Dr Pascal Sacré : victime expiatoire ?

[Note de l’administrateur de ce blog : Le Dr Pascal Sacré, anesthésiste-réanimateur à Charleroi en Belgique, vient d’être licencié sans avoir commis la moindre faute professionnelle, simplement parce qu’il exprime des opinions critiques et sourcées sur la politique sanitaire actuelle. Des méthodes qui en rappellent d’autres.

Comme le dit le Dr Louis Fouché, il devrait être clair désormais, à tous ceux qui ont des yeux pour voir et des oreilles pour entendre, que “les gens qui nous dirigent, les gens qui sont aux manettes, […] en fait ils ne souhaitent pas soigner les gens, ce n’est pas vrai, ils ne souhaitent pas faire mieux, ils ne souhaitent pas faire une politique sanitaire intelligente. Ils souhaitent juste être dociles à ce qu’on leur dit, même s’ils ne savent même pas pourquoi. Et ils sont conduits par la peur, ils sont coonduits par une espèce de folie qui s’est emparée d’eux, et qui les emmène vers un déferlement totalitaire.”]


COVID-19 : RT-PCR ou comment enfumer toute l’humanité (Dr Pascal Sacré)

[Note de l’administrateur de ce blog : attention, article technique (mais d’une technicité nécessaire).

Le Dr Pascal Sacré est un vrai médecin (anesthésiste-réanimateur, connaissant très bien la COVID-19), pas un animateur de plateaux télés, un vendeur d’études foireuses ou un gestionnaire d’actions pour laboratoires pharmaceutiques.

Ce n’est qu’en enfonçant le coin au fond le la plaie du mensonge que celui-ci apparaîtra aux yeux de tous, et n’aura finalement plus aucun pouvoir de nuisance. On retiendra en particulier ce passage :

Comme je l’ai précisé en début d’article, en médecine, nous partons toujours de la personne : nous l’examinons, nous collectons ses symptômes (plaintes-anamnèse) et ses signes cliniques objectifs (examen) et sur base d’une réflexion clinique dans laquelle interviennent les connaissances scientifiques et l’expérience, nous posons des hypothèses diagnostiques.

Ce n’est qu’ensuite que nous prescrivons les tests les plus appropriés, en fonction de cette réflexion clinique.

Nous comparons en permanence les résultats des tests à l’état clinique (symptômes et signes) du patient qui prime sur tout le reste quant à nos décisions et nos traitements.

Aujourd’hui, nos gouvernements appuyés par leurs conseils scientifiques de sécurité nous font faire le contraire et mettent le test en premier, suivi d’une réflexion clinique forcément influencée par ce test préalable dont nous venons de voir les faiblesses, notamment son hypersensibilité.

Détail de vocabulaire : le “RT” de “RT-PCR” signifie généralement “Reverse Transcription” et non “Real Time” comme l’écrit le Dr Sacré, mais la “Real Time Polymerase Chain Reaction” existe bel et bien et c’est elle, dont l’abréviation la plus fréquente est “qPCR” pour “Quantitative Polymerase Chain Reaction”, qui sert aux diagnostics de la COVID-19 (voir ici un des premiers articles de l’IHU Méditerranée Infection)… où elle est d’ailleurs associée à une transcription inverse et s’appelle donc en réalité RT-qPCR !]


Introduction : utilisation d’une technique pour verrouiller la société

Toute la propagande actuelle sur la pandémie COVID-19 repose sur un postulat considéré comme évident, vrai et qui n’est plus remis en question :

Test RT-PCR positif veut dire être malade du COVID. Ce postulat est trompeur.

Très peu de gens, y compris chez les médecins, comprennent comment un test PCR fonctionne.

RT-PCR signifie Real Time-Polymerase Chain Reaction.

En français, cela veut dire : Réaction de Polymérisation en Chaîne en Temps Réel.

En médecine, nous utilisons cet outil principalement pour faire le diagnostic d’une infection virale.

En partant d’une situation clinique avec présence ou non de symptômes particuliers chez un patient, nous envisageons différents diagnostics en nous basant sur des tests.

Dans le cas de certaines infections, notamment virales, nous utilisons la technique RT-PCR pour confirmer une hypothèse diagnostique suggérée par un tableau clinique.

Nous ne faisons pas d’office une RT-PCR à tout patient qui chauffe, qui tousse ou qui présente un syndrome inflammatoire !

C’est une technique de laboratoire, de biologie moléculaire d’amplification génique car elle recherche des traces géniques (ADN ou ARN) en les amplifiant.

En plus de la médecine, les autres champs d’applications sont la génétique, la recherche, l’industrie et l’expertise judiciaire.

La technique est réalisée dans un laboratoire spécialisé, elle ne peut pas être faite dans n’importe quel laboratoire, même hospitalier. Cela entraîne un certain coût, et un délai parfois de plusieurs jours entre le prélèvement et le résultat.

Aujourd’hui, depuis l’émergence de la nouvelle maladie appelée COVID-19 (COrona VIrus Disease-2019), la technique de diagnostic RT-PCR est utilisée pour définir des cas positifs, confirmés au SRAS-CoV-2 (coronavirus responsable du nouveau syndrome de détresse respiratoire aigu appelé COVID-19).

Ces cas positifs sont assimilés à des cas COVID-19, à des malades dont certains sont hospitalisés, voire admis en réanimation.

Postulat officiel de nos dirigeants : cas RT-PCR positifs = malades COVID-19. [1]

C’est le postulat de départ, la prémisse de toute la propagande officielle qui justifie toutes les mesures gouvernementales contraignantes : isolement, confinement, quarantaine, port du masque obligatoire, codes couleurs par pays et interdictions de voyager, tracking [traçage], distances sociales dans les entreprises, les magasins et même, voire surtout, dans les écoles [2].

Cette utilisation abusive de la technique RT-PCR est employée comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements, appuyés par des conseils scientifiques de sécurité et par les médias dominants, pour justifier des mesures excessives comme la violation d’un grand nombre de droits constitutionnels, la destruction de l’économie avec la mise en faillite de pans entiers des secteurs actifs de la société, la dégradation des conditions de vie pour un grand nombre de citoyens ordinaires, sous prétexte d’une pandémie qui se base sur un nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre de malades réels.

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