Coronavirus : les grands principes
pour renforcer l’immunité (Thierry Casasnovas)

[Note de l’administrateur de ce blog : un peu de bon sens et de sagesse en ces temps troublés ne peut pas faire de mal.

Bon sens : toute infection, quelle qu’elle soit, ne se développe que parce que notre système immunitaire est débordé. Virus et bactéries sont toujours présents dans notre entourage (et même à l’intérieur de nous-mêmes, où certains sont indispensables au fonctionnement de notre corps), penser qu’on peut les empêcher totalement de pénétrer par des masques ou des gants (qui bien sûr sont nécessaires dans les situations extrêmes) est une vue de l’esprit.

Sagesse : plutôt que de perdre son temps et son énergie à chercher de savoir quelle est la gravité réelle de la pandémie COVID-19 — ce qui est non seulement inutile, mais même dangereux, les informations contradictoires et l’inhibition de l’action qui en résulte conduisant à un affaiblissement de nos défenses — on peut agir pour renforcer son système immunitaire, ce qui ne peut avoir que des conséquences positives, coronavirus ou pas.

J’en profite pour ajouter une petite dose de bon sens due au Dr. de Lorgeril : la pandémie en cours se caractérisant par des pneumopathies, il est utile de rappeler qu’un poumon sert en premier à extraire l’oxygène de l’air (même si c’est aussi un émonctoire, comme le rappelle Thierry) et que son fonctionnement optimal peut difficilement s’envisager en atmosphère ultra-polluée… tous ceux qui ont voyagé dans les villes chinoises comprendront que certaines données pourtant pertinentes sont étrangement ignorées par les experts en PowerPoint® !

Et pour montrer que je ne suis pas sectaire, pour ceux qui préfèrent ruminer leur angoisse devant leur ordinateur au lieu de prendre leur système immunitaire en main… c’est par là !]


Cours d’auto-défense contre le coronavirus
(Alternatif Bien-être)

[Note de l’administrateur de ce blog : je reçois dans mon courrier la lettre d’Alternatif Bien-être, ce qui va sûrement permettre à certains de me classer parmi les gogos victimes des sectes obscurantistes qui osent remettre en question la sainte médecine allopathique. Vu ce qu’on peut entendre comme âneries parmi ses défenseurs inconditionnels, ce serait plutôt bon signe.

Cet article montre pourquoi l’affaire du coronavirus “chinois”, et surtout la panique organisée qu’elle suscite — alors qu’on devrait attendre des pouvoirs publics, au contraire, un sens de la mesure et de l’intérêt général, donc des mesures efficaces mais en même temps soucieuses d’éviter l’affolement des personnes les plus inquiètes — est éminemment politique, et révèle le désastre d’une politique de recherche dictée par le profit plutôt que le bien commun et la réflexion à long terme. La médecine n’est, hélas, pas la seule touchée, loin de là !]


Chers amis,

Il y a une chose que nous a appris le coronavirus : nous ne devons pas compter sur les pouvoirs publics pour nous protéger mais sur nous-mêmes.

Je ne vous parle pas de vous protéger par l’usage de gels hydro-alcooliques ou de masques en papier, ces solutions fétiches guère plus efficaces que le savon.

Je vous parle d’auto-défense immunitaire, la seule « vraie » protection efficace disponible actuellement.

Je vais revenir sur les moyens de mettre en place cette « auto-défense ».

Avant cela, j’aimerais revenir sur l’impuissance des pouvoirs publics dans la crise actuelle.

Pourquoi est-ce la panique au sommet de l’État ?

S’il n’existe actuellement aucun traitement connu au Covid-19, ça n’est pas parce que la maladie serait exceptionnellement dangereuse, il faut le dire et le redire.

C’est parce que les pouvoirs publics ne se sont pas donné les moyens d’anticiper la situation.

Pourquoi l’État panique-t-il ainsi, excédant des populations entières ? Pourquoi les grands médias relayent-ils sans cesse une telle psychose, alors que le nombre d’infections au coronavirus, et le nombre de décès dus au Covid-19, sont négligeables comparés à tant de maladies virales bien plus mortelles ?

Les médias expliquent que le Covid-19 est une maladie « émergente » et « méconnue ».

Et c’est vrai qu’on ne connaît pas avec précision son mode de transmission, je vous l’ai dit dans une précédente lettre.

Mais si je vous disais que les pouvoirs publics avaient les moyens de mieux connaître le coronavirus, et donc de trouver une solution fiable dès 2003

…mais ne l’ont pas fait ?

C’est ce que j’ai découvert ces derniers jours.

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Le message symbolique et non verbal du président Assad qui affole les analystes israéliens et les cabbalistes du monde entier (Strategika 51)

[Note de l’administrateur de ce blog : voilà qui prouve que celui qui “ne mériterait pas d’être sur la Terre” (dixit Laurent Fabius) a parfaitement compris à quelle hydre il avait affaire. Tant mieux pour nous : Rumpelstilzchen va trépigner de plus belle.

Pour ceux qui ont encore des doutes sur l’idéologie folle qui s’est emparée de “l’Occident”, je conseille notamment la lecture de :


Lors d’un discours commémorant la victoire d’Alep le 17 février dernier, le président de la République Arabe de Syrie est apparu dans un bureau où il n’y avait aucun drapeau syrien ou armoire de l’Etat syrien.

Attablé derrière un bureau vide mis à part un moniteur discret, le président Assad a délivré son discours en mettant à sa droite un faucon dont les yeux étaient tournés vers la droite et une très étrange fiole en verre remplie de liquide de couleur ambre à sa gauche.

Le président Bashar Al-Assad a tenu à ce que ces deux objets remplacent respectivement le drapeau national syrien et les armoiries de l’État avant la diffusion d’un message destiné à célébrer la victoire d’Alep. Ce message aurait pu passer inaperçu si ce n’est l’affolement qui a commencé à s’emparer des cabbalistes et des analystes israéliens qui ont commencé à décoder la symbolique cachée des images de ce discours. C’est en fait un message dans le message destiné au mouvement sioniste international et à la Cabbale talmudiste au pouvoir en Israël et imprégnant les États profonds aux États-Unis, en Grande-Bretagne, en France, aux Pays-Bas, au Danemark et en Allemagne. Le décryptage de ce message non verbal affole l’internationale sioniste et les dirigeants israéliens dont la superstition est toujours sans aucune limite. Il implique trois éléments importants:L’absence de drapeau syrien et de tout signe représentatif de la République Arabe Syrienne indique que la guerre en cours ne concerne pas la Syrie mais relève d’un conflit plus grand et plus étendu impliquant des acteurs non toujours identifiés par la communication verbale, conventionnelle et formatée.

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Raconte… (le saker francophone)

[Note de l’administrateur de ce blog : je n’avais jamais vu le conte du Nain Tracassin de cette façon mais il faut reconnaître que c’est une assez bonne allégorie de la prise de conscience en train de se produire. À noter : l’orthographe allemande correcte, ou la plus courante, est Rumpelstilzchen. Mais il est vrai que la fantaisie n’est pas interdite.]


Par Matthew Ehret – Le 4 mars 2020 – Source Strategic Culture

L’alliance multipolaire implique l’autodestruction de Rumpelstiltskin – le nain tracassin

Il existe plusieurs versions de l’ancien conte populaire allemand de Rumpelstiltskin. L’histoire commence avec un roi cupide à qui un vieux meunier stupide raconte qu’une jeune fille – la sienne – avait la capacité de tresser la paille en fils d’or.

Lorsque la pauvre fille fut enfermée dans une tour avec des balles de paille, un métier à tisser et l’ordre de tout transformer en or sous peine de mort, un lutin apparaît, sorti de nulle part, et propose un accord à la jeune fille : il utilisera son pouvoir magique pour tisser la paille en fil d’or à condition que la fille donne au lutin son premier enfant. Le roi cupide est satisfait de cette richesse venue de nulle part, et la vie de la fille est sauvé. Malheureusement, le jour arrive finalement pour elle d’abandonner son enfant – qui se trouve être aussi le fils du roi, que la jeune fille avait épousé entre temps – et le lutin avec une joie sadique répond à ses larmes implorantes en lui donnant trois chances d’annuler le contrat. Elle n’a qu’à deviner son nom … Pour faire court, la jeune file découvre son nom et le lutin se déchire littéralement en morceaux dans une folle crise de rage.

Je pense que cette histoire illustre assez bien l’auto-cannibalisation de l’État profond aux États-Unis ces dernières années.

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Chroniques des sciences inhumaines et asociales (épisode 7)

[Note de l’administrateur de ce blog : la manif, tradition bien française — comme la grève — n’a pas besoin d’être précisément datée, surtout par les temps qui courent ; aussi celle dont parle ce nouveau texte de Cadet Roussel (écrit il y a quelque temps) ne le sera pas.]


Épisode 7

En revenant de la manif

Quelques tranches de manif, dont je rentre à l’instant.

Tandis que les loches du gouvernement bavent leurs « éléments de langage », la colère et l’émulation stimulent l’inventivité des manifestants : « Le point de non-retour » ; « Notre colère est à point » ; « Projet : retrait. Point ! » ; « Je ne veux pas finir par devoir faire le tapoint » ; « Pas de point dans la gueule » ; « Partir à la retraite, avec des clopinettes, non, non, non, à la réforme Macron » ; « Retraite à point, retraité à poil » (pancarte richement enluminée).
Et bien sûr, grand classique : « Pour eux des couilles en or, pour nous des nouilles encore ».

Quatre hommes portent sur leurs épaules un cercueil (en carton, soyons écolos), décoré sur chaque côté en lettres dorées : « Caisse de retraite ». S’agitant dans le vent d’hiver, un grand squelette en contreplaqué noir affiche le deuil de la retraite par répartition ; la Camarde qui le porte est drapée dans une vaste houppelande, comme un pleurant de tombeau princier. Elle a laissé sa faux chez elle, mais sa démarche est inexorable. Admiratif de sa force, je m’approche : sous son capuchon, la Mort porte une barbiche. Fort comme la Mort.

Delevoye (remplacé pour avoir dissimulé que 13 « associations » — dont un consortium de compagnies d’assurances — le défrayaient, voire le rémunéraient) est la proie des caricaturistes et la cible des moqueurs : « 13 mandats, 13 mandales ». Un prof cravaté tient une pancarte proprement imprimée : « Nous ne voulons pas être la génération qui aura sacrifié les suivantes » ; trop raisonnable et tristounet pour convaincre. Suintant la moraline à la mode. On regrette les manifs du temps jadis, quand les Anars scandaient aux flics : « CRS dispersion, c’est l’heure du feuilleton ! ».

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