Bilan 2020 (Pr. Raoult – IHU Méditerranée-Infection)

[Note de l’administrateur de ce blog : à la fin de cette vidéo publiée le 22 décembre, Didier Raoult rappelle quelque chose de très important, en citant à l’appui la décision n°83-165 DC émise par le Conseil Constitutionnel le 20 janvier 1984. Il rappelle que “les chercheurs ont non seulement le droit, mais le devoir d’exprimer auprès du public le résultat de leurs connaissances et de leurs recherches ; c’est même la raison pour laquelle ils sont payés”.

Je suis bien évidemment en accord total avec lui – et avec le Conseil Constitutionnel – sur ce point1, et je saisis l’occasion pour rappeler ce qu’il peut coûter à un maître de conférences anonyme de rester ferme sur ces principes. Lors de la procédure disciplinaire qui m’a opposé à mon université et au cours de laquelle le président du CRIF est intervenu de façon particulièrement directe, j’ai souligné devant cette commission la nécessité de considérer toutes les implications des lois de la physique pour interpréter les événements du 11 septembre 2001 aux USA, et me suis proposé d’en exposer l’essentiel au président de mon université, qui n’a pas donné suite.

Lors de la deuxième phase de cette procédure disciplinaire devant le CNESER, j’ai réitéré cette remarque au cours de l’audition du 14 mai 2018, après avoir communiqué au CNESER le 8 mai une première version des arguments permettant de conclure à une démolition nucléaire de 3 des tours  du World Trade Center. Le rapporteur Camille Broyelle l’a d’ailleurs correctement consigné dans son rapport d’instruction, écrivant : “M. Roby affirme en effet avoir produit des écrits montrant que les tours du 11 septembre 2001 sont tombées du fait d’une explosion nucléaire sous-terraine. Cette thèse nuit aux intérêts de l’Etat d’Israël, que M. Kalifat défend. C’est pourquoi M. Kalifat serait intervenu auprès de l’Université. M. Roby demande à ce titre aux membres du CNESER de faire expertiser ses travaux et sa théorie relative aux tours jumelles.”

Lors du jugement, le 18 mars 2019, aucun membre  de la commission disciplinaire du CNESER, présidée par Mustapha Zidi, n’a cependant dit un mot ni posé une question sur ce sujet, tandis que le rapporteur Camille Broyelle semblait préoccupée de savoir si c’était bien moi qui faisait une “quenelle” sur la première photo de cette page.

À chacun de se déterminer en fonction de ses responsabilités, à être fidèle ou pas à sa mission, et à en accepter ensuite les conséquences. L’année 2020 aura été particulièrement riche en enseignements, révélant au plus grand nombre à la fois l’immense corruption systémique – ou, dans le meilleur des cas, lâcheté – de nos institutions politiques, médicales, académiques, médiatiques… et la détermination sans faille de quelques individus, dont le Pr Raoult – avec bien d’autres – fait partie, de garder une éthique professionnelle conforme à ses engagements. C’est aussi une réflexion que j’avais exposée par écrit dans un document adressé au CNESER le 18 juillet 2018, et dont il ne fut jamais débattu sur le fond.]


Coronavirus : le gouvernement retouche son décret
autorisant le traitement à la chloroquine (RT France)

[Note de l’administrateur de ce blog : si de semi-naïfs comme moi ont pu se faire à moitié avoir sur les réelles intentions de ces assassins en bande organisée, pensant qu’ils cherchaient avant tout à sauver leur peau face à la pression trop forte des preuves qui s’accumulaient contre eux, maintenant la certitude est de rigueur : la France est gouvernée par une mafia criminelle.

Rappelons que le traitement à l’hydroxychloroquine ne sert strictement à rien pour les malades dans un état très grave, les dégâts pulmonaires étant déjà faits et la charge virale étant déjà retombée. On voudrait “prouver” qu’il est inefficace (à la manière où, en coupant les pattes à une sauterelle, on prouve qu’elle devient aveugle car elle ne réagit plus au danger), on ne s’y serait pas pris autrement.

Peuple créatif, les Français sauront sans nul doute trouver une remplaçante à leur célèbre guillotine qui soit à la hauteur des enjeux historiques et médiatiques de l’époque. Car il ne s’agira pas seulement de châtier la branche exécutive du Mensonge, mais également toute la Propagandastaffel subventionnée qui le rend possible.]


Après avoir publié un décret autorisant la chloroquine pour le traitement du Covid-19 dans les établissements de santé, le gouvernement a finalement précisé qu’il le serait uniquement pour les personnes en état grave. La décision fait déjà polémique.

La joie des défenseurs de la chloroquine aura été de courte durée. Après avoir annoncé le 26 mars la publication d’un décret au Journal officiel (JO), autorisant la prescription de chloroquine aux malades du Covid-19 dans les établissements de santé, le gouvernement a finalement décidé de rectifier son texte dès ce 27 mars.

Si l’hydroxychloroquine et l’association lopinavir/ritonavir peuvent toujours être prescrits par les établissements de santé recevant des personnes infectées au coronavirus, cette médication ne pourra désormais se faire qu’«après décision collégiale, dans le respect des recommandations du Haut conseil de la santé publique et, en particulier, de l’indication pour les patients atteints de pneumonie oxygéno-requérante ou d’une défaillance d’organe», d’après le nouveau décret.

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