L’arithmétique est complotiste

Cet article sera certainement le plus court de tous ceux que j’ai écrits pour ce blog.

En novembre 2018, les États-Unis d’Amérique comptaient (au millier près) 153 066 000 électeurs inscrits.

Lors de l’élection présidentielle de 2020, Joe Biden a obtenu (selon Wikipédia) 81 268 867 voix et Donald Trump 74 216 747.

81 268 867 + 74 216 747 = 155 485 614.

Voilà, c’est tout. C’était du journalisme d’investigation pour fainéants.

Les plus pinailleurs pourront néanmoins trouver des analyses plus poussées de l’élection présidentielle de 2016 ici, à titre de comparaison. Le nombre total de votants était alors d’un peu moins de 138 millions.

Joe Biden annonce qu’il tombera malade et démissionnera s’il entre en conflit profond avec Kamala Harris

[Note de l’administrateur de ce blog : le concept de Président-jetable-et-soumis est né.

Vive le progressisme.]


Le général Flynn, QAnon et les élections US
(Thierry Meyssan)

Réunion au Conseil national de sécurité US, le 13 juin 2013 à la Maison-Blanche. L’ambassadeur de la Confrérie secrète des Frères musulmans, Youssef al-Qaradâwî, n’ayant pas pu se rendre à Washington car interdit d’accès au territoire US, il s’est fait représenter par son adjoint, le cheik Abdallah Bin Bayyah (second à gauche avec le turban).

Réunion au Conseil national de sécurité US, le 13 juin 2013 à la Maison-Blanche. L’ambassadeur de la Confrérie secrète des Frères musulmans, Youssef al-Qaradâwî, n’ayant pas pu se rendre à Washington car interdit d’accès au territoire US, il s’est fait représenter par son adjoint, le cheik Abdallah Bin Bayyah (second à gauche avec le turban).

[Note de l’administrateur de ce blog : on est estomaqué par le déni absolu des “grands” media au sujet de la fraude massive ayant eu lieu pendant les élections présidentielles américaines, alors que les preuves abondent sous diverses formes, et notamment des centaines de déclarations sous serment. Rappelons que mentir sous serment expose le menteur à passer par la case prison…

Dans ce bras de fer entre, non pas les Démocrates et les Républicains, mais plutôt les patriotes attachés à la Constitution américaine d’un côté, et ceux qui comptent encore profiter d’un système archi-corrompu – l’ancien président Carter lui-même l’avait reconnu – de l’autre, la seule issue possible est l’écrasement d’un camp par son adversaire. Particulièrement quand on sait que les agissements de certains, s’ils sont avérés, sont passibles de la peine de mort (pour trahison).

Il semble bien que, contrairement à ce que l’auto-persuasion médiatique voudrait faire croire, la méthode et la détermination de l’équipe derrière Trump finira par redonner aux États-Unis des bases démocratiques qu’ils avaient perdues depuis des décennies. Ce qui passera par un gran choc psychologique pour beaucoup d’Américains, et l’effondrement des mass media ayant perdu toute crédibilité.]


La grâce octroyée par le président Trump à son ancien conseiller national de sécurité, le général Michael Flynn, parait être un soutien à QAnon ; un groupe qui lui paraît lié. De même que le renvoi de leaders du Pentagone semble suivre les objectifs du général Flynn.

En accordant avec éclat sa grâce présidentielle au général Michael Flynn, Donald Trump a jeté le trouble.

Certes, ce grand militaire est poursuivi pour avoir menti aux enquêteurs du Russiagate (et non pas pour d’autres crimes qu’il aurait lui-même commis). Il cherchait à protéger son patron des intrusions de la Justice ; ce dont celui-ci le remercie aujourd’hui.

Mais surtout parce que cet homme a un curriculum vitæ remarquable. Directeur du Renseignement militaire, il remit en cause le soutien de l’administration Obama à Al-Qaïda, à Daesh et à leur maison-mère, les Frères musulmans. Il batailla pour stopper la guerre contre la Syrie et maintenir le président Bachar el-Assad à son poste. À l’issue d’un mémorable conflit, au cours duquel il fut soutenu par les généraux Mattis et Kelly, il fut contraint de démissionner.

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Une fraude électorale retransmise en direct aux USA

Alors que la plupart des media continuent de présenter Donald Trump et son équipe comme des mauvais perdants incapables de reconnaître leur défaite, voire Donald Trump comme un tyran sanguinaire prêt à tout pour rester à son poste, les citoyens américains attachés à la transparence de l’élection repèrent et diffusent via internet les anomalies qu’ils constatent dans le décompte des voix.

Ici, il s’agit de données affichées en direct à la télévision au fur et à mesure que le dépouillement avance. Au bas de l’écran une bannière fait défiler les résultats dans différents États et il se passe quelque chose de bizarre en Pennsylvanie.

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“There is no apparent President-Elect”
(Congress of the United States, 13/11/2020)

[Note de l’administrateur de ce blog : bien sûr, tous les grands media vous l’ont rappelé… Jody Hice, l’auteur de le lettre, est un élu républicain à la Chambre des représentants, mais il n’empêche que la Constitution est un texte non partisan. Et l’autre information de ce tweet est également intéressante !

Une version plus officielle et en meilleure définition de cette lettre se trouve ici.]


La lettre se termine par cette phrase :

I strongly encourage you to do just that: follow the Constitution and past precedent, not the media, when making your determination of the President-Elect. This democracy relies on a rule of law and the law must be followed.

 

Soit à peu près :

Je vous encourage fortement à faire cela : suivre la Constitution et la jurisprudence, pas les media, lorsque vous déterminez qui est le Président-Élu. Cette démocratie repose sur des règles de droit et la loi doit être respectée.

 

Élections aux USA – Lettre du général français (2S) Dominique Delawarde à ses amis

[Note de l’administrateur de ce blog : Dominique Delawarde n’est malheureusement plus qu’en deuxième section, mais on peut espérer qu’il existe encore des généraux d’active faisant passer comme lui la réalité avant l’idéologie.]


Mes chers amis,

Nombre d’entre vous m’ont demandé quelle était mon opinion sur les événements qui se sont déroulés aux USA entre le 3 novembre et ce jour dans le cadre de l’élection présidentielle américaine. Ma double casquette d’expert du renseignement et de spécialiste des États-Unis m’a valu de nombreuses questions que je résumerai en deux grandes séries :

1 – Y-a-t-il eu fraude électorale et l’hypothèse d’un coup d’état visant à inverser le résultat  de l’élection est -elle crédible ?

2 – Si Biden devait être élu le 8 décembre prochain et intronisé le 20 janvier 2021, quelles conséquences faudrait-il attendre de sa prise de pouvoir.

Je vais m’efforcer de répondre clairement à ces deux questions dans les lignes qui suivent.

Conflits d’intérêt de l’auteur ?

Il est important pour chacun d’entre vous de savoir, avant d’entamer la lecture de ma lettre, si son auteur a un quelconque conflit d’intérêt pouvant orienter son propos sur le sujet traité.

Ma réponse est non. J’ai bien vécu aux USA, dans le Kansas, sous administration démocrate (Clinton) entre 1995 et 1998,  époque dont je garde un excellent souvenir. J’ai effectué de multiples autres séjours aux USA, avant et après cet épisode professionnel, pour rendre visite à ma nombreuse famille proche qui compte 3 de mes sœurs et 48 de leurs descendants directs, tous  citoyens américains et résidant dans divers états gouvernés tant par les démocrates que par les républicains. J’ai visité 46 des 50 états de l’Union. La « Meritorius Service Medal » US m’a été remise à l’été 1998 dans un pays sous leadership démocrate. Je ne suis membre d’aucun des principaux partis politiques français (LR, PS, RN, Insoumis, LREM-Modem, EELV).

Si ma sévérité s’exerce parfois avec véhémence sur les «gouvernances» américaines, démocrates ou républicaines, elle ne s’adresse jamais au peuple américain qui, comme beaucoup d’autres peuples, est plutôt généreux et sincère, mais naïf et manipulé.

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L’État profond contre le pays profond

En attendant le dénouement de cette élection présidentielle américaine décidément pas comme les autres, je vous propose aujourd’hui la traduction d’un article du Saker paru le 9 novembre sur The Unz Review. Bonne lecture !

——— Début de la traduction ———

Je dois commencer par une évidence : malgré toutes les ressources de l’État profond, de la propagande et de « l’empire profond » (transnational) qui sont utilisées pour déclarer que « Biden » (c’est-à-dire Harris) a gagné, pour l’instant personne ne sait qui a obtenu le plus de votes et où.

Je dirais même que nous ne saurons jamais vraiment qui a gagné, parce que cela dépend d’un grand nombre de lois et règlements locaux et parce qu’il ne sera probablement jamais possible de séparer les votes illégaux des votes légaux.

Enfin, aucune des deux parties n’admettra jamais de bonne grâce avoir perdu la compétition. Donc maintenant le pays va entrer dans une crise profonde.

Voilà pour les mauvaises nouvelles.

Mais il y a aussi de très bonnes nouvelles.

Premièrement, il est maintenant devenu clair pour la planète entière que la « démocratie » américaine n’en est pas une : les États-Unis sont une ploutocratie oligarchique, gangrenée par une myriade de lois désuètes et corrompue jusqu’à l’os. La « ruse » particulière de ces États-Unis oligarchiques ploutocratiques est qu’ils se déguisent en ochlocratie [NdT : l‘ochlocratie (du grec ancien ὀχλοκρατία / okhlokratía, via le latin : ochlocratia) est un régime politique dans lequel la foule (okhlos) a le pouvoir d’imposer sa volonté.] : il y a un prétendu gouvernement par la foule qui sert de feuille de vigne microscopique cachant la véritable nature du régime.

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Les programmes Hammer et Scorecard permettront-ils d’exposer la fraude électorale ?
(Traduction & Réinformation)

[Note de l’administrateur de ce blog : rappelons à ceux qui ont la mémoire courte qu’Al Gore crut être président des USA pendant 37 jours en 2000, avant que ce ne soit finalement George W. Bush.

D’ici quelque temps, nous verrons également comment leur ignorance des lois de la nature permet de confondre les fraudeurs. Avec l’aide du chapeau de l’oncle Sam.]


Fraude massive aux élections américaines
– censuré sur Youtube (Vivre sainement)

[Note de l’administrateur de ce blog : la période actuelle est vraiment très intéressante car on assiste à un effondrement général de la crédibilité des media de masse, déjà largement entamée certes mais qui avec cette élection américaine semble passer à la vitesse supérieure, voire au bouquet final du feu d’artifice. Ça explose dans tous les sens, à l’image de “l’historienne” Sylvie Laurent au début de cette vidéo, une synthèse à elle toute seule.

Visiblement, pour certaines personnes, la réalité n’a plus aucune importance. Ce qui est la définition de la folie… ou de l’impossibilité d’atteindre l’âge de raison, si on est gentil.

PS : Comme souvent dans ce genre de travail amateur, la traduction est approximative et parfois fautive. Par exemple à 9:45 Rudy Giuliani ne parle pas de “30 à 40 m” mais de “20 to 30 feet”, c’est-à-dire 6 à 9 mètres… ce qui fait quand même nettement trop pour pouvoir vérifier les bulletins de vote !]


Beaucoup de Français ne le savent pas : il n’est pas nécessaire de présenter une pièce d’identité pour voter aux États-Unis. Ce qui permet de voter plusieurs fois, ou quand on est mort… voilà à quoi ressemble “la plus grande démocratie du monde”.

Comment justifier qu’une telle énormité puisse exister ? Voici ce qu’en dit Charlie Hebdo, qui ne semble pas très choqué par cette pratique :

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Les maths (et le bon sens) viendront-ils en aide à Trump ?

Tout le monde le sait, à cette heure (environ 19h30, mercredi 4 novembre 2020), l’élection présidentielle américaine n’est pas jouée. Le camp “démocrate” fait preuve d’une certaine retenue dans l’allégresse d’une victoire médiatiquement annoncée, tandis que le camp “républicain”, derrière Trump, a tout à la fois annoncé sa victoire et accusé ses adversaires d’irrégularités, voire de fraude massive, en avertissant que tout serait mis en œuvre pour empêcher les “démocrates” de “voler la victoire”.

Le scrutin est des plus serrés dans certains États habituellement “à tendance démocrate” comme Le Michigan ou le Wisconsin, où BBC News annonce Joe Biden en tête (mais de très peu) :

Il semble pourtant qu’il se passe des choses étranges dans le comptage des “ballots” (scrutins) dans ces deux États, comme le montre une analyse temporelle de l’évolution des comptages publiée sur twitter par Marc Gauthier ce soir :

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