du Kentucky (à Frankfort) le 31 janvier 2020 lors d’une manifestation en faveur du port d’armes (source). Désolé pour l’infox, je ferai davantage attention la prochaine fois ! De nombreuses vidéos montrant le caractère très coopératif avec les manifestants des policiers du Capitole de Washington DC le 6 janvier 2021 sont néanmoins facilement disponibles sur la toile, même venant de media mainstream, comme celle-ci.]


Mise en perspective

Beaucoup de gens se demandent ce qui se passe réellement aux États-Unis depuis cette élection présidentielle très particulière de novembre 2020. Laissons de côté l’interprétation canonique des mass media, selon lesquels il est tout à fait normal qu’un vieillard ne sachant plus où il habite et n’ayant même pas fait campagne établisse un nouveau record de voix en sa faveur. Ces media font partie du problème ; on ne demande pas à un ivrogne de donner des conseils en matière de sobriété.

C’est plutôt en allant glaner des messages sur les media sociaux “alternatifs”, comme Telegram, qui connaît une ascension fulgurante grâce à la censure brutale opérée par twitter envers tous les “mal-pensants”, qu’on rencontre parfois de petits résumés éclairants – même si l’on peut  aussi  souvent tomber sur n’importe quoi. L’esprit critique est aussi indispensable pour s’aventurer dans l’information “libre” qu’une bonne carte pour randonner en montagne et en territoire inconnu.

Un des avocats médiatiques de Donald Trump, Rudy Giuliani, a le 30 janvier transféré un message du compte “Drain The Swamp News” (lisible ici sur un navigateur), que je traduis ci-dessous. Il a l’avantage de donner une cohérence à un ensemble de phénomènes en apparence déconnectés ou illogiques, et en particulier les réactions simultanées et rivalisant d’inefficacité d’un grand nombre de pays, pourtant “riches” et “techniquement avancés”, face à la “pandémie” de COVID-19 – dont Didier Raoult a récemment rappelé qu’elle n’avait, en France, causé aucune surmortalité chez les moins de 65 ans. Même si je n’ai pas vérifié le détail des arguments relayés par Giuliani – et notamment les influences respectives des différentes familles citées dans la Réserve Fédérale américaine1 et la Banque des Règlements Internationaux – la vue d’ensemble proposée me semble qualitativement correcte et cohérente.

Bien entendu, cette mise en perspective d’événements mondiaux récents sera taxée de “complotiste” par ceux qui ne pensent plus par eux-mêmes (ou veulent que vous ne pensiez pas par vous-mêmes). Mais qui se soucie encore de ce genre d’argument aujourd’hui ?

——— Début de la traduction ———

Mettons un peu d’ordre et de noms dans le marais de Washington DC. La FED2 est une banque privée. Elle appartient à huit familles. Quatre de ces familles vivent aux États-Unis. Il s’agit de Goldman Sachs, Rockefeller, Lehman et Kuhn Loeb de New York. Les familles étrangères appartenant à la FED sont les Rothschild de Paris et de Londres, les Warburg de Hambourg, les Lazard de Paris et la famille Israel Moses Seif de Rome. 80% de la FED appartient à ces familles.

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Nombre de décès quotidiens (INSEE)

[Mise à jour du 19 décembre : cet article a été initialement publié le 6 novembre 2020. Je reprends ci-contre le graphe des dernières données publiées le 18 décembre (et arrêtées le 7). L’augmentation de la mortalité totale amorcée à la mi-octobre octobre a été significative, a atteint un pic début novembre et est revenue aux niveaux habituels de la saison le 7 décembre. À force de rendre les gens malades (psychiquement et physiquement) par des contraintes aussi arbitraires qu’inefficaces – se tenir à une barre recouverte de virus dans un bus ou un métro bondés c’est BIEN, respirer l’air pur dans une promenade en montagne c’est MAL – il ne faut pas s’en étonner.

Note de l’administrateur de ce blog : comme je le disais dans l’article “Raison garder”, seuls les chiffres de mortalité totale ne sont pas susceptibles de manipulation, ceux de “mortalité COVID” étant systématiquement truqués en faisant passer des morts ayant eu un test positif au SARS-CoV2 (et même pas toujours !) pour des “morts de la COVID-19”, alors que beaucoup étaient très âgés ou avaient des comorbidités graves (quelquefois invisibles aux naïfs). Ceci, bien sûr, afin d’alimenter la psychose ambiante et de mettre en place une dictature sur des prétextes sanitaires.

Que ceux qui ont des yeux pour voir et un cerveau pour penser s’en servent !]


Ce graphique représente le nombre de décès quotidiens survenus chaque jour pour les années 2015 à 2020, ainsi qu’en moyenne sur la période 2015-2019. On y voit la très vive accélération des décès à partir de la mi-mars 2020 jusqu’au 1er avril, puis la décrue jusque fin avril. Sur la période mai-juin 2020, les décès sont proches de ceux survenus au cours de la même période les années précédentes. Au cours de l’été 2020, un pic des décès a été observé du 10 au 12 août. Plusieurs épisodes de grippe saisonnière récents ayant entraîné une surmortalité importante sont visibles : l’épidémie de l’hiver 2016-2017 dont le pic a été atteint en janvier 2017 ; un peu plus loin dans le passé, l’épidémie de l’hiver 2014-2015 avec un pic en février 2015 ; plus récemment, l’épidémie de grippe de l’hiver 2017-2018 qui a duré jusqu’en mars 2018 et a entraîné un surcroît important de mortalité. Le graphique permet aussi de visualiser le pic de mortalité bref et intense dû à la canicule de l’été 2003.

Continuer la lecture (et télécharger éventuellement les données) sur le site de l’INSEE →

Jean-Marie Bigard : son coup de gueule en pleine émission (France Bleu)

[Note de l’administrateur de ce blog : déclamé avec l’énergie qu’il faut, ni trop, ni trop peu. Et petite remarque aux techniciens de France Bleu : tangente s’écrit avec un g, pas un j.]


COVID-19 : RT-PCR ou comment enfumer toute l’humanité (Dr Pascal Sacré)

[Note de l’administrateur de ce blog : attention, article technique (mais d’une technicité nécessaire).

Le Dr Pascal Sacré est un vrai médecin (anesthésiste-réanimateur, connaissant très bien la COVID-19), pas un animateur de plateaux télés, un vendeur d’études foireuses ou un gestionnaire d’actions pour laboratoires pharmaceutiques.

Ce n’est qu’en enfonçant le coin au fond le la plaie du mensonge que celui-ci apparaîtra aux yeux de tous, et n’aura finalement plus aucun pouvoir de nuisance. On retiendra en particulier ce passage :

Comme je l’ai précisé en début d’article, en médecine, nous partons toujours de la personne : nous l’examinons, nous collectons ses symptômes (plaintes-anamnèse) et ses signes cliniques objectifs (examen) et sur base d’une réflexion clinique dans laquelle interviennent les connaissances scientifiques et l’expérience, nous posons des hypothèses diagnostiques.

Ce n’est qu’ensuite que nous prescrivons les tests les plus appropriés, en fonction de cette réflexion clinique.

Nous comparons en permanence les résultats des tests à l’état clinique (symptômes et signes) du patient qui prime sur tout le reste quant à nos décisions et nos traitements.

Aujourd’hui, nos gouvernements appuyés par leurs conseils scientifiques de sécurité nous font faire le contraire et mettent le test en premier, suivi d’une réflexion clinique forcément influencée par ce test préalable dont nous venons de voir les faiblesses, notamment son hypersensibilité.

Détail de vocabulaire : le “RT” de “RT-PCR” signifie généralement “Reverse Transcription” et non “Real Time” comme l’écrit le Dr Sacré, mais la “Real Time Polymerase Chain Reaction” existe bel et bien et c’est elle, dont l’abréviation la plus fréquente est “qPCR” pour “Quantitative Polymerase Chain Reaction”, qui sert aux diagnostics de la COVID-19 (voir ici un des premiers articles de l’IHU Méditerranée Infection)… où elle est d’ailleurs associée à une transcription inverse et s’appelle donc en réalité RT-qPCR !]


Introduction : utilisation d’une technique pour verrouiller la société

Toute la propagande actuelle sur la pandémie COVID-19 repose sur un postulat considéré comme évident, vrai et qui n’est plus remis en question :

Test RT-PCR positif veut dire être malade du COVID. Ce postulat est trompeur.

Très peu de gens, y compris chez les médecins, comprennent comment un test PCR fonctionne.

RT-PCR signifie Real Time-Polymerase Chain Reaction.

En français, cela veut dire : Réaction de Polymérisation en Chaîne en Temps Réel.

En médecine, nous utilisons cet outil principalement pour faire le diagnostic d’une infection virale.

En partant d’une situation clinique avec présence ou non de symptômes particuliers chez un patient, nous envisageons différents diagnostics en nous basant sur des tests.

Dans le cas de certaines infections, notamment virales, nous utilisons la technique RT-PCR pour confirmer une hypothèse diagnostique suggérée par un tableau clinique.

Nous ne faisons pas d’office une RT-PCR à tout patient qui chauffe, qui tousse ou qui présente un syndrome inflammatoire !

C’est une technique de laboratoire, de biologie moléculaire d’amplification génique car elle recherche des traces géniques (ADN ou ARN) en les amplifiant.

En plus de la médecine, les autres champs d’applications sont la génétique, la recherche, l’industrie et l’expertise judiciaire.

La technique est réalisée dans un laboratoire spécialisé, elle ne peut pas être faite dans n’importe quel laboratoire, même hospitalier. Cela entraîne un certain coût, et un délai parfois de plusieurs jours entre le prélèvement et le résultat.

Aujourd’hui, depuis l’émergence de la nouvelle maladie appelée COVID-19 (COrona VIrus Disease-2019), la technique de diagnostic RT-PCR est utilisée pour définir des cas positifs, confirmés au SRAS-CoV-2 (coronavirus responsable du nouveau syndrome de détresse respiratoire aigu appelé COVID-19).

Ces cas positifs sont assimilés à des cas COVID-19, à des malades dont certains sont hospitalisés, voire admis en réanimation.

Postulat officiel de nos dirigeants : cas RT-PCR positifs = malades COVID-19. [1]

C’est le postulat de départ, la prémisse de toute la propagande officielle qui justifie toutes les mesures gouvernementales contraignantes : isolement, confinement, quarantaine, port du masque obligatoire, codes couleurs par pays et interdictions de voyager, tracking [traçage], distances sociales dans les entreprises, les magasins et même, voire surtout, dans les écoles [2].

Cette utilisation abusive de la technique RT-PCR est employée comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements, appuyés par des conseils scientifiques de sécurité et par les médias dominants, pour justifier des mesures excessives comme la violation d’un grand nombre de droits constitutionnels, la destruction de l’économie avec la mise en faillite de pans entiers des secteurs actifs de la société, la dégradation des conditions de vie pour un grand nombre de citoyens ordinaires, sous prétexte d’une pandémie qui se base sur un nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre de malades réels.

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Zemmour, la guerre civile et le terrorisme (Youssef Hindi )

[Note de l’administrateur de ce blog : Youssef Hindi (dont la version courte du livre “L’Autre Zemmour” est disponible gratuitement ici) pose les bonnes questions qu’une actualité un peu trop spectaculaire et sanglante a tendance à faire oublier. Par exemple : “Comment expliquez-vous que les hommes politiques qui ont le discours le plus virulent vis-à-vis de l’islam aient des liens d’amitié, des liens financiers avec les pays qui sont les principaux promoteurs du terrorisme dit “islamiste” ?”

On pourra aussi consulter avec grand profit les portraits de Richard Malka et de Hassen Chalghoumi par la revue Faits & Documents, et si l’on veut se détendre un peu, ne pas rater la dernière vidéo du portrait de “l’imam de Drancy”.]


Résistance à l’hypnose médiatique et gouvernementale
(Dr Louis Fouché)

[Note de l’administrateur de ce blog : la connaissance peut servir à dominer autrui ou à être bienveillant envers autrui. Exemple avec le Dr Fouché dont je viens de relayer une conférence à l’IHU Méditerranée Infection, et qui nous parle ici des vertus (ou dangers) de l’hypnose, en trois courtes vidéos.]


Nouvelle religion : le covidisme (Karim Duval)

[Note de l’administrateur de ce blog : pour bien commencer la journée, rien ne vaut une petite méditation sur le monde d’a(peu)près. Et gardons-nous du pschisme.]


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