Zemmour, la guerre civile et le terrorisme (Youssef Hindi )

[Note de l’administrateur de ce blog : Youssef Hindi (dont la version courte du livre “L’Autre Zemmour” est disponible gratuitement ici) pose les bonnes questions qu’une actualité un peu trop spectaculaire et sanglante a tendance à faire oublier. Par exemple : “Comment expliquez-vous que les hommes politiques qui ont le discours le plus virulent vis-à-vis de l’islam aient des liens d’amitié, des liens financiers avec les pays qui sont les principaux promoteurs du terrorisme dit “islamiste” ?”

On pourra aussi consulter avec grand profit les portraits de Richard Malka et de Hassen Chalghoumi par la revue Faits & Documents, et si l’on veut se détendre un peu, ne pas rater la dernière vidéo du portrait de “l’imam de Drancy”.]


Les révélations scandaleuses sur les leaders démocrates peuvent-elles faire basculer le vote au profit de Donald Trump ? (Boulevard Voltaire)

[Note de l’administrateur de ce blog : au surlendemain de l’assassinat de l’enseignant Samuel Paty par un fanatique, il n’est pas inutile de rappeler quels sont les principaux éleveurs de terroristes depuis des générations, en plus d’être liés à la junte ukrainienne. Il s’agit ici des USA, mais on a les mêmes à la maison.

Par ailleurs, on peut s’interroger sur le véritable suicide des “grands” media qui s’acharnent, non seulement à ne pas parler de ces vérités dérangeantes sur le clan Biden (sans parler du comportement particulier de Joe avec certaines personnes), mais également à présenter vainqueur dans des sondages un homme dont la sénilité avance visiblement à grands pas, totalement dépassé par les événements et qu’à peu près personne ne va écouter alors que son concurrent parvient à galvaniser des foules.]


Jusqu’ici on avait l’impression – à lire les ”grands” médias – que le président sortant était un concentré de vices et d’incompétence que le ”camp du bien” allait aisément balayer. En réalité, à deux semaines du scrutin, l’écart relevé par les sondages, même s’il est élevé et constant (8 à 10 %) n’est pas irrémédiable. D’ailleurs dans des Etats cruciaux (swing states), il est souvent plus faible, et le vote des Noirs et les Latinos y fera la différence ; or si les minorités votent habituellement démocrate, Trump est arrivé à en attirer une proportion non négligeable. D’où son show habile dans les jardins de la Maison Blanche. Trump, guéri, déborde d’activité pendant que l’équipe Biden est en arrêt Covid. Il suffirait que la moitié des électeurs de cette marge (soit 4 %) change de camp pour inverser le résultat. Les scandales que sortent désormais les médias au sujet des démocrates y suffiront-ils ? Ce n’est pas certain mais n’est plus à exclure.

Les démocrates ne sortiront pas indemnes de la mise en libre accès des 35.500 courriels (1.800 pages, dont 86 sur la Libye) envoyés par Hillary Clinton, chef des Affaires étrangères de 2009 à 2013. Cela éclabousse Biden, alors vice-président. Ces courriels dévoilent l’attitude des démocrates lors des printemps arabes auprès des Frères musulmans en Libye. Ces échanges entre Hillary et son staff révèlent sa politique dans les pays arabes, visant à y « installer un chaos créatif » (sic). Les Français feront le lien avec la décision franco-britannique de concourir à ce chaos sanglant qui dure encore, en Libye et en Syrie. On attendra, pour la « créativité ». Les démocrates ont soutenu les partis islamistes dans toute la région et appuyé les efforts des fanatiques pour prendre le pouvoir.

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