Coronavirus : le gouvernement retouche son décret
autorisant le traitement à la chloroquine (RT France)

[Note de l’administrateur de ce blog : si de semi-naïfs comme moi ont pu se faire à moitié avoir sur les réelles intentions de ces assassins en bande organisée, pensant qu’ils cherchaient avant tout à sauver leur peau face à la pression trop forte des preuves qui s’accumulaient contre eux, maintenant la certitude est de rigueur : la France est gouvernée par une mafia criminelle.

Rappelons que le traitement à l’hydroxychloroquine ne sert strictement à rien pour les malades dans un état très grave, les dégâts pulmonaires étant déjà faits et la charge virale étant déjà retombée. On voudrait “prouver” qu’il est inefficace (à la manière où, en coupant les pattes à une sauterelle, on prouve qu’elle devient aveugle car elle ne réagit plus au danger), on ne s’y serait pas pris autrement.

Peuple créatif, les Français sauront sans nul doute trouver une remplaçante à leur célèbre guillotine qui soit à la hauteur des enjeux historiques et médiatiques de l’époque. Car il ne s’agira pas seulement de châtier la branche exécutive du Mensonge, mais également toute la Propagandastaffel subventionnée qui le rend possible.]


Après avoir publié un décret autorisant la chloroquine pour le traitement du Covid-19 dans les établissements de santé, le gouvernement a finalement précisé qu’il le serait uniquement pour les personnes en état grave. La décision fait déjà polémique.

La joie des défenseurs de la chloroquine aura été de courte durée. Après avoir annoncé le 26 mars la publication d’un décret au Journal officiel (JO), autorisant la prescription de chloroquine aux malades du Covid-19 dans les établissements de santé, le gouvernement a finalement décidé de rectifier son texte dès ce 27 mars.

Si l’hydroxychloroquine et l’association lopinavir/ritonavir peuvent toujours être prescrits par les établissements de santé recevant des personnes infectées au coronavirus, cette médication ne pourra désormais se faire qu’«après décision collégiale, dans le respect des recommandations du Haut conseil de la santé publique et, en particulier, de l’indication pour les patients atteints de pneumonie oxygéno-requérante ou d’une défaillance d’organe», d’après le nouveau décret.

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