La vérité si je mens !

Je le faisais remarquer très récemment, ce n’est pas parce qu’on vous ment en permanence qu’il faut croire systématiquement le contraire de tout ce qu’on vous dit. C’est bien sûr humain et compréhensible ; il y a même un proverbe pour cela : “chat échaudé craint l’eau froide”. Mais même les menteurs les plus compulsifs arrivent à dire des vérités… et surtout, les plus malins arrivent à tromper sans mentir au sens strict, généralement par omission, car ils sont suffisamment intelligents pour se préserver par tous les moyens des poursuites pénales que certains pourraient leur intenter s’ils mentaient de façon trop directe (il existe quand même des lois pour cela).

Le cas de l’efficacité des “vaccins” anti-COVID – dont je rappelais la définition dans cet article – est assez instructif sur cette façon de mentir tout en disant la vérité. Certains contestent en bloc qu’ils aient une quelconque efficacité, ou prétendent que les chiffres avancés par leurs fabricants sont grossièrement enjolivés ; certes, il est naïf de croire sur parole un dépliant publicitaire quel qu’il soit, et il est parfaitement légitime de se méfier de publications scientifiques sur un produit pharmaceutique qui sont financées par le fabricant même de ce produit.

Mais il faut aussi garder à l’esprit que ces grandes entreprises pharmaceutiques, si elles ont les moyens de corruption gigantesques qu’on leur connaît, ont aussi les moyens d’avoir des services juridiques de haut niveau capables d’orienter finement la communication de l’entreprise afin que les inévitables pertes pour l’entreprise que représentent les procès perdus restent à un niveau minimum – même si ce niveau paraît astronomique pour le commun des mortels, alors qu’il est juste à la mesure des profits bien plus astronomiques encaissés.

Il est donc assez vain de contester toute valeur aux chiffres d’efficacité annoncés, comme s’il s’agissait d’une simple et brutale fraude scientifique intéressée (ça existe, mais ce n’est pas systématique) ; il est plus intelligent, soit de privilégier les chiffres “de la vraie vie” par rapport à ceux des études (on l’a fait, et on le refera, à partir des données anglaises), soit de se poser la question de la signification réelle de chiffres qui, en eux-mêmes, peuvent être justes, tout en induisant totalement en erreur le public visé.

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La dure école du “non !” (Slobodan Despot)

[Note de l’administrateur de ce blog : Slobodan Despot est le fondateur de l’Antipresse et, originaire de Serbie, a bien connu les systèmes totalitaires. Il évoque dans cette vidéo Georges Bernanos, et notamment La France contre les robots, dont j’ai utilisé une citation dans cet article de physique.

Il nous montre ici que les événements en cours, loin d’être une surprise, sont la continuation logique d’une lente dérive, que des écrivains comme lui analysent avec infiniment plus de logique et de raison que les prétendus analystes politiques vivant en parasites du système.]


Dr. Charles Hoffe : 62 % des patients vaccinés contre le COVID ont des dommages cardiaques permanents (cv19.fr)

Vue d’artiste du virus SARS-CoV2

[Note de l’administrateur de ce blog : le propre de la démarche scientifique est de proposer des théories décrivant au mieux les données disponibles, et surtout de proposer des moyens de tester les théories en question en faisant appel à d’autres données non prises en compte initialement, soit parce qu’elles étaient disponibles mais considérées comme étrangères au domaine étudié (cas de l’unification de l’électricité et du magnétisme par Maxwell et d’autres au XIXe siècle), soit parce qu’elles n’étaient pas disponibles faute de moyens techniques suffisants (la relativité générale, ou l’existence d’antimatière, ont été “inventées” intellectuellement avant que des données suggèrent leur validité) ou simplement faute de curiosité.

C’est la condition pour que toute nouvelle théorie proposée soit réfutable, donc digne de considération scientifique ; sinon, on reste dans le domaine de la pure spéculation.

En proposant un test sanguin simple (le dosage des D-dimères), le Dr Charles Hoffe agit non seulement en bon médecin soucieux de la santé de ses patients, mais en bon scientifique donnant les armes intellectuelles nécessaires à ses éventuels adversaires pour démontrer qu’il a tort.

À eux de jouer, ils n’ont plus d’excuse !

Remarque importante : contrairement à certains “complotistes” bas du front, c’est-à-dire des personnes qui, au prétexte que nos autorités nous prennent ouvertement pour des débiles (ce qui est vrai), sont prêtes à croire n’importe quoi qui est contraire à leur discours (ce qui est très imprudent), le Dr Charles Hoffe ne dit pas que le virus SARS-CoV2 n’existe pas ou qu’il est absolument sans danger : bien au contraire, il dit que les mécanismes à l’œuvre dans les formes graves de COVID-19 sont les mêmes que ceux responsables des effets indésirables graves des vaccins censés protéger de la maladie. Ce qui rejoint les avertissements d’un des pionniers, sinon le pionnier, de la vaccination à ARN, le Dr Robert Malone, et en particulier ce qu’il dit – preuves scientifiques à l’appui – sur la toxicité du péplomère (généralement appelé “protéine spike”) du virus.

Mais Charles Hoffe donne aussi la possibilité de tester son hypothèse y compris en l’absence de symptôme apparent, bien avant que des troubles de la coagulation soient visibles par des symptômes ou des examens à l’échelle macroscopique, ce qui fait tout l’intérêt de sa démarche, aussi bien sur le plan médical (pour prévenir les complications) que scientifique.]


Vous avez peut-être entendu parler de tolérance réduite à l’effort après une vaccination Covid, de thromboses, de myocardites, d’arrêts cardiaques…
Tous ces symptômes pourraient être liés au même mécanisme d’action du vaccin (ici Moderna), entrainant des dommages irréversible et une réduction de l’espérance de vie à quelques années maximum.

Après avoir administré environ 900 doses du vaccin expérimental COVID-19 à ARNm de Moderna, le Dr Charles Hoffe, un médecin courageux qui pratique la médecine depuis 28 ans dans la petite ville rurale de Lytton, en Colombie-Britannique (Canada), a tiré la sonnette d’alarme sur les réactions graves qu’il observait chez ses patients qui avaient choisi de se faire vacciner (il avait choisi de ne PAS le faire lui-même), y compris la mort.

Après avoir tiré la sonnette d’alarme, les autorités médicales de sa communauté lui ont imposé le silence (gag order). Il a bravé ce silence et a été interviewé par Laura-Lynn Tyler Thompson dans son émission où il a tiré la sonnette d’alarme.

Voici un extrait de 8 minutes de l’interview originale (VOSTFR) :

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