Pardonnez-moi (Reza Moghaddassi)

[Note de l’administrateur de ce blog : Reza Moghaddassi, agrégé de philosophie né d’un père iranien et d’une mère française, enseigne au Gymnase (lycée1) Jean-Sturm à Strasbourg.]


A tous les gens raisonnables et très intelligents qui s’indignent devant ceux qui ne veulent pas se faire vacciner.

Pardonnez-moi d’avoir des doutes sur la sûreté de ce que vous appelez en chœur des « vaccins ». Je devrais en effet faire aveuglément confiance à la télé et aux autorités. Je devrais faire confiance aux études fournies par les laboratoires pharmaceutiques même s’ils ont été condamnés ces dernières années à des milliards de dollars d’amendes notamment pour fraude scientifique.

Pardonnez-moi mon égarement et mon effort pour comprendre la justification scientifique des mesures qui sont prises.

Pardonnez-moi de chercher à évaluer la proportionnalité des mesures prises par rapport aux risques encourus.

Pardonnez-moi de confronter le discours des scientifiques lourds de liens et de conflits d’intérêts avec ceux qui n’en ont pas.

Pardonnez-moi de chercher à comprendre la nature des controverses scientifiques plutôt que de me ranger dans la dictature d’une pensée autorisée arrogante et partiale.

Pardonnez-moi de ne pas vouloir être le cobaye d’injections expérimentales en cours d’essais cliniques.

Pardonnez-moi d’oser regarder les chiffres officiels (pourtant largement sous-évalués) des morts et des effets indésirables graves liés aux différents vaccins en cours au lieu de laisser cela aux « experts » ou bien de reconnaître simplement que tous ces évènements ne sont que des coïncidences sans lien de causalité établie.

Pardonnez-moi de ne pas vouloir faire prendre le risque d’effets secondaires graves à mes enfants alors qu’ils n’ont quasiment aucune chance de faire une forme grave du covid et que personne n’est capable honnêtement et scientifiquement de reconnaître un rapport bénéfice risque favorable pour eux d’une telle vaccination.

Pardonnez-moi d’exister.

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Plus de 300 élus de droite et du PS saluent “le courage des décisions prises par Emmanuel Macron” (Le JDD)

[Note de l’administrateur de ce blog : c’est bien connu, les collabos ont tendance à faire du zèle jusqu’au dernier moment, pour ensuite tenter de se faire passer pour des résistants. Mais le peuple a de la mémoire.]


382 élus de différentes sensibilités, dont Christian Estrosi (ex-LR), Hubert Falco (ex-LR), Martine Vassal (LR), Jean-Luc Moudenc (LR) et François Rebsamen (PS) saluent la récente prise de parole d’Emmanuel Macron et “le courage des décisions prises”.

Voici leur tribune : Comme des millions de Français, nous, maires et responsables de collectivités territoriales, avons suivi avec attention la récente adresse à la Nation du Président de la République. Et si nos sensibilités politiques sont différentes, nos parcours divers, nous nous retrouvons tous aujourd’hui pour saluer le courage des décisions prises, la clarté du cap fixé. Sur le plan sanitaire, l’objectif de vacciner tous les Français est ambitieux mais nécessaire. Ce n’est en effet qu’en atteignant un taux de couverture vaccinale supérieur à 90% de la population que nous pourrons tourner durablement la page, retrouver une vie normale dans nos villes et dans nos villages. Mise en place de centres de vaccination, campagnes de communication : depuis le début de l’année, nous sommes en première ligne de combat. Nous serons au rendez-vous de cette nouvelle phase à la fois pour organiser la vaccination des Français qui, par millions, ont pris rendez-vous ces derniers jours et pour accompagner entrepreneurs, commerçants et responsables d’établissements publics dans la mise en place du passe sanitaire.

Continuer la lecture sur Le Journal du Dimanche du 17 juillet 2021 →

Maître Virginie de Araujo Recchia
interpelle les Forces Publiques

[Note de l’administrateur de ce blog : vidéo qui n’est pas très récente mais qui tourne beaucoup en ce moment… on se demande bien pourquoi.

“Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.” (Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793, partie de la Constitution de l’an I, jamais appliquée).]