Me Jakubowicz : “Complotiste !”
Pr Perronne : “J’assume complètement.” (E&R)

[Note de l’administrateur de ce blog : la crise “sanitaire” ne l’a jamais été, c’était depuis le début une crise politique et médiatique.

Ceux qui, comme le Pr Perronne, raisonnent et ont une éthique arrivent nécessairement à une conclusion “complotiste” : les campagnes de dénigrement des traitements contre la Covid-19 (hydroxychloroquine, azithromycine, ivermectine…) sont strictement criminelles, avaient pour but de forcer une “vaccination” expérimentale qui sans cela n’aurait jamais pu être autorisée, et relèvent à l’évidence en France de l’article 211-1 du Code pénal traitant du génocide.

Face à cet homme intègre, une femme intègre qui écoute (Marie-Estelle Dupont) et une brochette de bonimenteurs de plateau télé qui font du bruit avec leur bouche faute de pouvoir faire converger la raison et l’éthique… ou même de savoir enfin prononcer “hydroxychloroquine” en cette fin 2022.]


Jeudi 24 novembre 2022, 9 heures du matin, Pascal Praud, au milieu de ses chroniqueurs, reçoit le grand professeur Christian Perronne. On va bien sûr parler santé, politique publique, vaccin et hydroxychloroquine.

Attaqué par tout le plateau sauf Marie-Estelle Dupont, le grand professeur se défend d’entrée de jeu : « C’est inscrit dans la Constitution, les médecins ont une liberté de parole. »

53’51 – Praud : Pourquoi dites-vous que l’hydroxychloroquine marche ?

Perronne : Parce que c’est publié, il y a des méta-analyses internationales qui le prouvent de façon formelle.

[…]

54’23 – Praud : Mais quel est l’intérêt, alors pourquoi on l’utiliserait pas ?

Guibert : Pourquoi le monde entier…

Praud : Pourquoi le monde entier n’est pas d’accord ?

Perronne : Si jamais on avait reconnu que l’hydroxychloroquine marchait, l’industrie pharmaceutique n’aurait jamais eu l’autorisation même transitoire d’utiliser le vaccin parce que s’il y a un traitement efficace on ne peut pas commercialiser un vaccin.

Praud : Là je suis ennuyé quand je vous reçois. Parce que vous dites ça, et il se trouve qu’Olivier Véran j’ai renoué le contact avec lui… Et s’il m’entend il doit considérer que ce que vous dites est criminel !

Perronne : Ben non.

Praud : Ben si, puisque vous dites aux gens de prendre un médicament qui ne marche pas !

Perronne : Mais il marche.

Praud : Oui mais vous êtes le seul !

Perronne : Y a plus aucun doute scientifique dans le monde…

Guibert : Personne ne l’a utilisée.

Praud : Mais pourquoi Robert Sebag comme la Salpêtrière comme tous ceux que je connaisse disent le contraire ?

Perronne : C’est l’influence des lobbies, je suis désolé.

Guibert : Nan, vous pouvez pas accuser, monsieur.

Perronne : Je suis désolé, au Viêt Nam, en Inde, partout ça a été utilisé de façon massive, ça a marché en Afrique, partout.

 

Continuer la lecture sur Résistance & Réinformation (ou Égalité & Réconciliation) →

Théorie (de la théorie) du complot (Michel Weber)

[Note de l’administrateur de ce blog : Michel Weber est un philosophe belge, dirigeant le centre de philosophie pratique Chromatiques whiteheadiennes, et également praticien de thérapie psychocorporelle et massage ayurvédiques.

Il a déjà écrit sur la crise “sanitaire” actuelle “COVID-1984 – La vérité (politique) d’un mensonge sanitaire : un fascisme numérique” publié en novembre 2020, ainsi que “Le complot de la Grande Réinitialisation n’aura pas lieu – Théorie et pratique du collectivisme oligarchique” en 2021 (actuellement sous presse).

Je reprends ci-dessous un texte de 7 pages publié hier sur Academia et dans la revue Kairos (n° 49, 2021), qui se définit comme un “journal antiproductiviste pour une société décente”.

Les pressés pourront retenir une phrase :

“La question judiciaire, c’est-à-dire celle du cui bono (« à qui profite le crime ?») met sur la sellette le monde de la finance, les sociétés du numérique (les géants du Web — Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft) et l’industrie pharmaceutique.”

Mais tout le reste mérite attention, bien entendu.]


« L’histoire de toute société jusqu’à nos jours est l’histoire de la lutte des classes. »

Marx & Engels, Manifest der Kommunistischen Partei (février 1848)

Peut-on penser le complot ? Les médias « mainstream » considèrent que l’impensable doit rester impensé. Derrière eux se rangent, cela va sans dire, les bienpensants, toutes tendances confondues. Mais de quoi parle-t-on au juste ? D’une réalité qui appartiendrait au domaine (philosophique) de la raison pure ? Des conditions de possibilité (politiques) de la démocratie ? Ou de la difficulté (psychologique) extrême de comprendre, et de révoquer, les manipulations perverses 1 ? Commençons par planter le décor lexical.

1. Historiquement, l’évolution du lexique est plutôt simple. On ne complote en français, semble-t-il, que depuis 1450. Curieusement, on parle de « comploteuse » (1571), avant d’envisager qu’il puisse y avoir des « comploteurs » (1580) 2. Le Littré (1882) définit le complot comme une « résolution concertée secrètement et pour un but le plus souvent coupable ». Un siècle plus tard, la définition n’a guère évolué : le Robert (1979), écrit que comploter, c’est « préparer secrètement et à plusieurs ». Le complot consiste donc en une concertation secrète avec volonté de nuire ; on peut le distinguer de la notion de conjuration (qui implique un serment), et de celle de conspiration (qui cherche à renverser le pouvoir en place).
Sauf erreur, on ne trouve pas de trace du « complotisme » avant que Popper ne s’intéresse à la question dans La Société ouverte et ses ennemis, dont la première édition, datant de 1945, reste très allusive à ce propos. L’édition de 1950 énonce la « Conspiracy Theory of Society » : « c’est l’opinion selon laquelle l’explication d’un phénomène social consiste en la découverte des hommes ou des groupes qui ont intérêt à ce que ce phénomène se produise (parfois il s’agit d’un intérêt caché qui doit être révélé au préalable) et qui ont planifié et conspiré pour qu’il se produise 3 ». Il conclut : les sciences sociales nous enseignent qu’il ne s’agit là que de la sécularisation d’une superstition. Popper ne nie toutefois pas qu’il puisse y avoir des conspirations, mais il insiste alors sur leur habituelle inefficacité… On suppose qu’il n’a jamais lu Machiavel (1532).
Continuer la lecture

La Fabrique du mensonge, charge anti-Casasnovas et anti-Soral, ou le sketch Groland de France 5 (E&R)

[Note de l’administrateur de ce blog : quiconque serait tenté de penser que l’article d’Égalité & Réconciliation en fait trop ou n’est pas équitable envers le “documentaire” de France 5 doit absolument regarder la contre-vidéo diffusée aujourd’hui même par Thierry Casasnovas (que je reprends ci-dessous), au cours de laquelle il revient sur ce documentaire avec celle qui est censée être sa “victime”, et avoir tout perdu à cause de ce “gourou”, jusqu’à faire une tentative de suicide.

Alain Soral a coutume de dire qu’un journaliste est “soit une pute, soit un chomeur” ; c’est évidemment une généralisation abusive, je connais personnellement des exceptions à cette “règle”. Mais il faut reconnaître ici que les journalistes de France 5 ayant réalisé ce documentaire viennent de démontrer avec éclat qu’ils ne sont pas des exceptions.

Ce qui est frappant, c’est la totale impossibilité pour une majorité de journalistes de prendre conscience de leur inéluctable chute, qu’ils entretiennent même avec zèle. L’information descendante, c’est fini, mais ils font comme si leur force de frappe médiatique, certes réelle, leur permettait tous les mensonges sans que ceux-ci leur reviennent en boomerang. Or, plus ils mentent, et plus vite ils sont démasqués.]


Un feuilleton radiophonique français des années 60 avait pour nom Signé Furax ; on renommera désormais les docs politiques de France Télévisions Signé Sionax. On ne peut pas mieux dire : la série des Fabrique du mensonge diffusée sur France 5, « la chaîne du savoir » – ne riez pas – est une charge hallucinante de mauvaise foi contre les anti-Système ou les résistants politiques actuels. On ne parlera pas d’opposants car l’opposition est aujourd’hui totalement sous contrôle oligarchique, ce qui retire une bonne partie de l’intérêt à la prochaine présidentielle : le jeu sera truqué de A à Z, à la Biden, avec les votes par correspondance et électronique.

Nous avons regardé patiemment – un authentique sacrifice – les 98 minutes de cette chose qui se nomme « documentaire » et qui ose taxer Hold-up de « film qui prétend être un documentaire, qui en a les codes mais pas le fond ». Dans cet étalage de journalisme puéril (c’est pas moi, c’est toi), rien de nouveau : du Reichstadt, du Mendès, et quelques maîtres de conf’ tirés de l’obscurité pour donner un peu de corps aux accusations des sionistes contre les antisionistes, puisque de toute façon, tout se résume à ça pour eux.

Pourtant, il est question d’information, de désinformation et de complotisme. La différence avec les précédents docus-fictions du SPA (service public audiovisuel), c’est l’apparition de Thierry Casasnovas comme « ennemi de la démocratie ». Ce n’est pas une plaisanterie : le diététicien, car c’en est un, même s’il n’est pas médecin, est présenté comme un danger « mortel » et un « gourou » de « secte » ! Il ne manque plus que le transit vers Sirius – les trois massacres du Temple solaire – et le dossier criminel sera bouclé. Mais quand on sait que la Démocratie, le camp d’en face, est incarnée par Reichstadt et Mendès, on a tout de suite moins peur.

Continuer la lecture sur Égalité & Réconciliation →

La véritable fabrique du mensonge est à France 5, en voici la preuve éclatante :

Mise à jour du 12 mars : j’avais initialement intégré la vidéo recopiée sur ma chaîne Odysee, par sécurité, facebook ayant tendance à se prendre pour le détenteur de la Vérité qui a le droit de supprimer tout ce qui le dérange. La lecture sur Odysee n’étant pas très fluide, je réintègre à présent la vidéo originale publiée sur le compte facebook de Thierry Casasnovas, celle sur Odysee restant disponible en cas de problème.

L’OMS dans les griffes des lobbyistes – Documentaire ARTE (avril 2017)

[Note de l’administrateur de ce blog : “complotisme” ? Documentaire grand public ? À vous de juger !

“L’OMS est sous-financée depuis des décennies. Le problème majeur, c’est qu’une grande partie des fonds dont elle dispose lui viennent d’une seule personne : Bill Gates.” (Dr David McCoy, à partir de 1:50)]


Correspondance

Lettres persanes – Montesquieu

La guerre de l’information fait rage, et les coups sont tellement bas que beaucoup de naïfs le sont de moins en moins. La crise de la Covid-19, cette maladie étrange pour laquelle les masques respiratoires étaient inutiles en plein pic épidémique avant de devenir obligatoires une fois l’épidémie passée, et pour laquelle les médecins n’ont pas le droit de soigner leurs patients — mais sont invités à en euthanasier certains sans formalités — a largement contribué à déniaiser une grande frange de la population.

Le “terrorisme islamique” n’a pas encore bénéficié des mêmes remises en cause à grande échelle : beaucoup de nos concitoyens n’ont pas encore compris que ce qui s’accélère depuis le 11-Septembre, ce foutage de gueule planétaire, n’est pas piloté par des musulmans mais par leurs ennemis (et par les ennemis de l’humanité de manière générale que sont tous les fauteurs de guerre adossés au lobby militaro-industriel). Bien sûr, ceux qui émettent quelques réserves sur l’authenticité de ce terrorisme (ou son autonomie) sont immédiatement taxés de “complotistes” (le rabbin Touitou1 l’est-il ?), mais il en va de même pour ceux qui osent dirent la vérité sur les refus de soins imposés par nos autorités, ou les liens étroits de ces mêmes autorités avec de grands laboratoires pharmaceutiques… alors profitons-en, puisque grâce à eux le “complotisme” est devenu maintenant un gage d’intelligence et d’esprit critique !

Continuer la lecture

Asselineau : la conspiration qui vient… (librairie Tropiques)

[Note de l’administrateur de ce blog : il est assez jouissif de voir tous les “journalistes” des “grands” media devoir, depuis que François Asselineau est officiellement candidat à l’élection présidentielle, accueillir cet “inconnu” (la faute à qui ?) dans leurs studios et tenter de le faire passer pour un farfelu, alors qu’il est de loin le candidat au discours le plus cohérent, aux arguments les plus bétonnés, au casier judiciaire le plus vierge et qui respecte de la façon la plus scrupuleuse la devise de la République Française.

Mais si une bonne tranche de rigolade quotidienne aide à se maintenir en bonne santé, elle ne suffit pas à nourrir intellectuellement son homme. Et “sans travail, le talent n’est qu’une sale manie”, disait je crois le regretté Georges Brassens. Vous connaissiez le mouvement slow food qui s’attaque à la malbouffe et vise par la même occasion à restaurer une agriculture de qualité ; voici maintenant l’heure de la politique lente (parce qu’avec François, on parle français, attention) qui s’attaque aux mensonges en bande organisée (Décodex et autres orwelleries) tout en visant rien de moins que la restauration de la démocratie.

Et pour cela il vaut mieux prendre son temps : plus de deux heures de conférence et questions devant un public attentif, comme il se doit dans une librairie ; on n’est pas chez Macron, les gens ne regardent pas leur smartphone pour savoir quand il faut applaudir. Ceux qui voudront un autre point de vue pourront également se diriger vers l’enregistrement officiel de l’UPR, en une seule vidéo de 2 h 18 min.

On notera tout de même que les hôtes (un peu âgés…) de François Asselineau à la librairie Tropiques se sentent obligés de se démarquer, en se pinçant le nez et en faisant une moue de dégoût, des opinions d’individus aussi répugnants que Dieudonné (et de bien d’autres dont j’ai un peu de mal à voir le point commun)… preuve qu’ils ont encore des progrès à faire s’ils veulent sortir de la matrice.

Enfin, je conseille à ceux qui prendraient François Asselineau pour un gros matou placide incapable de se mettre en colère d’aller écouter cet enregistrement audio, réalisé lors d’une de ses conférences publiques à une époque où l’UPR était beaucoup moins connue qu’aujourd’hui.]


Comme annoncé dans notre précédent article « conspirationniste », il nous a semblé utile et important de donner l’occasion à François Asselineau d’exprimer et argumenter ses positions, depuis le rétablissement des services publics, au besoin par renationalisation, jusques et y compris sa récusation de la construction européenne atlantiste et tout ce qui s’ensuit…( l’Euro, l’OTAN, la commission de Bruxelles, etc.)

Dominique Pagani et Bruno Drweski (peu soupçonnables de partager les idées de Soral, le Pen, Zemmour, Raël, Villepin, Luc Besson, Tom Cruise, Dieudonné, Brigitte Bardot, Cohn-Bendit, P.Buisson ou F.Fillon) se sont proposés pour débattre avec François Asselineau sur ces questions d’éducation populaire, historique et… politique ; de leur point de vue d’intellectuels marxistes, jugeant que ces accusations de « complotisme » ou « conspirationnisme rouge-brun » étaient une sottise essentiellement motivée par l’ignorance de notre propre histoire, aggravée par le négationnisme historique ambiant.

Continuer la lecture sur le site de la librairie Tropiques

Publicité comparative : Stop Intox / Culture Populaire

Stop Intox se présente comme “un projet global d’éducation populaire aux médias et à Internet”. Un projet issu de la WebTV LaTéléLibre et subventionné à hauteur de 23 000 € par la Ville de Paris.

Culture Populaire est une association loi de 1901, non subventionnée, qui “a pour objectif de diffuser une information alternative à celle des médias grand public à travers notamment l’organisation et la diffusion de conférences ainsi que la production d’œuvres « contre-culturelles »”. Elle fait partie d’une mouvance que France TV Éducation appelle “la fachosphère” (à ne pas confondre avec le phacochère).

Les deux ont des choses à vous dire sur les Illuminati, encore appelés Illuminés de Bavière.

À vous de décider qui fait appel à votre culture historique, à votre raison et à votre sens critique, et qui vous prend pour des demeurés au Q.I. d’huître incapables d’assimiler plus complexe qu’un slogan publicitaire.

Continuer la lecture